Cas Pratiques De Successions Et Libéralités La Représentation Successorale

les conflits de juridiction, puis le droit de la nationalité et la question des étrangers. A) Les conflits de lois Cette matière constitue le cœur du DIP, en tous cas historiquement. Le DIP s’est construit à partir de la problématique du conflit de lois, pour la France, à partir de ce qui était le conflit de coutume. Le cas des nationalités différentes : un des époux est français, l’autre espagnol, ils vivent en Allemagne. Ils souhaitent divorcer, faut-il appliquer la loi française, espagnole

inserted by s. 3 of Act 25 of 1981.] 40. En cas de séparation de corps, le droit d'usage, par l'un des époux, du nom patronymique de l'autre, s'exerce conformément aux règles édictées par l'article 273. [Art. 40 inserted by s. 3 of Act 25 of 1981.] 41. En cas de divorce, le droit d'usage, par l'un des anciens époux, du nom patronymique de l'autre, s'exerce conformément aux règles édictées par l'article 249. [Art. 41 inserted by s. 3 of Act 25 of 1981.] 42. En cas de dissolution du mariage religieux, chaque

temps : Précisé la notion même de contrat Suivre le processus de formation de ce contrat Envisager son exécution. Chapitre I : La notion de contrat En tant qu’acte juridique le contrat est une manifestation de volonté, mais dans la pratique on constate que la volonté qui est le fondement principal du contrat peut être à l’origine d’une infinité de contrat Section I : Définition du contrat. La définition légale est donnée par l’article 1101CC : « le contrat est une convention par

élément requis pour sceller le mariage, ce qui fait pencher la balance en faveur de la théorie du contrat. C’est la conception du droit canonique. Toutefois, un contrat « normal » peut être défait par la simple volonté des parties, ce qui n’est pas le cas du mariage. On se tourne alors vers la notion de mariage comme institution c'est à dire un acte de volonté par lequel les parties adhèrent à une institution préétablie par le législateur. 1 Droit de la famille Partie 1: Le couple. Second

fois, la loi explique en son sein le sens des mots (par exemple : le médicament sert à soigner). Sinon la jurisprudence est chargée de le faire. Par exemple la loi du 5 juillet 1985 a été prise pour améliorer le sort des victimes non conductrices en cas d’accident de la circulation routière. Leur degré d’inattention est indifférent dès lors qu’elle demande des réparations pour les préjudices corporels. En fait, cette loi tend à une indemnisation plus rapide de la part des assurances. Lorsque l’on parle

la donation, elle n’est valable que si elle est acceptée par son bénéficiaire, cependant quand elle a été acceptée elle ne créée des obligations qu’a la charge du donateur. Cas particulier : les donations avec charge, dans ce cas la les deux parties ont des obligations donc c’est un contrat synallagmatique. Troisième cas, l’acte unilatéral de volonté : une seule volonté s’exprime, il n’y a pas d’acceptation, on ne créé d’obligations que pour sois même (ex : le testament). Ce n’est pas un contrat

particuliers CHAPITRE 2 LES DROITS D’ENREGISTREMENT, D’HYPOTHEQUE ET DE GREFFE 2.1. 2.2. 2.3. Les droits d'enregistrement Le droit d’hypothèque Les droits de greffe CHAPITRE 3 LES DROITS DE SUCCESSION 3.1. 3.2. 3.3. 3.4. Droits de succession et de mutation par décès Taxe compensatoire des droits de succession Taxe annuelle sur les organismes de placement collectif, sur les établissements de crédit et sur les entreprises d’assurance Taxe annuelle sur les centres de coordination 2 Le Mémento

c’est-à-dire le fait que le couple ait des enfants : dès lors un couple non marié avec des enfants serait considéré comme une famille. La notion de famille peut néanmoins recevoir une définition différente selon la situation qu’il s’agit de régir : nom, successions etc. Le lien familial : La famille entend nécessairement un ensemble de liens. Ce lien peut donc être issu du mariage, lien d’alliance ou de la filiation, c’est-à-dire un lien de sang, ou de parenté. Mais on n’a pas pu ici définir le lien entre

(Code Civil en 1804) ont défini. Au sens juridique du terme, les personnes sont les êtres capables de jouir de droits. Aujourd’hui, tous les Hommes ont la personnalité juridique, ils sont donc capable de jouir de droit. Cela n’a pas toujours été le cas, les esclaves n’avaient pas la personnalité juridique, ils avaient le rôle d’objet et cela jusqu’en 1848 en France. Aujourd’hui en droit français, « Tous les Hommes naissent libres et égaux en droit ». Par conséquence, ils ont tous une qualité de personne

entre parenthèses la loi dont il est issu (ce qui donne des indications partielles sur son entrée en vigueur, car il faut encore savoir quand est entrée en vigueur cette loi)  Ex. la loi du 3 décembre 2001 qui a supprimé les discriminations successorales pour les enfants adultérins est entrée en vigueur le 1er juillet 2002  La recherche dans le Code se fait lorsqu’on n’a pas suffisamment retenu les numéros des articles pour s’orienter, car on est familier de l’usage. Les numéros peuvent s’apprendre