Cass 1ere Civ 16 Janvier 2007

autonomes. Les opérations économiques ne se situent plus aujourd'hui sur le seul terrain national. Aujourd'hui, il y a encore des pays émergents qui sont croissants. Ainsi, l'exportation mondiale sur une année était de 10 000 milliards de $ par an (2007). Les services commerciaux étaient de 2 500 milliards de $ par an. Les flux sont donc importants pour les échanges internationaux. Évidemment, ce développement du commerce mondial a eu de fortes répercussions juridiques. Évidemment, du point de vue

consentement soit libre, réel et non-vicié. A/ La nécessité d’un consentement libre Le principe qui gouverne la formation du mariage est celui de la liberté nuptiale. Cette liberté est consacrée par différents textes de droit international. Ce sont l’art 16-1 de la DUDH, l’art 12 de la CESDHLF ou encore l’art 9 de la Charte des droits fondamentaux de l’UE. Les trois attributs de la liberté nuptiale sont les suivants : 1/ La liberté de choisir son conjoint Chaque individu est libre de choisir son conjoint

l’organisation des juridictions. C’est surtout sur le fonctionnement des tribunaux. - Le décret du 12/05/1981 : il ajoute 2 livres au NCPC : des règles propres à certaines matières (divorce, filiation) et sur l’arbitrage. - La loi du 20/12/2007 a abrogé l’ancien code de procédure et elle a précisé que le nouveau code de procédure civile devenait le code de procédure civile. Appréciation sur le NCPC de 1975 : il a été très bien accueilli par tout le monde notamment du fait de nombreuses

euros (avant près de 160 000), la loi du 21 aout 2007 en faveur du travail de l’emploi et du pouvoir d’achat. Création de nouveaux statuts au niveau législatif : création du PACS en 1999 modifié en 2006, création de la RARR : renonciation anticipée à l’action en réduction. Création de mandat protection future, ou demande à effet post Um. Depuis 2001 évolution significative concernant le conjoint survivant avant la loi de décembre 2001. Depuis 2007 est exonéré compétemment de droit de succession ainsi

tutelles. La même autorisation est requise pour le partage amiable, et l'état liquidatif doit être approuvé par le juge des tutelles. Si l'acte cause un préjudice au mineur, les parents en sont responsables solidairement. » ) depuis une loi du 5 mars 2007. Ces actes sont très sérieusement encadrés car ils doivent être autorisés par le juge des tutelles sauf s’il y a consensus entre les parents. Exemple : contracter un emprunt au nom du mineur, vente de gré à gré, renoncer à un droit, etc. accord des

a pas de raison d'innover, c'est la notion civiliste ou administrativiste qui sera appliquée. La notion de délivrance de la chose en droit fiscal est directement extraite de C. civ. 1604 : CE, 31 mars 1978, Richard. La qualification des établissements publics en droit fiscal est la même qu'en droit administratif : CE, 16 décembre 1983, Office municipal du tourisme de la vallée de X…Cela signifie qu'un EP en droit fiscal est la même chose qu'en droit administratif. Par contre, lorsqu'il existe une

donner des avis sur les problèmes nouveaux qui apparaissent : o Le Comité consultatif national d’éthique (CSP Art.L-1412-1s) o L’Agence de la Biomédecine (CSP Art. L-1418-1) Existence d’un crime contre l’espèce humaine : o Clonage reproductif : Art.16-4 CC et 214-2 CP : 30 ans et 7 500 000 € o Eugénisme : 214-1 CP Règles régissant la procréation artificielle (cf filiation) Situation de l’embryon et des cellules embryonnaires : o Recherches/commerces sur cellules embryonnaires ou embryons : 511-15

conditions très restrictives. Le code civil fait tout pour que la famille ne puisse pas s’établir en dehors des mariages. On rétablit la puissance paternelle avec un chef tout puissant dans la famille qui est le père. Pour rétablir son autorité, jusqu’à ces 16 ans le père peut mettre enfant en prison, jouir de son patrimoine jusqu’à ses 18 ans B/ L’égalitarisme C’est une conséquence de l’individualisme. Lorsqu’une personne meurt le code civil ne fait aucune inégalité entre homme et femme, et égalité

« ou des choses » renvoi aux arts 1385 et 1386. Le mot « choses » est vague, ainsi un nouveau sens va ê donné à cet al 1, c’est ainsi qu’on peut déclarer resp qq’un qui utilise une chose qqonque dès lors qu’il cause un dommage à autrui. Arrêt Cour de Cass de 1896 Teffaine, qui a adopté la théorie de LAURENT, on est resp des dommages causés par la chose que l’on utilise. Ici la juris a été très présente, mais des lois sont intervenues dans des domaines très particuliers, notamment la loi du 5 juillet

thème fait ressortir que la protection du mineur est bien prise en compte par le droit positif (Première partie). Cependant bien qu’énoncée par le droit positif cette protection revêt un caractère insuffisant. (Deuxième partie). 1ère PARTIE : LA PROTECTION DU MINEUR ENONCEE PAR LE DROIT POSITIF Le mineur au vu de son inexpérience dans la vie extrafamiliale est considéré comme un être extrêmement fragile. Aussi est-il l’objet d’exploitation économique