Cassation 16 Novembre 2011 Pourvoi

Cours d’introduction au Droit Constitutionnel - Théorie du droit - Théorie de l’État - Théorie de la constitution Bibliographie : * Constitution française du 4 octobre 1958, Paris, La documentation française, 2011 La théorie de l’État Comment est structuré juridiquement un État ? Quelles sont les règles juridiques qui le fondent ? Comment identifier un État et le différencier d’autres groupements en discernant son fonctionnement ? * La suprématie de la constitution

internationales ont peut englober les juridictions européennes. La différence entre les cours et les tribunaux : Les cours sont supérieurs aux tribunaux : une affaire commence au tribunal puis en cas d’appel elle passe en cour d’appel puis en cour de cassation. Si l’on commet un crime l’affaire est diriger directement vers la cour d’assise et en cas d’appel c’est la cour d’assise d’appel qui reprend l’affaire. La notion « les tribunaux » est une notion générique pour englober l’ensemble des juridictions

obligation de sommes d'argent ou livraison chose de genre. Imprévisible: pas prévue, JSP hésitante, Civ 1è a tendance à marginaliser ce critère si on peut pas empêcher l'évènement Civ 1è 9 mars 1994 (recentre force majeure sur irrésistible: Civ 1è 6 novembre 2002 la seule irrésistibilité de l'évènement caractérise la force majeure) mais Plen 14 avril 2006 rappelle les trois critères et appréciation de l'imprévisibilité de l'évènement au jour du contrat. Pas imprévisible l'assassinat d'un voyageur en

ce droit. Une deuxième source spontanée : Les usages du commerce international (LEX MERCATORIA). La troisième source : La jurisprudence arbitrale internationale ; l'arbitre peut il s'affranchir du conflit de loi. Amiable compositeur. La cour de Cassation a pu à certaines occasion dégager un certain nombre de règles, arrêt 2 mai 1966 GALAKIS (n°44) La question posée dans cet arrêt celle de savoir si l'Etat peut être parti a un arbitrage. A l'époque, certains articles interdisent a l'Etat français

s'est refusé à examiner la compatibilité d'une loi à un traité. La Cour de cassation avait adopté la même solution en 1931. Justification : Le Conseil constitutionnel avait lui seul la tache de faire respecter l'article 55. Le Conseil constitutionnel à la faveur de l'arrêt IVG de 1975 a adopté une position différente et a décidé qu'il ne lui appartenait pas de contrôler la conformité des lois avec un traité. La Cour de cassation par l'arrêt Jacques Vabres qui est un arrêt du 24 mai 1975 s'est reconnue

prestation il s’agira d’un contrat de sous-traitance et non d’un CT. La cour de cassation semble réticente à admettre l’existence d’un CT entre un ministre du culte et son église. Le CT a put être reconnu dès lors où le LS pouvait être caractérisé. Il en a été ainsi jugé à propos d’un pasteur protestant( cassation sociale 1997) et pour un rabbin (Paris 1996). Pourtant dans une décision du 12juillet 2005 la cour de cassation à poser comme principe qu’un pasteur protestant ne pouvait avoir de CT pour l’exercice

fonction des besoins de la société. On tient moins compte des volontés du législateur, notamment pour des règles anciennes qui ont perdu en signification. Aujourd’hui, d’un côté les juges restent attachés à la méthode de l’exégèse, même la cour de cassation n’agit pas comme si elle avait la possibilité de créer une règle de droit, elle s’appuie toujours sur une règle de droit existante. Elle peut l’interpréter de manière libre. D’autre part la méthode téléologique se fonde sur une disponibilité d’une

prononcer des décisions de justice. Derrière ce terme, se trouvent plusieurs termes spécialisées, certaines juridictions s’appellent des tribunaux (TGI, TI, T de commerce…). Il y a d’autres juridictions qui portent le nom de cour (cour d’appel, cour de cassation, cour d’assise). Il y a un troisième terme que l’on rencontre, ce sont les conseils (conseil d’Etat, conseil de Prud’homme). Concernant l’étymologie du mot « juridiction », il est issu d’un double terme latin « juris dicere » qui signifie « dire

Sous-section 2. Actualisation sélective  Actualité rassurante car très limitée — Nous rendrons compte des décisions habituellement citées, dans les IEJ »sensibles », sur le thème de la condition : 2 1/ Sur la condition potestative  Cass. civ. 1ère, 16 mai 2006 : l’arrêt illustre l'obligation alternative et l’exclusion qu’elle opère de la potestative. La première chambre civile consacre sa pleine efficacité pour mieux la distinguer d’une condition potestative. Pour la première Chambre civile, l'obligation

l'assureur régulièrement mis en cause n'a pas comparu en première instance, il peut néanmoins interjeter appel du Jugement qui l'a condamné, et de présenter, alors, avant toute défense au fond, une exeception de nullité de son contrat. Cass. Crim., 16 Janvier 2007, 06-80185 ; L'aArgus de l'Assurance, n°7014, p.40 Seules les exceptions de non garantie totale du fait dommageable peuvent être soulevées par l'assureur. Celui-ci ne peut donc invoquer la réduction proportionnelle de taux