Cabinet du président de la République française

trône. En France, la pratique dualiste s’est installée sous le règne de Louis-Philipe. La constitution de 1958 met en place un régime qui est proche du parlementarisme dualiste dans la mesure où le Président peut renvoyer un gouvernement. Cependant, sous la 5ème République française, c’est le Président qui dispose du droit de dissolution et non le parlement. 2 – Le Régime parlementaire moniste On parle de régime parlementaire moniste lorsque le gouvernement est responsable seulement devant le

d'un réseau de voies de communication de plus en plus dense et connaît une évolution démographique différente de celle des pays européens. Comment l'espace national s'est-il progressivement unifié ? Quelles sont les spécificités de la démographie française ? I) Une maîtrise progressive du territoire. De 1850 à 1914,la France connaît une véritable révolution des transports. Quels sont les aspects et les conséquences de cette dernière? Tout d'abord, axes et moyens de communication se multiplient rapidement

essayer de répondre à cette question en regardant trois raisons principales. D’abord, les objectifs électoralistes de l’UMP. La deuxième explication est très liée à cette première : l’importance du parti d’extrême droite, le FN, dans la politique française et enfin, je vais regarder comment ces débats visent à réunir une France divisée et sans une forte identité. Pendant la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007, le candidat a beaucoup focalisé sur les problèmes liés à l’immigration

dissoudre l'Assemblée Nationale », cette phrase de Jacques Chirac est restée célèbre, assez tristement pour lui d'ailleurs puisque son action mènera à la cohabitation avec Jospin. Toutefois, il convient de se replacer dans le contexte de la IIIe République, au lendemain de la défaite de Sedan en 1870 émerge un gouvernement de fait sorti de la rue et composé de personnalités marquantes tels Gambetta, Ferry, Favre ou encore Jules Simon. Les monarchistes sont majoritaires à l'Assemblée placent à la tête

dans de cabinet de Combes , Il va rester ministre sans interruption jusqu'en 1910 , ministre du commerce et de l'industrie(1906-1908), ministre de l'instruction publique (1908-1910) Peu après, il est nommé sénateur du Gard et le restera du 6 mars 1910 à 1921. Le 9 décembre 1913, il est nommé président du conseil puis ministre des affaires Étrangères . Pendant la guerre, il reprendra le ministère des colonies jusqu'en 1917. En février 1923 , il gagne l’élection du plateau et devient president du Sénat

faire au profit de l’exécutif ou du législatif. 1° La confusion au profit de l’exécutif C'est l’hypothèse la plus fréquente, car l’exécutif dispose de la force armée. On peut citer comme exemple, le césarisme bonapartiste dans ses deux versions françaises, mais aussi de manière plus générale bon nombre de dictatures modernes qui relèvent de près ou de loin de ce modèle. 2° La confusion au profit du législatif : le régime d’assemblée Dans ce régime l’assemblée dispose de la réalité du pouvoir même

détournés en donnant ou permettant au président de prendre des mesures législatives par décret. Une des caractéristiques du régime présidentiel est qu'il obéit à une séparation stricte des pouvoirs, à l'inverse du régime parlementaire, qui lui obéit à une « collaboration des pouvoirs », autrement dit à une séparation souple des pouvoirs. Il faut ajouter cependant que la séparation stricte des pouvoirs n'existe pas vraiment, car aux États-Unis le président peut stopper le congrès en utilisant son

DROIT CONSTITUTIONNEL La Constitution est la norme des normes. Il est essentiel de voir le système actuel de la Vème République. Le droit constitutionnel est essentiel car il colle à la pratique : ce n’est pas de la théorie du droit mais des choses concrètes. Ce droit est essentiel car c’est le fondement de notre système juridique : on en tire toutes les autres normes (lois, traités etc…). Il pose les fondements de notre société et de notre Etat. La Constitution pose également un certain nombre

La réforme des institutions a fait l’objet d’un débat entre les différents candidats pendant la campagne des présidentielles. Puis elle a été à l’ordre du jour des réformes du président élu. Elle a été précisée par le Comité Balladur, puis a pris la forme d’un projet de loi constitutionnelle qui a été adopté par le Congrès. Cette loi constitutionnelle du 23 juillet 2008 introduit ou modifie 47 articles de la Constitution. Il s’agit d’une révision parmi les plus importantes. Mais, cette loi constitutionnelle

en une chambre composée de : Peer Lorenzen, président, Jean-Paul Costa, Karel Jungwiert, Rait Maruste, Mark Villiger, Isabelle Berro-Lefèvre, Mirjana Lazarova Trajkovska, juges, et de Stephen Phillips, greffier adjoint de section, Après en avoir délibéré en chambre du conseil le 19 octobre 2010, Rend l'arrêt que voici, adopté à cette date : PROCÉDURE 1. A l'origine de l'affaire se trouve une requête (no 37104/06) dirigée contre la République française et dont une ressortissante de cet Etat, Mme