Cass 1ere Civ 2 Juin 2004

de l’audience. Ce critère est d’ordre public. Ni un employeur, ni un accord collectif ne peut reconnaitre la représentativité d’un syndicat qui n’a pas obtenu ces 10 %. A cela s’ajoute le critère dit de l’ancienneté (il doit exister depuis au moins 2 ans dans l’entreprise), la transparence financière du syndicat, l’influence, le critère du respect des valeurs républicaines, mais encore l’indépendance vis-à-vis de l’employeur mais aussi vis-à-vis des groupes politiques. Enfin, il faut des adhérents

Juristfac 11/08/2005 COURS : Les contrats spéciaux (LICENCE - AFF) INTRODUCTION Art. 1107 al.2 Cciv. : Les règles particulières à certains contrats sont établies sous les titres relatifs à chacun d’eux ; et les règles particulières aux transactions commerciales sont établies par les lois relatives au commerce. L’objet de ce cours est d’étudier les règles particulières élaborées pour chaque type de contrat. Par exemple la vente relève de la théorie générale (question du consentement, de

collective est acceptée par les juges. Quels sont les domaines où les voix collectives peuvent intervenir devant les juges ? Question de savoir si ces associations sont en mesure ou non d’agir dans le cadre de l’intérêt collectif. Cf. article 2 du code de procédure pénale sur le préjudice direct et personnel. En matière civile il est possible d’agir si une personne exécute un acte qui porte atteinte à l’objet de l’association. Si deux personnes peuvent se grouper en association et qu’à

formation posées par l’article 1108 du Code civil ont bien été respectées. Pour le reste, on considère que l’équivalence des prestations n’est pas une condition de validité du contrat (1) dès lors que le contenu du contrat a été choisi de façon éclairée (2). 1. L’équivalence dans les prestations n’est pas une condition de validité du contrat. L’idée selon laquelle l’équivalence des prestations n’est pas une condition de validité du contrat se manifeste, de façon exemplaire, si l’on considère la lésion

ait décision de distribution. Les associés n’ont en effet pas de droit acquis à la répartition annuelle des résultats sociaux. Rq : si la société est unipersonnelle, l’associé unique appréhende seul les résultats positifs de l’exploitation 2) La contribution aux pertes (face négative) Problème : la société ne réalise pas nécessairement de bénéfices. Il est possible qu’elle réalise des pertes. On dit que le contrat de société est aléatoire : on ne récupère pas forcément sa mise. L’article

d'un tel cautionnement est alors non pas sa nullité mais la déchéance du droit du créancier d?invoquer ce cautionnement. Cette loi ne s'applique pas à la caution commerciale mais la chambre commerciale de la Cour de cassation a, dans un arrêt du 17 juin 1997 « Macron », étendu et généralisé le principe en retenant la faute de la banque qui avait accepté un cautionnement disproportionné et l'a condamné au paiement de dommages-intérêts. La situation des cautions dirigeant sociaux était désormais alignée

connaissances, tandis que la lecture solitaire d’un ouvrage est source de difficultés de compréhension sinon de contresens. Une telle lecture demande d’ailleurs plus de temps et d’effort pour l’étudiant (l’étudiant doit assister au cours et compléter par la 2 lecture d’un ouvrage). Enfin et de façon essentielle, le droit doit se parler, se discuter, être source de controverses : la parole le rend vivant. Mais toujours est-il que les étudiants sont ici parfaitement libres. Ce n’est pas le cas pour les

position serait contraire aux libertés, et suppose que ce groupement présente une utilité. Comment déterminer cette utilité? Critères flous et subjectifs. Quels serait le contour d'utilité permettant d'attribuer à un groupement la pers juridique? 2)Théorie de la réalité Au XIX e siècle a été conçu la théorie de la réalité liée à la Renaissance de la prise en considération d'intérêts collectifs. L'idée de cette théorie : la réalité de la personne morale existe en dehors de la volonté du législateur

chose ou personne. Et selon Malaurie, cette distinction entre la personne et la chose constitue le fondement principal de notre civilisation car sa a permis de libérer l’homme de l’esclavage. L’esclave était une chose puis on l’a considérer homme. 1ère PARTIE : LES PERSONNES Les personnes en droit c’est un sujet qui jouit de la personnalité juridique. En effet, la personnalité juridique peut se définir en droit comme l’aptitude a être titulaire de droit et être assujetti a des obligation. Cette

Chapitre 3 : Le Mariage Section 1 : La formation Pour que le mariage soit valable il doit respecter certaines conditions. Sous section 1 : Conditions de fonds Il y en a pour l’essentiel 2 A) Conditions d’habitude physique Elles tendent à se restreindre, celles qui ont disparu : Condition tenant à la puberté pour un homme 18 ans et pour une femme 15 ans avec l’autorisation des titulaires de l’autorité parentale, pb jeune femme mariée contre leurs grès. Le législateur est intervenu par une loi