Bruno Bettelheim

Forêt qui s’oppose à la ville, comme la nat s’oppose à la cult ; lieu symbolq de sauvagerie / danger / épreuve / aventure. - Une aventure psychique  : Bruno Bettelheim (psychanalyse des contes de fées) a montré que les contes expriment ss une forme symbolq les Pb de l’enfance : rel amour/haine entre enfants et parents, image positive ou négative de soi-m (princesse ou souillon), rôle de l’amour pr échapper

par les cajoleries des loups « doucereux » qui les accostent alors que, dans les éditions enfantines d’aujourd’hui, le dénouement punit la désobéissance. La Belle au bois dormant doit-elle être lue comme une métaphore de la sexualité féminine ? Bruno Bettelheim a pu écrire une psychanalyse des contes. Dans les sociétés traditionnelles, les contes étaient destinés aux adultes. C’est seulement à partir du XVIIe siècle en France que les contes ont rejoint la littérature de jeunesse. Il est vrai que le

connaissances et développera ses diverses facultés que s'il est entouré de gens qui désirent qu'il grandisse. Or, il me semble que ce rôle ne peut être mieux tenu que par sa famille elle même. Dans son ouvrage "Pour être des parents acceptables" Bruno BETTELHEIM[1] rappelle que le but de l'éducation est tout d'abord de découvrir la personne que l'enfant veut être et qui lui permettra d'être satisfait de sa façon de vivre ainsi que de pouvoir supporter convenablement les difficultés qu'il rencontrera

autonome qu’il utilise plus ou moins. Ex : camp de concentration : même qq1 condamne a mort peut choisir façon dont va mourir. Autonomie vraie même dans les situations extrêmes, dans les institutions totalitaires, les camps de concentration . Bruno BETTELHEIM : ………….. S’assurer dans une Adversité extrême une Liberté d’action et de pensée, même si celles ci sont extrêmement réduites. Seules ceux qui arrivaient à préserver leurs amours propres étaient capables de survivre lgtps dans les camps. Car

(p97) «le Démonté», «le Fluet», «le Bancal» (page 97), ses méfaits étant évoqués de façon éparse et désinvolte. Ainsi, les tableaux véritablement sadiques, potentiellement sinistres, ne font pas vraiment ressentir de dégoût. Et, comme l'a montré Bruno Bettelheim dans ‘’La psychanalyse des contes de fées’’, ils se chargeraient plutôt d'une valeur psychologiquement cathartique. - Des retournements extraordinaires et ironiques : la nourrice, qui se révèle meilleur médecin que le docteur Trelawney, qui

par les cajoleries des loups « doucereux » qui les accostent alors que, dans les éditions enfantines d’aujourd’hui, le dénouement punit la désobéissance. La Belle au bois dormant doit-elle être lue comme une métaphore de la sexualité féminine ? Bruno Bettelheim a pu écrire une psychanalyse des contes. Dans les sociétés traditionnelles, les contes étaient destinés aux adultes. C’est seulement à partir du XVIIe siècle en France que les contes ont rejoint la littérature de jeunesse. Il est vrai que le

par les cajoleries des loups « doucereux » qui les accostent alors que, dans les éditions enfantines d'aujourd'hui, le dénouement punit la désobéissance. La Belle au bois dormant doit-elle être lue comme une métaphore de la sexualité féminine ? Bruno Bettelheim a pu écrire une psychanalyse des contes. Dans les sociétés traditionnelles, les contes étaient destinés aux adultes. C'est seulement à partir du XVIIe siècle en France que les contes ont rejoint la littérature de jeunesse. Il est vrai que le

et gouvema avec justice» ). Malgré sa fantaisie, le texte n'est en aucune façon une œuvre gaie. Mais leur caractère illusoire même, qui tient au conte, enlève aux éléments virtuellement macabres leur puissance émotionnelle. Comme l'a montré Bruno Bettelheim dans ‘’La psychanalyse des contes de fées’’, ils se chargeraient plutôt d'une valeur psychologiquement cathartique. Le conte permettait aussi à Calvino d’inaugurer là une « stratégie du détour » qui contraignait le lecteur à quitter, sans

important de dire que la parentalité est propre à chaque famille. Il y a autant de parentalités qu’il y a de parents. Quand bien même le soutien à la parentalité a tendance à normer les bonnes pratiques parentales, ne devrait-on pas penser comme Bruno Bettelheim : « les parents doivent se débarrasser de l’idée qu’il existe des méthodes éprouvées, capables de donner des résultats prévisibles si elles sont bien appliquées. Tout ce qu’ils font avec et pour leur enfant doit tenir compte de la situation particulière

symbolisée par le loup. L'individu se contentant de se prélasser comme les deux premiers petits cochons se fera détruire par les vicissitudes de la vie. Seul celui bâtira solidement sa maison pourra faire face aux aléas. C'est aussi, selon Bruno Bettelheim dans Psychanalyse des contes de fées (cf.bibligographie), une façon de dire aux enfants qu'on ne peut pas toujours dans la vie agir selon le principe de plaisir – les deux premiers petits cochons ne pensent qu'à s'amuser – mais qu'il faut se