Cass 3ème Civ 9 Décembre 1986

peut engager la responsabilité civile et 4 Le petit Larousse illustré 2011, p.492. Consacré par l’article 31 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne du 7 décembre 2000 6 Directive n° 2000-78. 7 Définition proposée le 7 décembre 2000. 8 Loi n° 2002-73 du 17 janvier 2002 de modernisation sociale. 9 Code du travail article (L122-49 à L.122-54) (ancien article120-4). 10 Code pénal français version 2011, article 222-33-2. 11 Loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits

jurisprudence, Les contrats spéciaux, R.C.J.B. 1985, 105 à 179; 1986, 317 à 454; 1995, 107 à 228; 1996, 263 à 385; 1999, 775 à 914; Stijns, S., Van Gerven, D., Wéry, P., Chronique de jurisprudence, Les obligations: les sources (1985-1995), J.T. 1996, pages 689 et s. et Les obligations : le régime général de l'obligation (1985-1995), J.T. 1999, pages 821 et s. Van Ommeslaghe, P., Examen de jurisprudence, Les obligations, R.C.J.B. 1986, 33 à 259 et 1988,33 à l99. Il s'agit là des principales sources

écrit papier ? 2. La validité des actes : En effet, certains actes ne peuvent être conclus qu'en l'étude d'un notaire (ex : contrat de mariage), donc, à l'époque, ces contrats n'étaient valables qu'avec un écrit papier. La loi CNUDCI/type du 9 décembre 1999 sur le commerce électronique répond à ces problématiques. Les dispositions contenues sont classées en 2 catégories. 1. Les dispositions communes reprises par tous les Etats Ces définitions ont planté le décor et ont été reprises

pornographie mettant en scène des enfants »9. Nous reviendrons sur la problématique des contenus préjudiciables au cours de notre second titre. Livre vert de la Commission du 16 octobre 1996 sur la protection des mineurs et de la dignité humaine dans les services audiovisuels et d’information, C.O.M. (96) 483 final, p. 7. 8 É. WÉRY, « Internet hors la loi ? Description et introduction à la responsabilité des acteurs du réseau », J.T., 1997, p. 417. 9 Communication de la Commission au Conseil,

« ou des choses » renvoi aux arts 1385 et 1386. Le mot « choses » est vague, ainsi un nouveau sens va ê donné à cet al 1, c’est ainsi qu’on peut déclarer resp qq’un qui utilise une chose qqonque dès lors qu’il cause un dommage à autrui. Arrêt Cour de Cass de 1896 Teffaine, qui a adopté la théorie de LAURENT, on est resp des dommages causés par la chose que l’on utilise. Ici la juris a été très présente, mais des lois sont intervenues dans des domaines très particuliers, notamment la loi du 5 juillet

implantation entreprise. 1384 alinéa 1er. Sur base dt espagnol c’est un régime classique de resp pour faute qui existe. En l’occurrence difficile d’estimer la faute du conducteur. Arrêt de principe donnant lieu à l’arrêt LAUTOUR 25 mai 1948, la cour de cass décide qu’en matière de resp délictuelle c’est la loi du lieu du délit qui s’applique. Cette solution a rendu difficile l’indemnisation des victimes. Cette q est la q du conflit de lois. Elle montre qu’il n’y a aucun pb au juge français à appliquer

1983 Ch.civ. Dès lors qu’au jour de la formation du contrat il y a une discordance entre réalité et la croyance on peut annuler le contrat même si après cette discordance disparait : Cour d’appel de Paris 19 janvier 1999. Affaire Poussin du 13 décembre 1972 Marcias. Les vendeurs vendent un tableau en pensant que ce tableau n’est pas l’œuvre de Poussin. Ils apprennent que c’est le cas. Le TA dit que c’est à l’opinion au moment de la vente qui doit être retenue. Peu importe ce que l’on croit après

 sentence  favorable  aux  Etats.       à  Nécessité  également  d’attirer  les  investisseurs  sur  le  territoires,  et  demande  que  les  investissements   soient  garantis  par  un  arbitre  totalement  indépendant.     Ex  :   Disney   à  loi  1986  qui  autorise  l’Etat  à  prévoir  l’arbitrage  conjointement  avec  des  sociétés  étrangères.  La   France  est  contrainte  d’adapter  son  droit  pour  Disney.     à   Très   souvent,   les   prêteurs   institutionnels   –   FMI   &   Banque

les droits qui sont énoncés dans la présente Convention et à les garantir à tout enfant". La Cour de Cassation en déduisait qu'il n'y avait d'obligation qu'à la charge des Etats et ne créait pas de droit au profit des particuliers. Arrêt Lejeune 1ère Civ du 10 mars 1993 bull. n° 103. Cette appréciation par les juges de l'intention des Etats partie est très fluctuante. Dans un arrêt du 18 mai 2005, la Cour de Cassation a opéré un revirement de jurisprudence, elle a jugé qu'au moins deux articles

en affirmant que « L’idée que l’un de nos semblables peut être indûment retenu dans un établissement d’aliénés est intolérable à la conscience humaine. […] Mais n’y eût-il, dans tous les établissements privés et publics de France qu’une personne 9 V. par exemple l’article 29 de la loi 30 juin 1838 permettant au tribunal du lieu de la situation de l’établissement d’ordonner si il y lieu la sortie immédiate. NICOLAU (G.), « L’héritière », Dalloz 1991, pp. 29-36. 10 11 REY (H.), « Les médecins