Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie

(ASH) et au cofinancement de l'allocation personnalisée d'autonomie (APA). Des financements complémentaires sont apportées par les aides sociales versées par la branche vieillesse et la branche famille (aide au logement) et par la Caisse Nationale de Solidarité pour l'Autonomie. L'APA constitue la principale aide pour les personnes dépendantes. À ce titre, au 30 juin 2010, on comptait 1,174 millions de bénéficiaires de l'APA dont 719 000 à domicile et 455 000 en établissements. La dépense totale était

prévenir la maladie. Et la meilleure façon de prévenir la maladie, c’est d’agir sur les déterminants de santé, qu’ils soient sociaux, environnementaux, ou comportementaux ». En France, les dépenses de santé mobilisent plus de 11% de la richesse nationale, contre 9% pour la moyenne des pays de l’O.C.D.E. Dans un contexte de crise économique et sociale et d’assèchement des finances publiques d’une part, et de vieillissement lié à l’allongement de l’espérance de vie, les pouvoirs publics ont tenté

c'est-à-dire les fonctionnaires, les marins, les cheminots, les mineurs, etc… La construction juridique s’est ensuite effectuée selon deux idées de base de la sécurité sociale : Universalité et unité. Le troisième principe de base étant la notion de solidarité à l’origine de la mise en place de sécurité sociale. 3. La notion de risque social Les risques sociaux sont des "évènements" plus ou moins prévisibles liés à la condition humaine et au déroulement de la vie, modifiant les besoins des individus

Souvent écartelé entre individualisme et solidarité, l’individu d’aujourd’hui est, sans aucun doute, à la fois dépendant et autonome suivant la formule déjà utilisée par Emile Durkheim en 1893 : « comment se fait-il que, tout en devenant plus autonome, l’individu dépende plus étroitement de la société. Comment peut-il être à la fois plus personnel et plus solidaire ? »2. Cette réflexion est aussi celle développée par Edgar Morin : Définissant l’autonomie comme la liberté relative de l’individu au

compétence nationale et organismes à compétence local. 3.1- Les organismes à compétence nationale : ACOSS : Agence centrale des organismes de Sécurité sociale CNAV : Caisse nationale d'assurance vieillesse CNAM : Caisse nationale d'assurance vieillesse des Travailleurs salariés CNAF : Caisse nationale d'allocations familiales 3.1- Les organismes à compétence locale : URSSAF : Union de recouvrement de la Sécurité sociale et des allocations familiales CARSAT : Caisse CAF : Caisse d'allocations

toujours suscité l’intérêt des politiques, longtemps, elle a été ignorée ou traitée dans la seule perspective du maintien de l’ordre public. La prise en charge du handicap relève d’une construction sociale. Celle-ci a évolué de la charité à la solidarité de l’antiquité à nos jours. Durant l’antiquité, le handicap est signe de mauvais oeuil, les personnes sont soit gardées cachées au sein de leur famille, soit rejetées et laissées à une fin proche. Le moyen âge les relègue au rang des oubliés

responsabilité d’un ministre. des Solidarités, de la Santé et de la Famille, . http://www.sante.gouv.fr/ Ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche . http://www.education.gouv.fr/index.php . http://www.sup.adc.education.fr/handi-u/ Ministère délégué au logement et à la ville . http://www.logement.gouv.fr/ Ministère de l’emploi, du travail et de la cohésion sociale . http://www.travail.gouv.fr/ Sites d’établissements publics Institut national de la statistique et des

de la Solidarité et de la Ville » Vieillir est une chance à condition de pouvoir être acteur de son existence et citoyen à part entière. La qualité de vie des personnes âgées et notamment des plus fragiles, ce qui constitue une préoccupation centrale de la politique de Solidarité au Niveau National et Local. Que ce soit à dominicale ou en établissement, l’allongement de l’espérance de vie nécessite une prise en charge solidaire et durable de la baisse d’autonomie. I Au Niveau National : Ministère

|risque. | | | |Solidarité (nationale) : solidarité entre les actifs et les inactifs ; entre malades et bien-portants. Pour les individus n’ayant pas cotisé, l’Etat a prévu la | | | |prise en charge de certains risques (dont la maladie

des droits et de l'autonomie et à toute autre réclamation. Elles gèrent un fonds de compensation du handicap destiné à accorder des aides financières supplémentaires pour faire face aux dépenses restant à charge malgré la nouvelle prestation de compensation. Enfin, elles doivent obligatoirement organiser des actions de coordination avec d'autres dispositifs sanitaires et médico-sociaux concernant les personnes handicapées. Au sein des MDPH, la Commission des droits et de l'autonomie des personnes