Calembours

accompagnement musical) et les ballets jouent un rôle important. Ses comédies sont de style varié, de la comédie presque dramatique à la farce, en passant par la comédie d'intrigue ou de caractère, et il exploite toutes les formes du comique : mots (calembours, jurons pittoresques, obscénités...), geste (mimiques, coups), situation, caractère, satire. L'intrigue est simple, développée dans le prologue, ne se soucie pas de lien logique entre les scènes ni de vraisemblance. Les stéréotypes abondent dans

absurde, d'un quotidien ouvert à l'enchantement, de personnages si familiers qu'ils faisaient partie de la famille. Voilà qui a illuminé mon enfance et qui a nourri mon imaginaire par la dimension de la facétie, de la folie, du mot d'esprit et des calembours qui étaient pour moi, pour nous, l'apprentissage d'un langage. Le rire est une grâce, la plus belle grâce, qui a le don, avec la musique, et l'art en général, de transmuter le négatif en positif, d'embellir la vie et de lui donner un sens. Goscinny

L’agencement du poème, tend à tracer des perspectives cubistes, la dédicace du poème à Picasso n’est pas décorative. De nombreux jeux de mots tout au long du recueil sont des clins d’oeil complices avec le lecteur, sur le mode humoristique ( calembour « argent /Argentine » dans Zone). Le jeu de mots pousse le lecteur à une lecture active . Il délivre des significations plurielles et active le travail interprétatif du lecteur, relançant le plaisir du texte

encore lorsque notre attention est ramenée sur la matérialité d’une expression abstraite ou d’un sens figuré. • On rit aussi lorsqu’on affecte au langage les procédés comiques de l’inversion, de la transposition ou de l’interférence des séries (calembour, jeu de mots, où l’on joue sur les sens multiples d’une expression). Procédé de la transposition : transposer « l’expression naturelle d’une idée dans un tout autre ton ». • le comique de mots ne fait que « traduire les particularités de caractère

(L’Avare, Les Femmes savantes…) Les différents types de comique et de comédie[modifier | modifier le code] Édition des Œuvres de Molière. On distingue traditionnellement le comique de gestes (coups, accessoires, costumes…) le comique de mots (accent, calembours, répétitions, mots crus…) présents dans la farce le comique de situation (travestissement, quiproquo, surprise, reconnaissances…) le comique de caractère (satire, moquerie à l'égard d’un individu) le comique de mœurs (satire d’un comportement social

phrases ont la même versification (comme dans les chansons), beaucoup de jazz, le prénom Chloé = une chanson??? ● Jeux de mots: ➔ Mots-valises (ex: pianococktail) ➔ Surimpression (ex: gens d’arme) ➔ Contrepèterie (ex: Parte) ➔ Création néologisme ➔ Calembour (ex: base-ball) 2)Dans la société: ● Religion: la religion est friand d’argent (plus il y a d’argent en plus il y a des belles cérémonie), c’est perçu négativement car c’est à l'église que Chloé tousse pour la première fois —>pourquoi il y a un

embarrassante, ne parvient pas à se tirer d'affaire ou cherche à obtenir sans succès un objet ou un bien. 2. le comique de mots Apparaît dans les répétitions de termes (on parle également alors de comique de répétition), les jeux de mots et calembours, les jurons, l'emploi de jargons professionnels ou de mots déformés. 3. Le comique de caractère S’appuie sur deux procédés, la caricature qui vise à grossir les défauts ou à exagérer les traits de caractère d'un personnage pour le ridiculiser

effet un recul pris par rapport aux choses et aux personnes, recul dont l'animal est évidemment incapable. Le rire peut ainsi exiger une certaine culture, requérir la subtilité nécessaire pour percevoir une allusion, saisir un jeu de mots ou un calembour. Dans ce cas précis, bien sûr, le rire cède souvent sa place au sourire, puisque ce plaisir du déchiffrement est une activité qui peut rester solitaire. Tableau de confrontation : (L'ordre choisi pour remplir le tableau est l'ordre inverse des

réagir différentes parties du cerveau. Par exemple, une blague cognitive, qui se rapporte au raisonnement et à l'apprentissage, va faire réagir la région qui décode le langage. Pour ce qui est des blagues phonétiques, qui sont des jeux de mots ou des calembours, elles stimulent la région qui traite les sons. Donc, chaque farce est rie de différentes façons. Une autre recherche(4), où est utilisé un électroencéphalogramme pour visionner ce qui se passe dans le cerveau, expose les parties qui sont sollicitées

de devenir populaire grâce à son langage familier et à ses jeux de mot humoristiques. Depuis lors ses poèmes sont étudiés dans les écoles par exemple et il existe aussi des adaptations cinématographique. Il utilise des lapsus volontairement, des calembours, des néologismes (création de mot) ou des significations doubles pour donner de nombreux effets comiques inattendus. De plus il utilise les rimes et joue sur la longueur des vers pour donner du rythme et un son agréable à ses poèmes. Prévert est