Cassation Com 19 Mai 1998

la COB, autorité administrative indépendante, dont les missions sont de veiller à la protection de l’épargne, à l’information des investisseurs et au bon fonctionnement G. SOROS, « L’intégrisme libéral menace la démocratie », L’Expansion, 19 au 22 décembre 1998, n° 585. F. MER, discussion du projet de loi de sécurité financière devant le Sénat, séance du 18 mars 2003 : « Quelle que soit son ambition, cette loi ne supprimera pas le risque, et c’est heureux, car le risque est un moteur nécessaire pour

291 L’aspect dissuasif : les sanctions pécuniaires et la publication des décisions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 294 Application des nouveaux plafonds de sanction prévus par la loi dite NRE du 15 mai 2001 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Motivations des sanctions pécuniaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le plafond des sanctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Publication des décisions

établis par Gaz de France et Suez, sur la base de leurs comptes arrêtés au 31 décembre 2007 ayant fait l’objet d’un rapport par leurs commissaires aux comptes respectifs, et approuvés par leurs assemblées générales respectives en date du 19 mai 2008 et du 6 mai 2008. Les bilans, comptes de résultat et annexes arrêtés au 31 décembre 2007 (consolidés et sociaux) de Gaz de France et Suez figurent respectivement en Annexes 1 et 2 du Traité de Fusion (les « Comptes de Référence »). IV - Méthodes d’évaluation

d’après la convention de 1924 et le droit français 18 chapitre 1 : la délimitation de la responsabilité du transporteur en cas d’intervention d’un acconier monopolistique 18 Section 1 : La remise des marchandises par l’acconier monopolistique 19 Section 2 : La remise des marchandises à l’acconier monopolistique 24 chapitre 2 : la responsabilité de l’acconier monopolistique 38 Section 1 : Le domaine de responsabilité 38 Section 2 : Le régime de responsabilité 44 2eme partie :

de la demande, l’instruction de l’affaire), ✓ les règles relatives au jugement (l’autorité de la chose jugée, la force exécutoire) ✓ les règles relatives aux voies de recours (appel, opposition, tierce opposition, pourvoi en cassation, recours en révision) ✓ la réglementation de l’arbitrage. 4. Les voies d’exécution Il s’agit des règles relatives à l’exécution forcée des jugements, avec le concours de l’huissier : la saisie immobilière et les diverses saisies

même si par après le destinataire acquiert des connaissances suffisantes. On peut d’ailleurs relever un arrêt mettant en avant le caractère profane du client du faisait de son jeune âge. Il s’agissait de l’arrêt rendu le 18 mai 1993 par la chambre commerciale de la cour de cassation. Dans cette affaire un jeune étudiant obtint de son banquier l’ouverture de trois comptes de titres. Celui-ci opéra à terme pour des montants faibles puis il procéda à des opérations boursières pour des enjeux importants

de l’associé ou membre concerné. Lorsqu’un membre ou associé s’était retiré de la personne morale, il pouvait néanmoins se voir appliquer l’article L 624-1 si la cessation des paiements était antérieure à la publication de son retrait (Cass. Com. 9 juin 1998). B – Dirigeants fautifs Les dirigeants d’une société ou plus généralement d’une personne morale ne sont pas en cette seule qualité des professionnels indépendants répondant sur leur patrimoine personnel du passif de la personne morale. Ils ne

connaître la volonté de contracter mais dont on peut en déterminer la volonté. Exple : locataire qui reste après expiration du bail. 2) Une proposition ferme L’offre doit indiquer la volonté de son auteur d’être lié en cas d’acceptation (Arrêt com. 6 mars 1990). L’offre peut contenir des réserves imposées par l’offrant. Exple : offre d’emploi (réserve d’agrément qui tient à la considération de la personne). La réserve d’agrément est présente dans tous les contrats intuitu personnare, c.à

de la future société -       vérifier la solvabilité des fondateurs   Jurisprudence a fluctué : -       au départ, Cour de cassation a imposé une obligation stricte -       Com., 18 juin 1985, Bull IV n°101 : rend responsable le banquier qui connaissait bien le marché et ne pouvait donc ignorer que les chèques seraient sans provision. -       Com., 8 octobre 1985, RTDCom 1986 p270 Cabriac et tessier : la banque est responsable de la fourniture d’un chéquier alors que les fondateurs

constitutionnel a à la fois rendu licite et encadré cette attribution[pic](14). Toutes les autorités de régulation | |cependant ne disposent pas d'un tel pouvoir : seules la CRE[pic](15), l'AMF[pic](16), l'ARCEP[pic](17), la HADOPI[pic](18) et l'ARAF[pic](19) | |en bénéficient. Indépendamment de ce pouvoir, les autorités de régulation peuvent être consultées par le gouvernement sur l'adoption de mesures| |réglementaires[pic](20). De manière générale, il appartient à ces autorités de préciser les conditions