Cass Com 24 Novembre 1998

UPA – DROIT DISTRIBUTION Semaine du 4 novembre 2010 ––– PRINCIPES FONDAMENTAUX Cours de Madame le Professeur Clothilde Grare -Didier 7ème SEANCE : JURISPRUDENCE 2 L’application dans le temps VOCABULAIRE : Les étudiants devront maîtriser le sens des termes suivants : loi interprétative ; loi de validation ; espérance légitime ; revirement de jurisprudence ; common law.  Les lois de validation : l’affaire dite du tableau d’amortissement :  Document 1 : Cass. 1re civ. 20 juin 2000, Bull. I n° 191

grande instance sont quant à eux, seuls compétents pour connaître de la discipline des huissiers de justice (V. n° 23). 6. - L'action en responsabilité contre l'huissier de justice est soumise à la prescription quinquennale de droit commun (V. n° 24 à 25), même lorsque l'huissier de justice a représenté ou assisté son client. Sommaire analytique Introduction I. - Fondements de la mise en cause de la responsabilité professionnelle A. - Cas de responsabilité 1° Responsabilité pénale

famille, à Julie, et à mon père René Deffaux. 2 TABLE DES ABREVIATIONS An. Prop. Ind. Al. Art. Bull. Civ. Bull. dr. Aut. Cass. Civ.1ère Cass. Com. C.E.D.H Chron. Com. Com. Com. Elec. Concl. C.P.I. D.2000 Doc. Fran. Gaz Pal. JCP E JCP G J.O.R.F. Obs. OMPI Pet. Aff. Préc. P.U.F R.D.P R.I.D.A R.T.D Civ. T. Civ. Marseille T. Com. Marseille TGI Marseille Annales de la Propriété Industrielle Alinéa Article Bulletin Civil Bulletin du Droit d’Auteur Cour de

phnomne tait du un miettement quasi-ininterrompu de cette branche du droit, corollaire de son htrognit. Lhonntet commande de faire cependant observer quil sagissait l dun mouvement aux origines fort anciennes si lon veut bien se souvenir que dj la loi du 24 juillet 1867 sur les socits commerciales navait pas t insre dans le Code de commerce de 1807. Le diagnostic une fois pos, lensemble des remdes prconiss tant par la doctrine que la jurisprudence passaient pratiquement tous par laffirmation dun ncessaire

La Faculté de Droit Virtuelle est la plate-forme pédagogique de la Faculté de Droit de Lyon www.facdedroit-lyon3.com Fiche à jour au 10 décembre 2006 FIICHE PEDAGOGIIQUE VIIRTUELLE CHE EDAGOG QUE RTUELLE Diplôme : Master 1 Matière : Droit international privé Web-tuteur : Sabine Robert SEANCE N°8 – LA PREUVE DE LA LOII EANCE N A PREUVE DE LA LO ETRANGERE ETRANGERE SOMMAIIRE OMMA RE I. A. LA CHARGE DE LA PREUVE DE LA LOI ETRANGERE LA SOLUTION TRADITIONNELLE FONDEE SUR LA DISTINCTION

le caractère réel de ce contrat, ce qui avait pour conséquence que les parties n’étaient pas engagées au moment de l’accord des volontés mais seulement au moment de la remise de la chose prêtée (Cass, Civ 1, 20 juillet 1981). La cour de cassation, face au scepticisme des auteurs, a produit un arrêt (Cass, Civ 1, 28 mars 2000) dans lequel elle procède à un revirement : « le prêt consenti par un professionnel du crédit n’est pas un contrat réel. » Et, la première chambre civile de la cour de cassation

autant, ils ne sont pas soumis en totalité au régime des impôts. On peut siter la redevance pour construction de locaux à usage de bureau en Ille-de-France ( décourager les constructeur de bureaux – pas assez de logement et trop de bureau ). CE, 3 Novembre 1967, Ministre de L'Economie et des Finances / Marc. TITRE 2 – LES DIFFERENTES FORMES D'IMPOTS CHAPITRE 1 – LA CLASSIFICATION DES DIFFERENTES FORMES D'IMPOTS Si l'on s'axe sur le bénéficiaire : Impôts locaux, impôt d'état, impôt sociaux. On

doivent être considérées comme propres à leur auteur. 2 Sommaire Introduction p. 4 Première partie : organisation du contentieux des sanctions de l’AMF p. 23 I – Détermination du juge compétent II – Pouvoirs du juge saisi p. 24 p. 35 Deuxième partie : bilan du contentieux des sanctions de l’AMF p. 46 I – Contentieux de la régularité des sanctions de l’AMF II – Contentieux du bien-fondé des sanctions de l’AMF p. 49 p. 63 Conclusion p. 74 3 INTRODUCTION

partie. Tel serait le cas, par exemple, lorsque « l’administrateur ou directeur général tire profit de la convention sous quelque forme que ce soit (ristourne, commission ou autres avantages même pécuniaires)4 ». L’article 2 de la loi n° 2000-93 du 3 novembre 2000, portant promulgation du code des sociétés commerciales a abrogé les articles 14 à 188 du code de commerce. 3 Aux termes de l’article 217 du CSC « En cas d'empêchement, le directeur général peut déléguer tout ou partie de ses attributions à

MEMBRES DU JURY Président : M. Mohamed BELHKAYAT ZOUKKARI –Expert -Comptable DPLE Directeur de recherche : M. Larbi EL AOUFIR – Expert-Comptable DPLE Suffragants : M. Mohamed HDID – Expert-Comptable DPLE ; M. Kamal KADIRI – Professeur à l’ISCAE Novembre 2005 REMERCIEMENTS Je tiens à présenter mes remerciements les plus vifs à Monsieur Larbi EL OUFIR, mon directeur de recherche, pour les conseils précieux qu’il m’a prodigués pour l’encadrement de ce travail de recherche. Mes remerciements vont