Brume

351 11- Au chaume on reconnaît l'épi. L'Odyssée, XIV, 214-215 12- Aujourd'hui, il n'est rien de sacré pour les femmes. L'Odyssée, XI, 456 13- Car les chemins du jour côtoient ceux de la nuit. L'Odyssée, X, 86 14- De son berceau de brume à peine avait paru l'Aurore aux doigts de rose. L'Odyssée, II, 1 15- Etranger, ma coutume est d'honorer les hôtes. L'Odyssée, XIV, 56-57 16- Ne me farde pas la mort. L'Odyssée, XI, 488 17- "L'excès de sommeil fatigue." L'Odyssée, XV,

'orage se dechainait sur Storrvan. De lourds nuages gris aux aux bords dechiquetés accourraient de l'ouest avec vitesse, frolant presque la tour qu'ils enveloppaient par moments des echarpes vertigineuse d'une brume blanchatre Mais le vent surtout, le vent remplissait l'espace du déchainement de son poids épouvantable. La nuit était presque entièrement tombé. Les passées de l(ouragan, comme dans une chevelure fragile, ouvraient de rapides et fugitives tranchées dans la masse des arbres

cheminées d'usines qui indiquent un vent léger de nord-ouest. Les couleurs: Au premier plan, la mer est bleue-verte. Seule couleur chaude: le rouge-orangé du disque solaire du soleil et ses reflets dans le clapot de l’eau. À l'arrière-plan, la brume est gris-bleuté, le soleil est le point le plus lumineux de la toile. La maison vue du jardin des roses -avant l'opération: Lorsque Monet est atteint de la cataracte et avant de se faire opérer, il peint La Maison vue du jardin aux roses dans des

fermés, je le sens qui regarde Avec l'intensité d'un remords atterrant, Mon âme vide, Où fuir? Et quelle nuit hagarde Jeter, lambeaux, jeter sur ce mépris navrant? Brouillards, montez! versez vos cendres monotones Avec de longs haillons de brume dans les cieux Que noiera le marais livide des automnes Et bâtissez un grand plafond silencieux! Et toi, sors des étangs léthéens et ramasse En t'en venant la vase et les pâles roseaux Cher Ennui, pour boucher d'une main jamais lasse Les

complémentaires sont utilisées dans une déclinaison de nuances, ce qui permet la sensation de flou. Les touches de peinture sont systématiquement fragmentées en de multiples tâches colorées pour donner une sensation de densité de la brume et de l’atmosphère. La brume est véritablement tangible grâce aux procédés utilisés. Impression III, le concert, (1911) tableau de Kandinsky. Le concert évoqué ici était une interprétation de « trois pièces pour piano » de Schönberg. On note immédiatement

peintres quand ils manient le pinceau donnent tout leur intérêt aux tableaux. Ils sont essentiels pour déterminer la qualité d’une peinture. Ici Maupassant prend la peine de préciser quel est l’éclairage de sa description. A la ligne 4 « la brume matinale » enveloppe encore légèrement la ville [on peut le prouver en s’appuyant sur la locution adverbiale « un peu »

L’auteur joue, tel un peintre, avec le clair-obscur… • « Les maisons, dont la brume allongeait la hauteur » : Le substantif « maisons », est isolé de sa propre description puisqu’il rattacherait le poète à la réalité. Cependant, la continuité du vers nous montre un effet d’optique du paysage qui entraîne une impression de grandeur immense et en même temps d’enfermement : « allongeait la hauteur ». Cette évocation de la « brume » favorise la divagation. Nous savons que Baudelaire s’essayait aux drogues

« Quelle canicule ! » Il fait -10° : « Il fait un froid de canard ! » Le temps est au beau fixe Le temps est changeant / incertain Le temps s’améliore Le temps se dégrade L’ETAT DU CIEL : Il y a de la brume / du brouillard / un brouillard épais # Il y a une éclaircie, on voit le soleil à travers les nuages. Le ciel est gris / couvert / nuageux / noir # Le ciel se dégage, est dégagé : « ça se dégage ! » LA PLUIE, LE VENT, LA TEMPÊTE : Il pleut fort

héroîqueLe roi est figé . Il se laisse littéralement partir. La didascalie finale montre que la mort du roi entraîne la chute de son royaume= ts les éléments du décor représentant le royaume disparaissent au fur et à mesure . Le roi est perdu ds la brûme. Sa mort apparaît comme un achèvement inutile, qui n'apporte rien. On se retrouve ds 1 théatralisation de l'absurde.

Allitérat° en –s. Assonance en –an --> effet triste 2ème partie: Paysage impressionniste --> fait penser tableau. Travail de couleur. Plan d’eau, arbres autours, sole pleureur, nénuphars sur l’eau --> rappelle tableau de Monet. Couleurs pâles, « brume», v.14 couché du soleil, lumière. V.1: suprême -> dernier rayon. Eléments horizontaux: étang, eau, nénuphars. Verticaux: arbres, sole pleureur. Mais composition en miroir surprenante. Décalage avec v.1 rayons suprême. V.13