Cass Crim 6 Mai 2008

.........p. 5 2. Le modèle européen : le contrôle concentré...........................................................................................................................................................................................p. 6 B. Le contrôle de constitutionnalité en France............................................................................................................................................................ p. 7 1. Les normes de référence du contrôle

PREFACE A l’occasion de la réunion constitutive de son comité sur l’environnement, quarante-cinq magistrats des Cours membres de l’AHJUCAF ont été accueillis à l’Ecole Régionale Supérieure de la Magistrature de l’OHAHA (Bénin) les 26 et 27 juin 2008 pour débattre du droit pénal de l’environnement et de l’influence des conventions internationales sur le droit interne de l’environnement. La direction scientifique des travaux a été assurée par Monsieur Michel Prieur, Professeur émérite de l’université

d'exceptions : - lorsque l'inexécution de l'obligation contractuelle est constitutive d'une infraction pénale. En pareil cas, la Chambre criminelle de la Cour de cassation impose au juge d'appliquer les règles de la responsabilité délictuelle ( crim, 17 mai 1966, JCP 1966 II n°14703 ). Or la victime pouvant à son choix porter son action devant les juridictions civiles ou devant les juridictions pénales, elle dispose de fait d'une option. - il existe encore une entorse dans le domaine des actions

contenus contrefaisants mis à disposition par des utilisateurs qui diffusent les contenus de leur choix. 6 HADOPI et IFOP, « Hadopi, biens culturels et usages d'Internet : pratiques et perceptions des internautes français, BU2-octobre 2012 », janvier 2013. 7 Preventing Real Online Threats to Economic Creativity and Theft of Intellectual Property Act, proposition déposée au Sénat en mai 2011, son examen a été ajourné en janvier 2012. 8 Stop Online Piracy Act, proposition déposée à la Chambre

l’attitude du CE qui s’estime lié par l’avis émis par le ministre des affaires étrangères en matière d’appréciation du respect de la clause de réciprocité, sans le soumettre à la critique ni à un débat contradictoire car celle-ci est contraire à l’article 6-1 de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme qui stipule « le droit de tout requérant à être entendu par un tribunal de pleine juridiction » (CEDH 13/02/03 Chevrole contre France). L’intérêt pratique de cette condamnation reste

de l’administration 4/58 Index analytique A Appel en cause. ................................................ 15 Appel en garantie. ............................................ 16 Attroupements ...................................................6 C Causes exonératoires........................................ 12 Cas fortuit.....................................................13 Fait d’un tiers ............................................... 13 Faute de la victime .............................

critères de rattachement permettant de maintenir les liens qui font de cette entreprise une de ses ressortissantes. 6. Une fois les conditions préalables à la réalisation du transfert international de son siège social remplies, la société migrante que ce soit hors ou dans le champ d'application du droit communautaire se doit de procéder à différentes démarches: une prise de décision -6- AZENCOT Muriel|Le transfert international de siège social|Décembre 2011 du transfert conforma à sa loi d'origine

N° 434 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2009-2010 Enregistré à la Présidence du Sénat le 5 mai 2010 RAPPORT D’INFORMATION FAIT au nom de la commission des affaires sociales (1) et de la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale (2), par le groupe de travail sur la prise en charge des personnes atteintes de troubles mentaux ayant commis des infractions (3), Par M. Gilbert BARBIER, Mme Christiane DEMONTÈS, MM. Jean-René

décrets autonomes du 1er ministre qui en application de l'article 37 de la constitution. Au niveau 5 de la pyramide, on va trouver les décrets d'application pris par le 1er ministre par application de l'article 21 de la constitution. Puis au niveau 6, les arrêtés inter-ministériels et ministériels. Au niveau 7, les arrêtés préfectoraux pris par le préfet, les arrêtés pris par le président du conseil général, de niveau 8, les arrêtés municipaux. Le principe hiérarchique signifie qu'un texte de

l’administration. Ces éléments confirmeraient le principe selon lequel la compétence suit le fond (le fond détermine la compétence): lorsque l’on sait quel est le droit à appliquer, on connaît la juridiction compétente. Or cela n’est pas toujours le cas. Cass. Civ. 23 nov. 1956, Trésor public c/ Giry : « le juge judiciaire a fait application des règles du droit administratif ». On désigne ces règles comme le régime administratif. Ce régime n’est pas propre à la France, mais le système français reste spécifique