Calembours

le quotidien). Il joue sur le décalage entre les événements et leur interprétation en défiant la logique. Il caractérise le comique de situation du théâtre du XXème 4. Le comique verbal. Il joue sur les mots, leurs sonorités, leurs ambiguïtés (calembours, déformations de la prononciation, jargons en tous genres, anagrammes, contrepèteries), double sens, mélange de champs lexicaux différents, association inhabituelle de mots… 5. L’humour. Il donne une dimension comique à un sujet sérieux en dévoilant

et dépourvu de sens. Les procédés du registre comique : Figures de style : répétitions mécaniques de mots ou de situations, hyperboles effets de chute, de rupture, de décalage le comique de mots : jeux sur les mots, jeux sur les sonorités, calembours (ex : une personne alitée pour une personnalité), contrepèteries (ex : le vélo du minus à partir de la Vénus de Milo), antiphrases (pour désigner un escroc : c’est un génie de la finance) le comique de gestes : grimaces, mimiques, chutes, coups

plusieurs syllabes dans des mots différents. « La femme boniche et potiche ». Elle souligne une opposition qu’un rapprochement. Le calembour consiste à rapprocher deux mots très semblables en apparence mais de sens différent. L’antanaclase est une figure distincte du calembour : « Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. » Alors que le calembour joue sur l’homonymie, l’antanaclase joue sur la polysémie, sur les sens un peu différents d’un même mot. Sur les antanaclases se fondent

Les paratextes dédicaces p35 rivalité ente père fils mais également sens de dettes au sens propre à son père qui le finançait. a. Le poète et la cigale p37 // b. la cigale et le poète p247a. Marcelle = Erminie + parodies de LF + jeux de mots calembour v 7-8b. Le poète à terminer de chanter et est déçus. Le poète vient montrer son recueil a Marcelle à qui il ne plait pas. Finis sur le fait qu’il faut qu’il chante puisque ce n’était pas de la poésie avant vu qu’elle n’a pas toucher son destinataire

n’échappe à l’ambiguïté ni aux incertitudes de l’interprétation. Ce qui est incontestable en revanche, c’est que les fenêtres synthétisent le mélange de comique (comique de répétition, clowneries, comique de mots, car l’extérieur est l’objet de calembours, etc.) et de tragique (enfermement, absence de perspective, cf. il n’y a rien « à l’horizon », omniprésence de la mort, absurdité, quête de sens et de savoir vouée à l’échec, etc.) qui caractérise Fin de partie.

proaspăt »), tandis que dans le film seulement le général allemand a l’honneur de goûter, plus précisément, de dévorer le lièvre, et les autres ne mangent que des haricots en conserves. Toujours liée à la scène du repas c’est la scène des 1.2.2. ou des calembours et chansonnettes, brièvement mentionnée dans la nouvelle comme la scène dans laquelle le comte K… « ne ducea numai în spirite şi calambururi, cărora le ţineam şi eu destul de onorabil piept, amintindu-mi de cei câţiva ani în care mîncasem o avere

permet le fonctionnement traditionnel de la comédie et de répondre aux attentes du spectateur. Les ressorts grotesques de cette scène sont multiples. a) Les ressorts comiques sont essentiellement auditifs : • calembours, et jeux de mots sont facilement accessibles à un public populaire, bruyant et pas toujours attentif. Plaute use donc d’une langue pittoresque : • des créations verbales ou proverbe : « ou est tu toi qui cherche à imiter les gens de Marseille »

qu'ont été de la vie mauvaise et tricheurs. Avec ses copains ils ont volé 500 écus d'or du collège de Navarre et Villon s'exila autre fois. Cet alors quand il a écrit "Le Lais" ou "Le petit testament". Cette œuvre est surtout pleine d'ironie et calembours. Elle parle des clercs criminels, son procureur, ses amis, son tuteur et les orphelins: trois petits enfants nus. Mais on découvre après que ces trois enfants pitoyables sont trois riches et idéaux usuriers, entre les plus riches de France:

pas HUGO de varier les registres et les tonalités et d’attirer l’attention du lecteur en ayant recours à l’humour : en supplantant le mot « place » par le mot « grâce ». Subtilement, Victor HUGO, encore une fois, nous surprend et, à l’aide d’un calembour, fait appel à la générosité, à la bonté du lecteur dont il tente d’ouvrir les yeux. Fait du lecteur, qui identifie le jeu de mots, un complice et introduit le salut de créatures bien souvent écrasées (v.24) sans la moindre prise de conscience.

souvenirs du collégien de Louis-le–Grand : dans le catéchisme chinois, Kou nous parle d’un « bon petit 8 lama nommé Stelca ed isant Errepi ». Pour le lecteur fermé à la logique du verlan, Voltaire juge bon de préciser en note de bas de page que ce calembour « signifie en français, l’abbé Castel de Saint-Pierre ». Visiblement ravi de sa facétie, il récidive quelques répliques plus loin avec « le prince de Décon contre le prince du Vis-Brunck ». Nouvelle note de bas de page : « C’est une chose très remarquable