Cass Com 24 Novembre 1998

revirement est intervenu le 26 mai 2006 (Ch. Mixte, 26 mai 2006, Bull. Mixte, n° 4, D. 2006, p. 1861.) permettant la substitution, à condition que la double preuve soit 10 apportée. Cette position a été réitérée par un arrêt du 3 novembre 2011 (Civ. 3e, 3 novembre 2011, pourvoi n°10-20936). SECTION 2 LA CLASSIFICATION DES CONTRATS La liberté contractuelle permet à chacun de conclure tout accord à sa convenance. Il est impossible d’en dresser un inventaire. Il convient toutefois de prévoir des

comme de l’autre. Toutefois, l’élément de ralliement de la clientèle est ici un signe particulier que l’on appelle le nom de domaine. Ce nom se décompose en deux parties : un vocable, qui peut correspondre au nom commercial, et une extension en « .com» ou « .fr» notamment 10 . La fonction de ce signe est originale et essentielle. C’est par lui qu’un internaute pourra trouver l’adresse du site de commerce électronique et s’y connecter. Son régime juridique est également particulier

abréviations al. Alinéa art. Article Bull.civ Bulletin civile de la Cour de cassation CA Cour d’appel Cass Cour de cassation Cass.Com Cour de cassation, chambre commercial C .Com Code de commerce C.O .C Code des obligations et des contrats C.P Code pénale V. voir C.Paiem

(Civ 2e, 24 juin 2009, bulletin 3e partie, n°155). -Lorsque des manœuvres dolosives ont été commises au moment de la négociation du contrat, la responsabilité ne peut pas être contractuelle car le contrat n'a pas encore été conclu (Ch.com, 15 janvier 2002, bulletin 4e partie, n°11). -- >Dans le cadre d'une rupture brutale des pourparlers, seule la responsabilité délictuelle peut être envisagée puisque le contrat n'est pas formé (Civ1e, 6 janvier 1998, JCP, n°1066 ou Ch.com. 26 novembre 2003, Manouchian)

D’ACTIONNAIRES Sous la direction de Monsieur le Professeur Nicolas RONTCHEVSKY -2004- PRINCIPALES ABREVIATIONS Art BRDA Bull civ. Bull Joly CA Civ. Com. Comm. D Dr. Sociétés DH EFE GP Infra IR JCP JCP E JCP N JO LMBO Obs Op.cit. p. pan. PUAM RDB et fin. Rev. sociétés RJDA RTD civ. RTD com. S Som. Supra T. Com article Bulletin rapide de droit des affaires Bulletin des arrêts de la Cour de cassation, chambres civiles Bulletin mensuel Joly arrêt d’une cour d’appel

français. L’arrêt Huard (Cass. com. 3 novembre 1992, Bull. IV, n° 340) est en ce sens très remarqué : cet arrêt semble manifester d’un ébranlement de la règle posée par l’arrêt Canal de Craponne en introduisant par le biais de la notion de bonne foi une obligation de renégociation du contrat entre une firme pétrolière et son distributeur à l’occasion de changements dans l’économie du contrat. Une solution similaire a été retenue dans l’arrêt Chevassus Marche (Cass. Com 24 novembre 1998, Bull. IV n° 277)

98 IR. 10 ; Gaz. Pal., 1998.1, panor. cass. p. 116, Journal n° 134 p. 116) admis que la relaxe du chef de blessures involontaires et de divagation d’animal dangereux exclut la responsabilité en tant que gardien de l’animal. On notera toutefois que la Cour de cassation a refusé plus récemment de faire jouer la règle en cas d’infraction matérielle (Civ 1ère, 7 octobre 1998 - Bull. civ. I n°286 ; D. 1999 somm. 7 obs. P. Jourdain ; Gaz. Pal., 1999.1, panor. cass. p. 18). Plus généralement, deux objections

l’application de la théorie (jurisprudence constante). Cette théorie largement critiquée en doctrine semble d’ailleurs aujourd’hui purement et simplement abandonnée comme l’illustre l’important revirement de jurisprudence intervenu : 2ème civ. 4 novembre 2010. (les faits étaient similaires à ceux de l’espèce). « la victime d’un dommage causé par une chose peut invoquer la responsabilité résultant de l’article 1384 alinéa 1er du Code civil, à l’encontre du gardien de la chose, instrument du dommage

DE DROIT LE TRAITEMENT DU CONTENTIEUX BANCAIRE Thèse pour le doctorat en droit privé de l’université de Saint-Etienne (loi du 26 janvier 1984 – arrêté du 7 août 2006) tel-00700056, version 1 - 22 May 2012 Présentée et soutenue publiquement le 24 mars 2011 Par ERIC NEMADEU DJUITCHOKO Sous la direction de M. Pascal ANCEL Professeur à l’université de Saint-Étienne Jury : M. Pascal ANCEL Professeur à l’université de Saint-Etienne M. Hervé CAUSSE Professeur à l’université de Clermont-Ferrand M.

chambre à la Cour de cassation. Document extrait du site officiel de la Cour de cassation (p. 3 à 17). * « Méthode du commentaire de décision judiciaire », (p. 18 à 21). 2e séances – L’OFFRE DE CONTRACTER (p. 22) 3e séance – LES POURPARLERS (p. 24) 4e séance – PROMESSES UNILATÉRALES ET SYNALLAGMATIQUES (p. 27) 5e séance – L’ERREUR (p. 29) 6e séance – LE DOL ET LA VIOLENCE (p. 32) 7e séance – L’OBJET DU CONTRAT (p. 35) 8e séance – LA CAUSE DU CONTRAT (p. 38) 9e séance – LA NULLITÉ