Cass Com 9 Mai 1995

Code de commerce ottoman pas plus que la Medjella n'ont jamais été appliqués dans notre pays. Le Pacte fondamental devait apporter des modifications profondes au système en vigueur. Garantissant la liberté du commerce et de l'industrie, (articles 9 et 10) le Pacte se proposait de créer des tribunaux "composés d'hommes éminents pour connaître des différends que peut engendrer le commerce, cette source de prospérité des Etats...". L'article VII du Pacte prévoyait la composition de ces tribunaux mais

le plan juridique, la fusion est l'opération par laquelle deux ou plusieurs sociétés réunissent leurs patrimoines pour ne plus en former qu'une seule. La fusion suppose donc la réunion d'au moins deux sociétés préexistantes. Elle peut résulter (C. com. art. L 236-1, al. 1) : -  soit de la création d'une société nouvelle par des sociétés existantes qui lui transfèrent l'ensemble de leur patrimoine, activement et passivement, au moment de leur dissolution sans liquidation (fusion par création d'une

obligations contractuelles qui n’avaient pas de contre-partie directe. Il y a trois applications : o Concernant les dates de valeurs : ch com 6 avril 1993 Dans cet arrêt (D 310), il est dit qu’il est interdit aux banques d’antidater les retraits de leurs clients et de postdater les dépôts. o Les arrêts Chronopost Chronopost I ch com 22 oct 1996 : Faits : la société Chronopost s’engage à livrer un colis dans un délai déterminé et en parallèle elle limite sa responsabilité pour

Dalcq, R.O. et Schamps, G., La responsabilité délictuelle et quasi délictuelle, jurisprudence (1987-1993), R.C.J.B. 1995, pages 525 et s., 663 et s.; Dalcq, R.O. et Glansdorff, F., Examen de jurisprudence, La responsabilité délictuelle et quasi délictuelle, R.C.J.B., 1987, 601 à 672 et 1988, 391 à 493; Fagnart, J.L., La responsabilité civile, Chronique de jurisprudence (1985-1995), Les dossiers du Journal des Tribunaux, 1997; Moreau-Margreve, I., Biquet-Mathieu, Ch. et Gosselin, A., Grands arrêts

partenariat…). L’OCDE a même réuni en janvier les dirigeants des 45 plus importantes administrations fiscales pour créer des mécanismes de transparence : véritable joint-venture (projet élaboré par une association d’entreprises). |RDF n°16 17 avr 2008, com 131 : rapport sur la lutte contre la fraude et l’évasion fiscale : plus de transparence voulue par l’OCDE, règles plus | |équitables notamment // au secret bancaire, directive épargne (échange d’informations sur les intérêts payés par un agent

administratif, de façon générale, la mesure d’expertise n’ouvre droit à honoraires qu’à partir du moment où la note est déposée « en tenant compte de l’importance, des 7 Analyse de Marie- Anne Frison- Roche et Denis Mazeaud, l’expertise, éd.Dalloz 1995, p 88 à 90. Créé par élise FONS. Contact : http://fonel.perso.cegetel.net/ 6 difficultés et de l’utilité du travail fourni et le juge arrête sur justificatif le montant des frais et débours »8. Le principe fondateur de l’expertise au pénal

particulières pour certaines infractions, certaines formes de criminalité. Il s'agit de procédures dérogatoires à la procédure de droit commun. Ex : loi du 18 mars 2003 en matière de lutte contre le terrorisme dérogatoire au droit commun. Ex : loi du 9 de mars 2004, dite loi PRBEN II, loi qui a introduit une procédure d'enquête dérogatoire au droit commun en matière de criminalité organisée. L'idée qui a fondé cette loi est que la criminalité dispose de bcp de moyens technique lui permettant de faire

direction d'une « loi d'achèvement », l'autre en faveur d'une « loi de rupture » C'est ainsi qu'a été votée, dans un relatif consensus, la loi du 26 mai 2004 dont les dispositions ont été complétées pour ce qui concerne la procédure par un décret du 29 octobre'2004. Néanmoins, ce conformisme de façade ne doit pas tromper. Sous son couvert, la loi du 26 mai 2004 opère une réforme profonde. Ces dispositions sont applicables depuis de 1er janvier 2005 (sauf pour les procédures en cours qui seront achevées

n’était pas de punir (notion morale) mais de réparer (notion juridique). En pratique, il arrivait que le dément fût plus riche que sa victime, auquel cas la solution devenait particulièrement détestable, y compris d’ailleurs du point de vue moral. Les !9 tribunaux trichaient alors sur les faits, mais pour le bon motif, affirmant de manière assez gratuite que l’intéressé avait agi dans un intervalle lucide : voilà bien le jugement d’équité ! Mais autant l’équité fait merveille dans les cas atypiques

d’Assises La Cour d’Appel confirme ce jugement sous une autre argumentation : il s’agit d’un délit politique car l’infraction en cause est une manière pour le VB d’exister et partant de faire connaître son programme. 4) Cass, 18/11/2003, Appel de Gand 21/04/04 et Cass.9/11/2004, Vl. Blok- DEMOCRATIE Cette interprétation du délit politique est cependant en totale contradiction avec la jurisprudence de la Cour de Cassation, qu’elle réaffirme dans son arrêt du 18/11/03. Pour qu’une infraction