Cass Com 16 Mars 2010

l'association Henri Capitant pour constituer un gpe de réflexion en vue de formuler un projet de réforme du droit des sûretés. Proposition d'une réforme qui visait toutes les sûretés, la réforme ne fut que partielle et intervenue par ordonnance du 23 mars 2006. La réforme a créé dans le code civil le livre IV intitulé «des sûretés». La réforme des sûretés personnelles a été mineure, le gvt a retenu deux textes qui définissent dans le code civil les deux nouvelles sûretés personnelles, la lettre d'intention

Méthode d’interprétation et sources en droit privé du droit positif, Essai critique, LGDJ, 1919, n°143, pp. 23-24. François GENY Document 6 : Intervention de Jean-Marc Sauvé 1, Vice-président du Conseil d’Etat, L’arme du droit, UNESCO, le 26 juin 2010, Journées organisées à l’occasion du bicentenaire du rétablissement du Barreau de Paris, Ordre et transgression - Les leviers juridiques du progrès. Le droit est-il une arme ? La réponse ne fait aucun doute. Elle est affirmative : le droit est une

.......................................................................................................................... 14 1-2-2 Le régime juridique de l’hébergeur et ses contraintes ............................................................ 16 1-2-2-1 Une interprétation large de la notion d’hebergeur par les juges ............................................. 17 1-2-2-2 Les effets limités des retraits de contenus illicites par les hébergeurs ................................... 19 2 | Les

capacité civile : pas de tutelle, pas de curatelle majorité ou autorisation judiciaire : cette condition a changé en juin 2010 . jusque là il été prévu qu'une personne mineure même émancipée ne pouvait pas exercer le commerce (art L121-2) et ceux dans le but de protéger le patrimoine de ce mineur. Cette règle a été modifiée par la loi du 15 juin 2010 ; l'art 413-8 prévoit désormais que le mineur émancipé peut être commerçant mais ce n'est pas automatique. Il faut une autorisation express

le commerçant n’avait plus rien et n’était plus rien civilement (plus de vote, plus d’activité commerciale). A la fin du 19e S, le débiteur défaillant n’est pas forcément malhonnête et a peut-être dans son activité joué de malchance. La loi du 4 mars 1889 a ajouté à la procédure de faillite, une procédure plus souple réservée aux commerçants malheureux et de bonne foi, c’est la liquidation judiciaire. A ce moment, on a deux techniques qui coexistent, la faillite et la liquidation judiciaire.

peut pas conclure des contrats qui seraient contraires à l’ordre public et aux bonnes mœurs : conventions interdites à l’ordre public. Art 16 CC met en place la notion de dignité de la personne humaine : Valeur cardinale interdisant l’esclavage. Exemple : le sadomasochisme est-il conforme aux droits de l’homme ? Consentir à cela est-ce abdiquer sa dignité ? Art 16-1 CC pose le principe du caractère extrapatrimonial ; le corps n’a pas de valeur marchande (on ne peut pas vendre son sang, ni sperme etc

- Convention de Rome du 19 juin 1980 : sur la loi applicable aux obligations contractuelles internationales, elle concerne tous les contrats et a une portée qui dépasse l’activité bancaire.  - Les deux Conventions de Genève des 7 juin 1930 et 19 mars 1931 (pas signées par les USA) : celles-ci sont spécifiques à l'activité bancaire et posent des règles matérielles. Ces dispositions ont été intégrées au code de commerce, elles concernent les effets de commerce (La lettre de change et le chèque)

procédure a en effet le caractère d’un incident, auquel il ne peut être donné suite par la juridiction saisie qu’autant 1 2 3 4 J. et L. Boré, « La cassation en matière civile », Dalloz action, 2009/2010, no 2949, p. 734. J. et L. Boré, « La cassation en matière civile », Dalloz action, 2009/2010, no 11273, p. 642. Articles 1028 du code de procédure civile et 647-1 du code de procédure pénale. Ord. de refus, 26 janvier 1977, X... Bulletin d’information • 15 décembre 2009 Communication qu’il

nombreuses entreprises ne sont pas exploités en sociétés. Il s’agit de toutes les entreprises individuelles qui sont exploités par une personne physique (commerçant, artisans, profession libérale). La distinction s’est un peu obscurci avec la loi du 15 mai 2010 qui a crée l’Entreprise Individuelle à Responsabilité Limitée (EIRL). Cette loi a autorisé l’entrepreneur individuel a scinder son patrimoine en séparant son patrimoine personnel de son patrimoine professionnel. Il s’agit d’un patrimoine d’affection

intermédiaires, les taux directeurs et l'approvisionnement en réserves dans le SEBC, et arrête les orientations nécessaires à leur exécution (Statuts, art. 12.1). Il est seul habilité à autoriser l'émission de billets de banque en euros (Statuts, art. 16). Il peut arrêter des règlements « en vue d'assurer l'efficacité et la solidité des systèmes de compensation et de paiements » au sein de l'Eurosystème et avec les pays tiers (Statuts, art. 22). À l'égard des BCN de l'Eurosystème, il adopte les orientations