Cass Mixte 26 Mai 2006

cassation, ainsi que ceux rendus par l’Assemblée plénière ou en chambre mixte Mode de citation : Cass. 1 re civ. (ou Civ. 1 re ), 27 mai 2010, Bull. civ. I, n° 121 (arrêt de la première chambre civile de la cour de cassation, publié au Bulletin civil de l’année de la décision) ; Com., 4 mai 2010, Bull. civ. IV, etc. *****Le Bulletin criminel regroupe les arrêts essentiels rendus par la chambre criminelle. Mode de citation : Cass. Crim. (ou Crim.), 14 avril 2010, 09-83503, Bull. n° 74. *****Le

l’atténuation de la responsabilité. Le droit pénal n’est subjectif que partiellement. Souvent le droit pénal n’abordera l’individu que par ces actes, néanmoins il considère également de manière objectif la criminalité. En fait le droit pénal est une approche mixte de la criminalité. - Le phénomène criminel est une réalité sociale : Cette réalité s’apprécie dans le rapport entre le développement de la société et celui du phénomène criminel. La dimension sociale se caractérise en fonction de la perception des

étrangère des écoles. On savait qui avait voté pour. La Cour de cassation a estimé que le simple fait d’avoir voté en faveur de cette décision constitue la part personnelle à l’infraction, et donc le maire et les conseillers sont responsables (Ch. Crim, 11 mai 1999) Depuis cet arrêt, la jurisprudence est hésitante, et juge un peu au cas par cas. Par exemple, elle a décidé que le maire qui s’abstient délibérément de voter pour une résolution (à laquelle il a un intérêt) mais qui à la sortie du CM se

primauté de l’AUDSCGIE en matière du droit des sociétés commerciales que « l’AUDSCGIE n’abroge pas les dispositions législatives particulières auxquelles sont assujetties les sociétés soumises à un régime particulier. S’agissant d’une société d’économie mixte d’assurance, soumise au code CIMA et aux dispositions législatives et statutaires non conformes au code CIMA, ne peuvent recevoir application. Et seules doivent être mises en harmonie avec l’AUDSCGIE les dispositions pour lesquelles le code CIMA n’a

sa volonté expresse ou tacite mais non équivoque, le débiteur de l'obligation peut faire naître à la fois le debitum et l'obligatio et donc le créancier va pouvoir exiger l'exécution de cette obligation. C'est ce qui résulte des arrêts de la Cour de cass (ch civ 14 janvier 1952) + (1ère ch civ 10 oct 1995 bulletin 352). 
>Existe t-il des obligatio sans debitum ? Selon certains auteurs lorsqu'une caution s'engage à garantir la dette d'une autre personne elle ne souscrirait qu'une obligatio dépourvue

régime. Ce principe signifie que lorsque les époux ont opéré un choix ils ne peuvent pas ensuite le modifier. Ce principe etait apprécié de manière absolue en 1804 mais a connue certain assouplissement par une loi 13/07/1965 et par une loi du 23/06/2006 * Le principe de l’unité de gestion des biens du ménage entre les mains du mari : ce principe permettait au mari de d’assurer la puissance partiale sur la femme et la puissance maternelle sur les enfants nés du mariage. (n’existe plus aujourd’hui)

l’économie générale du contrat. 1ère Civ Cass 7 mars 1989 : L’obligation de sécurité du transporteur n’existe que pendant la période de transport proprement dite. Avant et après, il n’y a plus d’obligation de sécurité. Avant, il y avait un fractionnement en trois parties de l’obligation de sécurité. C’est avantageux pour la victime, car cela lui permet de se placer sur le terrain délictuel et invoquer une responsabilité délictuelle sans faute de la SNCF. 2éme civ Cass 10 janvier 1990 : n accident dans

d’interdiction de louer rend moins louable le bien. Il en serait de même pour une clause d’inaliénabilité en principe : or l’ article 900-1 CC, ces clauses sont valables si elles sont limitées par le temps et justifiées par un intérêt légitime. Voir Cass. Civ 1ère 15 décembre 2005. - Le risque de paiement « au prix de la course » des créanciers Le créancier face à un débiteur sans sûreté peut redouter un paiement auprès d’autres créanciers selon la règle du prix de la course. Le débiteur

responsabilité du créancier n’est engagée que s’il met en œuvre une mesure d’exécution forcée. La jurisprudence a considéré que le simple fait pour le créancier de faire signifier le titre provisoire à son débiteur engage sa responsabilité (Ass.Pl., 24 février 2006, Bull. civ n°2) puisque « l’ordonnance de référé ayant été signifiée à la requête du créancier le débiteur était tenu de l’exécuter si bien que les conditions de son droit à réparation étaient satisfaites ». Il faut que la décision ait été notifiée

prescription. La Ccass a décidé que la durée de la prescription du titre exécutoire est déterminée par la nature de la créance qui est constatée par le titre. Cette solution a fait l’objet d’une évolution jurisprudentielle achevée par un arrêt Cass mixte 26 Mai 2006. Dès lors, en principe le délai de prescription de la créance qui sera celui du titre est de 5 ans depuis la loi du 17 Juin 2008. Contenu du titre exécutoire : le titre doit contenir nécessairement trois mentions. Tout d’abord l’obligation