Cass Com 24 Avril 1990

De même lorsqu'on occupe sans titre d'un immeuble victime d'un dommage dans le cadre de cet immeuble. Lorsqu'un contrat est annulé, les dommages causés pendant l'exécution intermédiaire ne pourra engager que la responsabilité délictuelle (Civ 2e, 24 juin 2009, bulletin 3e partie, n°155). -Lorsque des manœuvres dolosives ont été commises au moment de la négociation du contrat, la responsabilité ne peut pas être contractuelle car le contrat n'a pas encore été conclu (Ch.com, 15 janvier 2002,

l’arbitrage international. Homayoon Arfazadeh, Ordre public et arbitrage international à l’épreuve de mondialisation, LGDJ, 2005. p. 60. Cass. 1re civ., 4 juiill. 1972, Hecht : Rev. crit. DIP 1974, p. 82, note P. LEVEL 6 Pierre MAYER, « Le contrat illicite », Rev. Arb. 1984. p. 222. 7 Charles JARROSON, « Arbitrabilité : Présentation méthodologique », RJ. Com. 1996. n°12. p. 3. 8 Henri MOTULSKY, Etudes et notes sur l’arbitrage, Dalloz, 1974. p. 64. 9 Homayoon Arfazadeh, Ordre public et arbitrage

Maître de conférences à l'université Montesquieu Bordeaux IV 1 (1) Cass. 1re civ., 31 mars 2010, no 08-20729 : Gaz. Pal. 22 mai 2010, p. 10, note É Mulon. 2 (2) Cass. 1re civ., 6 oct. 2010, no 09-12718 ; Cass. 1re civ., 16 avr. 2008, no 07-12814. 3 (3) V. Cass. 1re civ., 17 nov. 2010, no 09-68292, note en droit du divorce par A. Saporito (infra p. 21) et en droit des régimes matrimoniaux par J. Casey (infra p. 48). 4 (4) V. Cass. 1re civ., 15 déc. 2010, no 09-13856, note E. Mulon, infra p. 22. 5

adhérents de l’union. On peut citer d’autre part parmi les conventions internationale, l’accord sur les aspects des droits de propriété intellectuelle (ADPIC), annexe de la convention sur l’Organisation mondiale du commerce signé à Marrakech le 15 avril 1994 6 Les règles substantielles des conventions internationales auxquelles la France a adhéré se retrouvent en Droit interne. Mais le plus souvent, les règles du droit interne sont plus exigeantes ou plus précises. Cela est vrai quand il s’agit

DES ABREVIATIONS al. art. Ass. Nat. Bull. civ. Bull. COB Alinéa Article Assemblée Nationale Bulletin civil de la Cour de cassation Bulletin de la Commission des opérations de bourse 3 Bull. com. B.C.N.C.C. Bull. Joly Bull. Joly sociétés C. C.A. Cass. Cass. 1è civ. Cass. 3è civ. Cass. com. C. civ. C. com. Ch. Coll. D. D.aff. D.Cah.Dr.des affaires Doctr. Dr. et patrimoine Dr. sociétés Gaz. Pal. JCP. JCP. éd. E JO L. L.G.D.J. Bulletin commercial de la Cour de cassation Bulletin du Conseil national

efforts ont été déployé pour que les règles soient unifiées. Diversité des traités internationaux, de plusieurs types:   – Traités qui ont pour but d’unifier des règles matérielles entre les états contractants. Ex: Convention de vienne du 11 avril 1980 (relative à la vente internationale) Ces traités sont peu nombreux.   – Conventions qui unifient les règles de dip: vont permettre à tous les état parties à cette convention d’avoir les mêmes règles dans le domaine des conflits de loi ou

société, principalement à travers le droit politique représenté 4 5 Paul DIDIER, ouvrage précité, p. 34. Pierre-Clément TIMBAL et André CASTALDO, Histoire des institutions publiques et des faits sociaux, 9ème édition, éditions DALLOZ, 1993. 6 Cass. Com., 8 février 1972, Rev. soc. 1973, 145. concrètement par les droits de vote. Cette « participation à la vie sociale » semble donc, traditionnellement, caractériser le contrat de société. Nous verrons par la suite que ces questions relatives à

juridictions pénales, 221-237. § 2. – Action en réparation de droit commun, 238-239. BIBLIOGRAPHIE Ouvrages généraux : H. ANGEVIN, La pratique de la cour d’assises, 3e éd., 2002, Litec. – J.-M. CARBASSE, Introduction historique au droit pénal, 1990, PUF ; Histoire du droit pénal et de la justice criminelle, coll. Droit fondamental, 2000, PUF. – Ph. CONTE et P. MAISTRE DU CHAMBON, Procédure pénale, 4e éd., 2002, A. Colin. – ESMEIN, Histoire de la procédure criminelle en France, 1882, Paris. –

également à l’article 1326 du Code civil : les cautionnements commerciaux souscrits par un commerçant régis par le principe de liberté de la preuve posé par l’article L 110-3 du Code de commerce les cautionnements conclus par acte authentique (Com 20 mars 1990) Ainsi aujourd’hui l’exigence probatoire de mention manuscrite ne concerne plus que : les cautionnements souscrits avant le 1er février 2004 (date d’entrée en vigueur de la loi du 1er août 2003) Nous comprendrons pourquoi dans la 2e partie

capital. D’un côté, par le travail, on entend l’industrie personnelle ainsi que toute richesse qui découle de la force du travail des époux, ce qui comprend les gains et salaires (Cass., civ. 1e, 8 février 1978) et les éléments du patrimoine professionnel qui se sont réalisés au cours du mariage (Indemnités de licenciement : Cass., civ. 1e, 29 juin 2011). De l’autre côté, le capital entre en communauté, bien qu’il faille distinguer les transformations des accroissements. Tout bien acquis à titre onéreux