Cass Crim 18 Novembre 2003

soit dans son principe, soit dans son montant (art. 1104 al. 2 C. civ.) 2. L’intérêt de la distinction a. Le contrat aléatoire n’est pas rescindable pour lésion b. Néanmoins, l’aléa n’exclut pas le pouvoir judiciaire de réduction (Civ. 1ère, 23 novembre 2011) C. La distinction contrats à titre gratuit/contrats à titre onéreux 1. La distinction a. Le contrat à titre gratuit ou de bienfaisance est celui dans lequel l’une des parties procure à l’autre un engagement purement gratuit (art. 1105 C

responsabilité délictuelle à l'égard des tiers => "les tiers à un contrat sont fondés à invoquer l'exécution défectueuse de celui-ci lorsqu'elle leur a causé un dommage sans avoir à rapporter d'autres preuves" Principe posé par la 1ère Civ dans arrêt 18 juillet 2000, confirmé ensuite par Ass Plen dans arrêt 6 octobre 2006 * Cas dans lesquels le tiers se prévaut de l'existence du contrat pour en tirer un avantage On rencontre cette situation lorsque le tiers invoque l'existence d'un contrat auquel

CPNE-FP ne s’était vu confier aucune mission de service public ni prérogatives de puissance publique qui auraient été de nature à exclure la compétence du Conseil de la concurrence, selon les critères définis par la jurisprudence du Tribunal des conflits (18 octobre 1999, Aéroports de Paris). Dès lors, le refus d’habilitation de la CPNE-FP constitue un acte de production relevant de l’article L. 410-1 du Code de commerce. Si l’appréciation de la conformité du comportement d’une entreprise aux clauses d’un

b – Les détenteurs occasionnels du pouvoir réglementaire..............................17 2 – Le domaine du règlement.....................................................................................18 a – Le domaine « traditionnel » du règlement..................................................18 b – Le domaine « extraordinaire » du règlement..............................................19 Section 2 : les sources non écrites......................................................................

internationaux : acte de gouvernement ou réserve du pouvoir discrétionnaire ?, Revue de droit international et de droit comparé (RDIDC) 1986. 78. – L. FAVOREU, Le Conseil constitutionnel régulateur de l’activité normative des pouvoirs publics, RD publ. 1967. 18 ; L’acte de gouvernement, acte provisoirement et accidentellement injusticiable, RFD adm. 1987. 544 ; Le droit constitutionnel, droit de la Constitution et constitution du droit, RFD const. 1990. 71. – T. R. FERNANDEZ, Le principe constitutionnel d’interdiction

2001, une jurisprudence constante rejette la qualification d’homicide involontaire du fœtus en s’appuyant sur le principe d’interprétation stricte de la loi pénale et on a considéré qu’autrui ne devait pas être étendu à un fœtus (Arrêt Cass Crim du 2 Décembre 2003. La Cour de Cassation a considéré dans ce cas qu’il y avait homicide par imprudence lorsque l’enfant est décédé à la suite d’un accident dont a été victime sa mère. Le décès était ici intervenu 1 heures après la naissance). Si l’acquisition

c. civ., pour contracter mariage, la femme doit avoir 15 ans et l'homme 18. On parle de "puberté légale". Certains y voient une exigence de maturité. Depuis 1970 (art. 145), il est possible d'obtenir du Procureur de la République une dispense pour "motifs graves". Il s'agit essentiellement de la grossesse de la femme. Il est question d’assurer l’égalité des sexes en prévoyant que la femme comme l’homme doit être âgée de 18 ans. Il n’y a pas d'âge maximum, le mariage ne doit pas nécessairement entraîner

la sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales du 4 novembre 1950). De le Conseil de l’Europe estime même, dans une recommandation (77)31 du 28 septembre 1977 sur la protection de l’individu au regard des actes de l’administration, que les citoyens ont un droit d’accès aux éléments d’information avant l’intervention d’un acte administratif ; de manière plus développée, la recommandation (81)19 du 25 novembre 1981 sur l’accès à l’information détenue par les autorités publiques affirme

Policy For Rural Broadband Service Providers (JCLP), v. 14.1; J. LARRIEU: L’Internationalité et Internet (Lamy Droit des Affaires), [février 2002]. 9 Cité par S. El ZEIN, op. cit. voir aussi C. CUTAJAR : La Loi pour la Sécurité Intérieure (Paris, D.), [2003]. 10 Cité par S. El ZEIN, op. cit. p. 154. © M. Chawki – Ce document provient du site iehei.org 4 M. Chawki, Essai sur la notion de cybercriminalité, IEHEI, juillet 2006 __________________________________________________ pas définie, son

courses, achat => renvoi au règles des droits de la consommation / voiture=> renvoi aux règle du code de la route / achat immobilier / transport en commun etc…) La définition du droit soulève des difficultés: Georges Vedel, prof de droit décédé en 2003 à qui on avait demandé de définir le droit à une conférence. Celui ci sèche sur cette question innocente malgré avoir beaucoup côtoyé le droit : "Si je sais mal ce qu'est le droit dans une société je crois savoir ce que serait une société sans droit"