Business ethics

service client très efficace.   Distributeur Bouygues Télécom : - 558 boutiques - Mise sur l’internet mobile en plus de ses forfaits illimités. A) Business to Business  Tendance TENDANCE DÉMOGRAPHIQUE D’ACHAT démographiques d’achat par profession :  Tendance démographique d’achat par région : A) Business to Business 1 – HABITUDES DE CONSOMMATION   Proportions d'individus âgés de 18 ans et plus disposant personnellement d'un téléphone mobile. Source : CREDOC

données de prospects (Clients potentiels contactés par l’agence mais n’ayant pas encore acheté) Perte de clients Base de données de clients 6 Fonction 2 - BTS Communication 5 - Où trouver des informations sur les suspects en business to business ? • Utiliser son réseau de connaissances professionnelles (carnet d’adresses ou réseaux sociaux) • Acheter des fichiers déjà constitués de type Kompass® • Se rendre à des salons professionnels, des séminaires ou des événements professionnels

le business to business est du marketing industriel mais pas du trade marketing. En général, une entreprise a deux segments comme client : les entreprises (business) les particuliers Ce marketing a fort évolué. Dans les années 70, 80, le marketing était présent mais il était peu développé. Maintenant, ce marketing est fortement développé. 1. Cassette vidéo : Courrier Express Exemple de services industriels : DHL, FedEx… Courrier Express se centralise sur le business to business, car

1 Les spécificités du marketing B to B 1.1  Des contextes business to business variés Loin de représenter un contexte homogène, le business to business recouvre en réalité des contextes très différents. Il est tout d’abord nécessaire de différencier les situations en fonction du type de client et de prestations délivrées, puis en fonction des différentes approches marketing, elles-mêmes définies en fonction du destinataire final. 1.1.1  Les trois types de marketing B to B • Le B to B

nouvelle suma divisio au sein du commerce électronique. Il distingue deux catégories de contrat en fonction des parties à l’opération : = Les contrats «B to C » : business to consumer. Il s’agit donc des contrats liant des professionnels agissant sur Internet à des consommateurs internautes. = Les contrats « B to B » : business to business Ces contrats unissent entre eux les professionnels. Nous traiterons enfin des difficultés juridiques que génèrent, d’une manière générale, ces nouveaux contrats

d’un autre bien et/ou service En business to business, l’idéal est d’étendre la pratique marketing aux différents niveaux de la clientèle : Client Client du client Client du client du client… En termes de : Marketing-études Marketing-influence ROBINSON, FARIS et WIND : 3 grands types de situation d’achat, appelées SCENARII D’ACHAT : 1. Rachat à l’identique 2. Rachat modifié 3. Achat nouveau PHASE D’ACHAT: les différentes phases d’un achat business to business L’importance de chaque phase varie

milliards d’euros par ans. Entre 20 et 30% des entreprises françaises qui achètent en ligne. Les entreprises nordiques représentent à peu prés 50% du chiffre en ligne. La notion « B TO B » veut dire «  business to business » donc entreprises par entreprises. La notion «  B TO C » veut dire «  business to Customer » donc entreprises par consommateurs. B. Les unités commerciales virtuelles 1. La vente par correspondances Ce mode de communication offre la possibilité de commander sois directement

LE COMMERCE ELECTRONIQUE• 3. SOMMAIRE GENERAL INTRODUCTION PREMIERE PARTIE : LES DIFFERENTS TYPES DE E-COMMERCE DEUXIEME PARTIE :LA DIFFERENCE ENTRE E-CoMMERCE ET E-BUSINESS TROISIEME PARTIE : LA FORME JURIDIQUE DE E-COMMERCE QUATRIEME PATRTIE: LA SECURITE DE E-COMMERCE CONCLUSION 4. Introduction général DEFINITION: commerce électronique La définition du commerce électronique peut être prise dans un sens restreint, à savoir « vendre ou acheter des produits, des services ou des informations à travers

GRC : Le « B to… » : o B to B : business to business Relations entre entreprises sans implication du consommateur final. Deux risques sont à noter : • Montée en puissance du client entreprise qui impose conditions financières ou de qualité particulières • Fuite du client en quête de nouvelles sources. Il faut anticiper ses besoins.  Il faut, pour le fournisseur, passer d’une production masse/vente à une démarche personnalisée. o B to C : business to customer Relations entre entreprise

juge compétent. Qu’il nous suffise de dire que, s’agissant de commerce électronique, la technique bien connue de l’arbitrage permettra de répondre au mieux au défi de l’internationalité. Du moins dans le cas d’un commerce dit “B to B” (business to business) car si des consommateurs sont en cause la voie de l’arbitrage sera fermée dans la plupart des systèmes juridiques. Et il faut certainement encore explorer cette voie s’agissant du contentieux des noms de domaine, comme le fait l’OMPI.9