Cas Pratique Droit Disparition Succession

Droit des successions en France Il était antérieurement possible de ne pas recourir aux services d'un notaire :     * si la succession ne comprenait pas de biens immobiliers,     * s'il n'y avait pas de testament, de contrat de mariage ou de donation entre époux. En effet les greffiers des tribunaux d'instance étaient autorisés à dresser des actes de notoriété, actes désignant les héritiers de la personne décédée. Une loi du 20 décembre 2007 a consacré la suppression de ce service public judiciaire

Le droit civil, des personnes et de la famille Le droit civil objet de notre étude est dans l ensemble du droit et dans l enseignement du droit une matière parmi d autre c est a dire une partie du droit qui se définit justement par la matière sur laquelle il porte : _ Il régit les personnes, les biens, les obligations, la famille et les suretés (garantie qui permet a un créancier de payer sa dette) Mais la matière ne revêt ni en quoi le droit civil est un droit comme les autres branches du

CAS PRATIQUE Ignès de la Morandière est mariée depuis des années avec le Comte de la Morandière dont elle a un fils, Jacques-Henri. Après quelques années de mariage Madame de la Morandière prend un amant, Vladimir Bahv, marin. Elle quitte son mari le Comte de la Morandière pour se remarier avec Vladimir Bahv. De cette seconde union naissent deux enfants Paul (01/12/1990) et Joe (13/02/1998). En 2006, Vladimir Bahv dans le cadre de son activité professionnelle part en expédition avec son navire

Titre 2: LES DROITS SUBJECTIFS Les droits subjectifs ont été développés à partir du 19ème, il consiste à accorder au sujet de droit des prérogatives particulières. Les droits subjectifs n’existe que parce qu’ils sont reconnu par le droit objectif. Ex : Article 544 du Code Civil est un article issu du droit objectif (codification) et cet article donne des prérogatives au propriétaire qui va pouvoir jouir de la manière la plus absolue de sa propriété. L’article 9 du Code civil reconnait à chacun

marque le début de la personnalité juridique et le décès en marque la fin. I/ Le commencement de la personnalité juridique Les personnes bénéficient de la personnalité juridique à leur naissance. A compter de cette date elles sont titulaires de droits et d'obligations. A) La naissance Naissance : moment ou l'enfant cesse d'être une part du corps de sa mère par son expulsion dans le milieu extra-utérin. Mais il ne suffit pas de naître pour être une personne il faut naître vivant et viable.

physique. Deux séries de difficultés doivent cependant être résolues. D’abord, la frontière entre la vie est la mort n’est pas toujours d’une parfaite netteté. Il convient par suite de préciser à partir de quand et jusqu’à quand exactement le droit accepte de tenir la personne pour existante: c’est la question de la durée de l’existence (section 1). Ensuite, il n’est pas toujours possible de savoir avec certitude si une personne – disparue par exemple à l’occasion d’une guerre ou d’une catastrophe

PARTIE 1 : DROIT DES PERSONNES Qu’est ce que la personne en droit ? personnalité juridique : l’aptitude à être titulaire du droit ainsi que de liberté. 2 sortes de personnes juridique -Personnes physiques : être H, on s’interroge sur animaux mais ce sont des biens particuliers, protection particulière : « les actes de cruauté ou sévisse envers animaux.. » Si aujourd’hui tous être H sont considéré comme personnes, n’a pas toujours été vrai : esclaves, évolution. Jusqu’en 1954 a exister sanction

physique. Deux séries de difficultés doivent cependant être résolues. D’abord, la frontière entre la vie est la mort n’est pas toujours d’une parfaite netteté. Il convient par suite de préciser à partir de quand et jusqu’à quand exactement le droit accepte de tenir la personne pour existante: c’est la question de la durée de l’existence (section 1). Ensuite, il n’est pas toujours possible de savoir avec certitude si une personne – disparue par exemple à l’occasion d’une guerre ou d’une catastrophe

et faisant naitre de obligations ? Un tel sujet recèle au moins deux intérêts. Un intérêt historique car il nous permet de voir l’évolution du mariage. Et u intérêt pratique dans la mesure où le mariage est une situation particulière d’un homme et d’une femme vivant en couple. Ainsi, nous analyserons ce sujet dans le cadre du droit de la famille en examinant dans une première partie le mariage comme un contrat et dans une seconde partie le pariage comme une institution. I- LE MARIAGE : UN

INTRODUCTION La succession d’Etat résulte en principe d’une mutation territoriale se traduisant par un transfert définitif de territoire d’un Etat à un autre quelle que soit sa forme: annexion d’un Etat par un autre, fusion de deux ou plusieurs Etats préexistant en un nouvel Etat, démembrement d’un Etat permettant la formation d’un ou de plusieurs Etas nouveaux, disparition d’un Etat à la suite du partage de son territoire entre plusieurs autres Etats. La commission de droit internationale définie