Cass Com 11 Février 2004

: Application de la loi dans le temps 8 Thème du TD TD6 : L’interprétation du droit 9 Littérature et respect de la vie privée TD7 : La personne physique 10 Les personnes morales et les droits de l’homme TD8 : Les droits de la personnalité 11 Chose et personne : l’animal & le robot TD9 : La preuve (1) 12 Vérité et légitimité en droit de la preuve (X. Lagarde) TD10 : La preuve (2) 2 Première partie : Le phénomène juridique Définitions Phénomène : 1/ Fait naturel constaté, susceptible

motivation, dispositif. 4 Le mécanisme du pourvoi en cassation : 5 EXERCICES : Rédaction de la fiche d’arrêt pour chacune de ces décisions. * Cass. Civ. 1ère, 20 décembre 2000, Bull. 2000 I n° 341 p. 220 Sur le moyen unique, pris en ses trois branches : Attendu que les sociétés Cogedipresse et Hachette Filipacchi font grief à l'arrêt attaqué (Paris, 24 février 1998) d'avoir ordonné l'insertion dans les hebdomadaires Paris-Match et VSD, dont elles sont éditrices, d'un communiqué faisant état de l'atteinte

les décisions prises en assemblée générale. 1 Cour de cassation, chambre commerciale, affaire ‘Saupiquet-Cassegrain’ du 21 janvier 1970, Bull. civ. IV n°28 ; JCP 1970, éd. CI, II, 89285, note B. Oppetit ; Rev. sociétés 1970, p. 292, note J.G. ; RTD com. 1970, p. 738, n° 16, obs. Houin 2 Sur ce point, voir Directive Européenne 2005 / 56 / CE d’ octobre 2005 dite « directive fusion », qui tend à faciliter les fusions transfrontalières au sein de l’union, sans parvenir à un résultat convaincant selon

permet une meilleure conformité formelle à la définition communautaire de l’action de concert posée par la directive 2004/25 du 21 avril 2004 – article 2.1.d. La loi de régulation bancaire et financière réintroduit la qualification de « commune » de la politique exercée vis-à-vis de la société, qui avait accidentellement disparu à la suite de la publication de la loi MURCEF du 11 décembre 2001 au Journal Officiel. Un article L. 233-10-1 est ajouté : Sont désormais considérées comme agissant de

Daniel ? 113 DECISIONS DE JURISPRUDENCE Faire une fiche d’arrêt à partir des arrêts reproduits ci-dessous : Cass. civ. 1ère, 1er décembre 1976 Sur le premier moyen : attendu que le divorce des époux P.-R., qui s'étaient mariés en 1952 sous le régime de la communauté réduite aux acquêts, a été prononcé par un arrêt dont les effets, quant aux biens, remontaient au 11 octobre 1963 ; Que les notaires Laurent et Sidoux ont été commis pour procéder à la liquidation ; Qu'ils ne purent

alors à proposer en priorité toute cession du fonds de commerce franchisé au 1. Paris, 16e ch A, 4 oct. 2000 ( deux arrêts), Versailles, 12 juin 1997 : D. aff. 1997, 931. 5. A. Van de Wynckele-Bazela, Pacte de préférence et contrat de franchise, D. 2004, chr. 2487. LE CONTRAT DE FRANCHISE 773 franchiseur 1. Si le franchisé ne respecte pas son pacte de préférence, le franchiseur peut aujourd'hui, sous certaines conditions et depuis un revirement de jurisprudence de 2006, obtenir l'exécution forcée

vigilant des lois rétroactives, le juge peut il encore édicter en toute liberté sous couvert s’interprétation, des règles jurisprudentielles à portée rétroactive. C’est la problématique question du revirement pour l’avenir qu’un arrêt du 8 juillet 2004 a semblé inaugurer44. En effet, pour la première fois la cour de cassation obéissant à la CEDH a écarté, à propos d’une question sur la prescription, une nouvelle règle jurisprudentielle car la solution contraire « aboutirait à priver la victime

des conditions de la validité du don manuel. En l’absence de tradition réelle il n’y a pas de don manuel. Le don manuel constitue donc un contrat réel : la promesse du don manuel est nulle. La jurisprudence a qualifié la tradition dans un arrêt du 11 juillet 1960 1ère civ : le don manuel n’a d’existence que par la tradition réelle que fait le donateur de la chose donnée, effectuée dans les conditions telles qu’elle assure la dépossession de celui-ci, et assure l’irrévocabilité de la donation »

lui appartenait seulement d’en apprécier la valeur probante ». Les recours des demanderesses étant donc rejetés, elles allaient présenter leurs moyens auprès de la Cour de cassation. . L’année suivante (Cass. com., 3 juin 2008, Stés Philips France et Sony France, n° 07.17147 et 07-17196, Bull. 2008, IV, n° 112), la chambre commerciale met à mal la légalité de la décision du Conseil de la concurrence et l’interprétation de la Cour d’appel en cassant l’arrêt

Les intérêts de retard et majoration en plus des intérêts légaux et conventionnels. 6 Expression de P.Pétel," l'allégement ou la suppression des intérêts", RJcom,1994, p.326 et suivant. 7 Cass. com., 6 mai 1997. 8 Cass. com., 29 avril 2003. 9 Article 1892 du Code civil. 10 Cass. com., 29 mai 2001. 11 Cass. com. 9 janvier 2001. 12 Thierry Bonneau, Droit bancaire, 7e édition, Montchrétien, 2007, n°502. 6 consenties( CMCC, escompte, affacturage ou dailly)13. Il faut toutefois relativiser la portée