Callicles Les Lois

comme excès Le désir est l'expression de notre puissance (Spinoza) Le désir est joie (Spinoza) Le désir est créateur La cristallisation (Stendhal) Comment atteindre le bonheur ? Satisfaire nos désirs : l'hédonisme Satisfaire tous nos désirs (Calliclès) Satisfaire certains désirs seulement (Epicure) Modifier nos désirs : le stoïcisme Modifier nos désirs Se satisfaire de notre action Etre prêt au malheur Supprimer nos désirs : le pessimisme Transformer nos désirs : la sublimation L'analyse

Le désir produit son objet : la cristallisation (Stendhal) 17 Conclusion : la marionnette et le volcan 18 IV. Comment atteindre le bonheur ? 18 A. Satisfaire nos désirs : l’hédonisme 18 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 19 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 20 B. Modifier nos désirs : le stoïcisme 20 1. Modifier nos désirs 20 2. Se satisfaire de son action : que notre vertu fasse notre bonheur ! 21 3. Être conscient des maux

appliquer aux hommes la loi naturelle : par ex celle des dieux Le seul accord des hommes entre eux ne suffit pas à faire la règle de droit.  L’ordre positif a pu être considéré comme la reconstruction des inégalités naturelles entre les hommes Callicles : personnage de Platon dans son œuvre « Gorgias »  ce qui est normal c’est que la force l’emporte toujours & le droit construit par les hommes n’aurait pas à être remis en cause.  Droit imposé par les plus fort : injustice apparaît si l’ordre naturel

initialement- oscille entre deux extrêmes2 . D'abord elle conçoit la liberté comme absence absolue de limites, rigoureuse négation de toutes contraintes, pouvoir absolu sur soi, les autres et le monde3 . Le prototype d'une telle liberté serait Calliclès lorsqu'il déclare4 : "Car comment serait-on heureux, quand on est esclave de qui que ce soit? Mais ce qui selon la nature est beau et juste, c'est ce que j'ai la franchise de te dire à présent : que celui qui veut vivre droitement sa vie, doit

mais qui n'aurait pas en lui le savoir des règles de politesse, de bienséance, pourrait porter atteinte aux intérêts d'autrui, il pourrait même le mettre en danger, ou encore contourner les règles juridiques en vigueur. Ce serait l'Homme soumis aux lois de la nature, capable de se défendre, mais qui n'aurait pas à l'esprit l'importance d'autrui, le respect qui lui est dû. D'où l'importance de la transmission entre les Hommes des connaissances réelles du monde, de la société, et donc de la transmission

déterminisme fut d’abord inspiré par la nature et fut par la suite appliqué à l’homme. L’homme est alors soumis comme la nature, à des lois invariables qui règlent les événements. Ainsi au XVIIème siècle, la naissance de la science moderne et le développement de la physique classique en observant la nature, va faire dire au scientifique que la nature est soumise à des lois invariables qui en règle l’enchainement (cause à effet). Le fait d’adapter cette notion d’enchainement à l’homme nous amène à nous

de satisfaction. Ex : Après un bon repas au restaurant, le corps est pleinement rassasié et n’en demande pas plus. Vision partagée par Calliclès qui admet que le bonheur consiste à s’adonner à tous les plaisirs et prône l’hédonisme qui veut la valorisation et la recherche systématique du plaisir. En conséquence de quoi, celui qui obéit à sa raison, ou aux lois, met alors des limites à ses désirs, s’oppose à notre nature, et s’empêche ainsi de vivre librement. Celui qui est raisonnable aurait

vers le bien ; et le philosophe peut aider l’homme politique dans cette tâche. Lors de son voyage en Sicile, il rencontre le prince Dion, qui incarne pour lui le « roi-philosophe ». Il conçoit, dans La République, une cité idéale et envisage, dans Les Lois, la possibilité de leur application concrète. 8) Géométrie et politique « Que nul n’entre ici s’il n’est géomètre ! » Cette devise, d’inspiration pythagorienne, était inscrite à l’entrée de l’Académie : la géométrie constitue pour Platon à la fois

La diversité des lois positives 2 B. L’idée de droit naturel 3 1. L’exemple d’Antigone 3 2. Il y a une justice naturelle au-dessus des lois particulières (Aristote) 4 3. La philosophie du droit naturel (Locke, Rousseau) 5 4. Les droits de l’homme 6 C. La critique du droit naturel 7 1. La critique des droits de l’homme (Marx) 7 2. Il n’y a pas de justice avant la loi (Epicure, Spinoza, Hobbes, Pascal) 8 3. Le droit naturel est une fiction (Kelsen) 8 Conclusion 9 II. La force des lois 9 A. La structure

Marquis de Sade se fait du bonheur semble alors incompatible avec la vie sociale. On ne peut en effet satisfaire tous ses désirs qui sont parfois cruels et démesurés : si l’on adoptait, comme  il le prône une certains anarchie du plaisir, en narguant les lois, ce serait à proprement parler la loi de la jungle. Chacun agirait pour sa propre personne et aurait peur de mourir ou d’être victime des désirs immodérés des autres. L’amour et l’amitié auraient-ils encore une sens dans un tel monde ? Ainsi l’on ne