Cass Com 18 Novembre 1997

il faut que les seuils nationaux soient dépassés. B) L’interdiction des pratiques anticoncurrentielles Elles sont de 2 types : - Ententes : Art. 81 TCE (101, Lisbonne), en droit national, l’art. 420-1 C. Com. les prohibe - Abus de position dominante : Art. 82 TCE (102 Lisbonne), L420-2-1 C. Com. Notes prises par T.A. 8 Droit de la concurrence – Mme Claudel – 2008/2009 On a aussi en droit interne un fondement spécifique : abus de dépendance économique  L420-2-2 Abus de position dominante

comptabilité Réglementation : loi n°83-353 du 30 avril 1983 visant à transposer en droit français les dispositions de la 4ème directive européenne d’harmonisation du droit des stés (voir RTDCom 1983, 424, obs. Derruppé), décret n°83-1020 du 29 novembre 1983 (RTDCom 1984, 66 ; obs. Derruppé) modifié par le décret n°2002-312 du 26 février 2002 (RTDCom 2002, 454, Saintourens). La comptabilité est définie comme « l’art d’enregistrer, suivant certaines règles, les mouvements de valeur qui se produisent

personne du commerçant Ces deux conceptions figuraient dans l’art 1 du Code de Commerce de 1807 qui est devenu L.121 -1 du Code de commerce de l’ordonnance du 18 septembre 2000 « Sont commerçants ceux qui exercent des actes de commerce et en font leur profession habituelle » En droit contemporain, depuis le CC et de l’ordonnance du 18 septembre 2000 cette art n’est plus en tête du Code. Il s’agit de l’ancien article 631 du C de 1807 qui est devenu L.110-1 qui est maintenant en tête . Pour

certitude de l’evenement pouvait être apprecier objectivement, mais aussi subjectivement. De ce fait, un evenement objectivement incertain pouvait être qualifiee de terme si les parties, à tort ou à raison, avait decider de le tenir pr certain. Ex: 1er civ cass 13 decembre 1994 TD 1, DOC1. Si l’on admet que… cela laisse l’apparition d’un terme potestative. Or, la condition potestative est nulle. Admettre qu’un terme puisse être determinee subjectivement permet d’echapper aa cette prohibititon. Ds une telle

Tournefeuille, né en 1955, vend successivement deux terrains dont il est propriétaire en 1973, puis en 1975. Il accomplit ces deux actes sans aucune autorisation de son tuteur légal ou du conseil de famille. En 1974, une loi vient fixer la majorité à 18 ans et non plus à 21 ans, comme c’était le cas antérieurement. Quid juris ? 2. Monsieur Lamourette possède un immeuble comportant cinq appartements. Ayant besoin de liquidités, il en vend deux le 20 décembre 1979, l’un étant vide, l’autre étant occupé

procédure arbitrale qui peut être choisie librement par les parties et, à défaut de choix, par la loi du siége de l’arbitrage ». Certaines décisions italiennes peuvent également être invoquées dans le sens du rejet de l’interprétation autonome[18]. En réalité la controverse sur le caractère autonome de la notion de sentence obligatoire est souvent formulée en des termes trop absolus. Une distinction parait s’imposer entre certains principes que la Convention elle-même a incontestablement

du contrat de franchise Deuxième partie: la franchise au Maroc: Chapitre I : Histoire de la franchise au Maroc : Section 1 : 1960-1990 : Phase de naissance de concept Section2 : 1990-1997 : Phase de croissance Section3 : 1997-2004 : Phase exponentielle Chapitre II : Les atouts du Maroc : Section1 : Situation de la franchise au Maroc  Section2 : Les perspectives de développement de la franchise au Maroc  Conclusion :

milliards d’euros, 3,4% du PIB. Le secteur associatif serait également le premier secteur employeur en France avec un volume d’emploi en équivalent temps plein de plus d’1 million de personnes (= 5% du nombre de salariés en France) avec en outre à peu près 18 millions de bénévoles représentant plus de 935 000 emplois. Le phénomène associatif est donc très important en France à un point tel qu’il figure en bonne place dans l’organigramme général de l’Etat puisque a été créé un conseil particulier directement

et les principes fondamentaux d'organisation et de fonctionnement des banques centrales nationales (BCN), sont fixés par deux grandes séries de textes, cités dans les développements qui suivent dans leur numérotation résultant du Traité d'Amsterdam (1997). Ces textes sont représentés par les chapitres 2 et 3 du titre VII du Traité de la Communauté européenne (Traité CE) qui fixent les règles de principe applicables à la politique monétaire unique et aux institutions du SEBC (Traité CE, art. 105 à 115)

Considérant que la société d'HLM pour Paris et sa région a, après appel d'offres, conclu le 11 février 1997 avec la société Dumez Ile-de-France un marché de réhabilitation de logements, propriété de l'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris et destinés à l'habitation des personnels de l'hôpital Joffre à Draveil ; que le conseil d'administration de l'Assistance Publique a, par délibération du 19 mars 1997, autorisé la conclusion au bénéfice de la société d'HLM pour Paris et sa région d'un bail emphytéotique