Bulle Spéculative

(avec une croissance soutenue avec quelques tensions inflationnistes). C’est dans ce contexte de croissance économique, qu’il est possible d’identifier un autre facteur commun des crises boursières : l’éclatement d’une bulle spéculative. b) Éclatement de la bulle spéculative 1929 La croissance économique profite aux entreprises qui voient d’une part leurs bénéfices augmenter et d’autre part leurs titres grimper en Bourse. La croissance économique semble donc avoir des répercussions sur

transactions financières n’a plus de rapport direct avec le financement de la production et des échanges internationaux ; il y a découplage des activités réelles et financières. L’explosion financière, en favorisant le développement d’opérations spéculatives et peu transparentes (marché de gré à gré, c’est-à-dire non réglementés), a accru l’instabilité du système financier international tandis que la globalisation financière est un facteur favorable à l’extension d’une crise financière dans un pays

Cycles Economiques 5 A- Le Cycle de Kitchin 5 B- Le Cycle de Juglar 6 C- Le Cycle de Kondratiev 7 D- Application à l’économie mondiale 9 III. Indicateurs et dynamiques des prix 9 A. Indicateurs avancés 9 IV. Les bulles spéculatives 14 A. Définitions 14 B. Causes 14 C. Déroulement 15 D. Exemples 16 V.APPLICATION AU MONDE AGRICOLE 17 INTRODUCTION: Rappel des notions générales portant sur la Bourse La Bourse est une société gérée par

financiers. La logique spéculative s'articule autour de trois phases : - Identification d'un nouveau domaine de placement apparemment très rentable qui suscite une "bulle spéculative" généralement nourrie par le crédit (on va emprunter pour réaliser des placements et on considère qu’on va pouvoir rembourser grâce aux gains permis par la spéculation) : on va avoir des investissements importants qui vont être dirigés vers ce secteur. - Évènement vient rompre la dynamique spéculative et la confiance disparaît

orientation restrictive peut installer une spirale déflationniste (cf Japon dans les années 70) Alan Greenspan aux Etats-Unis a opté pour une condition permissive de la mise en place d’une économie de bulles. Après la crise de 2001 (éclatement de la bulle technologique) la volonté d’éviter à tout prix une récession a conduit la FED à diminuer drastiquement ses taux d’intérêt. Alan Greenspan a délibérément encouragé en croyant la piloter une transformation radicale du secteur financier qui a échappé

montant des intérêts versés augmente. Pour les ménages en capacité de financement, ( taux d’intérêt = ( rémunération de leur épargne. 2) Cet article date de 1994, or depuis les cours boursiers ont connu de multiples crises : effondrement de la bulle spéculative de la nouvelle économie = krach boursier sur les valeurs des entreprises de nouvelles technologies (les fameuses start up : sur le nouveau marché en France, sur le Nasdaq aux Etats-Unis) qui a entraîné la « ruine » de nombreux petits actionnaires

. C'est l'éclatement de la bulle spéculative. La finance comportementale et l'effet de mimétisme tentent alors d'expliquer ce que l'efficience informationnelle n'explique pas : le phénomène des bulles spéculatives. On présentera la finance comportementale comme une vision alternative du fonctionnement du marché avec la rationalité auto-référentielle. Puis on expliquera ce courant à travers le mimétisme et la spéculation. I-Présentation de la finance comportementale I-1- La finance comportementale

Cette baisse de production est due au fait que les capitaux disponnibles sont directement investis à la bourse que dans l'économie réelle. Ce grand attrait à la bourse va créer une bulle spéculative qui va mené au Krach de 1929. Une bulle spéculative est une augmentation des actifs dans un secteur. Ici cette bulle trouve son origine en 1920 et s'est agrandie en grande partie à cause du nouveau système d'achat à crédit d'action en 1926. Avec ce nouveau système, les investisseurs peuvent acheter

institutionnels placent les fonds qu'ils collectent auprès des épargnants, les ménages.( caisse de retraite) Ces principaux acteurs sont une forces pour la finance mondiale. Et les autres comme les fonds souverains, les private equity ( rumeurs spéculatives non côté) et les fonds spéculatifs s'y ajoutent. A la suite de cette ouverture, certains pays sont plus concernés que d'autre comme la Chine avec 54% du PIB et le Maroc avec 22%. Or, certains pays comme le Mozambique ( 1,2% du PIB), le Rwanda

Dans le film Wall Street : L’argent ne dort jamais, on reprend les éléments de la crise financière de 2008 et on décortique certains événements qui ont eu des conséquences sur le monde entier. Tout ça a été causé par l’explosion d’une énorme bulle spéculative, ce qui a entrainé de nombreuses catastrophes dans le monde économique. Mis à part les ménages et les entreprises qui seront touchées par le resserrement de crédit, les banques vivront une véritable crise financière. Cela amènera des questionnements