Cas Pratique Commettant Préposé

entraîne de nombreuses conséquences. La distinction concerne d'abord les faits générateurs des deux responsabilités. -En matière de responsabilité civile, la responsabilité peut être engagée pour toutes sortes de faute (même légère) et dans certains cas sans qu'aucune faute ne soit prouvée. La responsabilité civile suppose toujours la preuve d'un dommage, puisque c'est ce dommage que l'on cherche à réparer. -A l'inverse, la responsabilité pénale ne peut être mise en cause que pour une faute qui

indemniser, ce qui est une bonne chose, faisons le hors le cas de la responsabilité civile, par exemple par des systèmes (lois) d'indemnisation. Certes, ce ne serait pas une sinécure car il faudrait prendre certaine(s) précaution(s) pour que ces lois ou systèmes d'indemnisation ne viennent pas concurrencer la responsabilité dans sa fonction de réparation. Une certaine alchimie, une maestria de la part du législateur (ce qui n'est pas toujours le cas malheureusement) est donc nécessaire pour préserver

juridique c’est le fait de rép des ses actes devant les tribunaux. A l’intérieur de cette grande catégorie on distingue : la resp pénale : le fait de rép des i° pénales que l’on a pu connaître et on en rép devant les tribunaux qui représentent dans ce cas la Sté - la resp A* : c’est celle de l’A* lorsqu’elle a commit des dommages aux particuliers la resp civil : elle implique que qq’un ait causé un dommage à un autre c’est donc le fait de rép des actes dommageables que l’on a causés à autrui. Elle-même

préjudice du seul fait de sa naissance ». Pb de constit et de conv car cette loi a été directement appliquée aux instances en cours. QPC du 11 juin 2010 qui déclare la loi inconstit sur la forme - appréciation in concreto dans un certain nb de cas la situation de la victime pose une difficulté du fait qu’elle se trouve dans une situation illicite . Non Application du principe de « NEMO AUDITUR PROPRIAM TURPUTUDINEM ALLEGANS » nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude.= le fraudeur peut

Responsabilité vient du latin respondere qui signifie simplement répondre de ses actes. D’un point de vue philosophique, la responsabilité va apparaître comme une condition de la liberté. D’autre part, la responsabilité juridique est nécessaire sur un plan pratique compte tenu du nombre de dommages qui interviennent tous les jours dans des domaines divers. Il faut face à ces dommages des règles de responsabilité qui soient prévisibles, sûres et efficaces. La notion de responsabilité au sens juridique va

contraire à l’article 1235 dans le cas de l’indu absolu : l’absence de dettes suffit à anéantir le paiement. ( Si la dette n’existe pas du tout, il doit y avoir immédiatement restitution, sans que l’on puisse exiger une autre preuve. ( Assemblée plénière, 2 avril 1993 : cour de cassation décide que le payeur n’a aucune autre preuve à rapporter que celle de l’absence de dettes, pour obtenir répétition de l’indu. II) L’exigence d’une erreur dans le cas de l’indu relatif : Article 1377 :

l’idée que la faute doit être imputable au défendeur et plus spécifiquement qu’il doit exister une relation de cause à effet entre la faute et le dommage. Donc, en principe le préjudice indirect ne peut être indemnisé. Notons que, dans certains cas, la jurisprudence admet parfois l’indemnisation du préjudice indirect — par exemple, un syndicat sera autorisé à demander la réparation du préjudice « direct ou indirect » qui a pu être causé à une profession déterminée, soit par un membre de cette

Cas pratique n°1 : Mme Reynier, pratiquante de kung-fu au comité de son entreprise, a blessé non intentionnellement son partenaire M Lob. Son geste ne relève pas des pratiques du kung-fu selon une déclaration. L’entreprise de Mme Reynier est assurés et M lob demande reparation du dommage corporel subis. M Lob va-t-il etre dédomagé de ce prjudice corporel ? Pour que la resp. civile soit engager il faut une faute, un dommage et un lien de causalité. Il existe des causes d’exonerations, qui prévoit

Paragraphe 2 La responsabilité des artisans 7 A) Les conditions 7 B) La nature et l’exonération 8 Paragraphe 3 La responsabilité des commettants du fait de leur préposé 8 A) Les conditions de la responsabilité du commettant 9 a) Le lien de préposition 9 b) Le fait du préposé 11 c) L’exigence d’un lien de connexité entre l’acte dommageable du préposé et ses fonctions : le lien avec les fonctions 11 a) L’absence d’autorisation 12 b) L’action à des fins étrangères à ses attributions

contractuelle ne se pose qu¶en l¶absence de responsabilité contractuelle de lµauteur. Il se peut que l¶existence d¶un contrat ente l¶auteur d¶un dommage et sa victime n¶empêche pas la mise en uvre de la responsabilité extra contractuelle , c¶est le cas quand le dommage n¶est pas causé dans l¶inexécution d¶une obligation contractuelle. La victime est créancière et l¶auteur le débiteur de l¶obligation. L¶obligation nait en dehors du cst du débiteur. Délit et quasi délit art 1382 à 1386 CC donc dans