Cassation Criminelle 1er Juin 2005

Leçon 1 : LE SYSTEME JURIDIQUE FRANCAIS ⇨ Le mot « droit » est susceptible d’être entendu dans 2 sens principaux. • 1er sens : ce mot désigne un ensemble de règles de conduite imposé par l’autorité publique et qui régit les rapports entre les personnes. C’est ce que l’on appelle : le Droit objectif. Ces personnes qui sont des sujets de droit se voient ainsi reconnaître par le Droit objectif des droits subjectifs. • 2ème sens : On appelle donc droits subjectifs les prérogatives (les pouvoirs)

territorialité énoncé à l’art. 113-2, al. 1er CP : « La loi pénale française est applicable aux infractions commises sur le territoire de la République ». NB : en l’espèce, tous les éléments constitutifs de l’infraction semblent réunis. => L’application de la loi pénale à l’infraction peut se faire en vertu de ce principe même si l’auteur est de nationalité étrangère puisqu’en vertu de la primauté du principe de territorialité, c’est l’art. 113-2, al. 1er CP qu’il faut retenir en l’espèce. Ä

croisées une première fois en 2004, les courbes collaborateurs et associés se sont inversées en 2009. Il y a donc depuis le 1er janvier 2010 davantage d’avocats associés que de collaborateurs. Le mode salarié reste stable autour de 6 % de l’effectif, sa croissance est 7 fois moins forte que la croissance de la population des avocats. Source : Ministère de la Justice - DACS - au 1er janvier N°2 L’affaire Courroye Le procureur de Nanterre Philippe Courroye a été nommé avocat général à la cour d'appel

préoccupations des législateurs répressifs. Ces considérations s’expriment sur les plans Philosophique Politique technique. Sur le plan philosophique, on s’aperçoit qu’il existe 2 fondements possibles et logiques de la répression pénale. 1er fondement : l’idée d’utilité. Pour les auteurs attachés à l’utilité du droit pénal, il s’agit de déterminer les infractions et les sanctions en fonction de la seule nécessité du maintien d’ordre social. Ce fondement, on le trouve exprimé sur les théories

l’origine de proposition de réforme. La jurisprudence a créée des pans entiers de la responsabilité civile. Des groupes universitaires ont fait des réformes ainsi que des parlementaires : Prf CATALA avant-projet de réforme présenté le 30 septembre 2005, une proposition de loi par le sénateur Betelle en date du 9 juillet 2010 et dernier projet présidé par le PrF Fr Terré en droit de la responsabilité en mars 2011. Une reconstruction totale de la responsabilité civile. La chancellerie va à son tour

l’arrêt de la chambre sociale de la Cour de Cassation du 15/12/2010, faîtes le point sur les finalités de la rupture d’un commun accord et de la transaction. Sur le moyen unique : Vu les articles 1134 et 2004 du code civil ; Attendu, selon l'arrêt attaqué que Mme X... engagée en qualité de technicienne céramiste le 18 décembre 2000 par la société DMC2 France aux droits de laquelle vient la société Ferro couleurs France, a signé le 22 septembre 2005 un "accord de rupture amiable pour motif économique"

juridiques des DSI, dans un environnement mouvant, mondial et externalisé. 12/66  Seule une personne physique peut, en principe, répondre d’une faute par une sanc- tion pénale. Cette situation a changé depuis l’entrée en vigueur, le 1er mars 1994, de l’article 121-2 du Code pénal3 , qui pose le principe de la responsabilité pénale des personnes morales. Les motifs du projet de loi étaient, d’une part, « vaincre l’immunité des personnes morales qui, par les moyens de grande ampleur

l'absence de modification de la loi pénale et dès lors que le principe de non-rétroactivité ne s'applique pas à une simple interprétation jurisprudentielle, un demandeur ne saurait se prévaloir des dispositions plus favorables d'un arrêt de la Cour de cassation » [6]. Cette forme de rétroactivité éventuelle due à la jurisprudence donne lieu à débats. II. Principe de non-rétroactivité des lois civiles, sauf exception [modifier] Un principe exprimé par le code civil [modifier] Le principe de non-rétroactivité

trancher conformément aux règles du droit international les différents que les Etats vont lui soumettre. La Cour s'est prononcé notamment en matière de nationalité. E / L'UE : L'essor véritable du DIP au sein de l'UE est du au traité d'Amsterdam (1er mai 1999). La commission a compétence alors de faire du DIP. II / Les diverses normes internationales : A / Les traités ou conventions : Les traités bilatéraux / multilatéraux Quel avantage d'un traité bilatéral ? Les traités bilatéraux sont beaucoup

principes de l’organisation moderne : séparation pouvoir, unité des juridictions civiles et pénales, égalité des individus devant la justice, double degré de juridiction, unicité d’appel. La loi des 27 novembre et 1er décembre 1790, crée un tribunal de cassation : ancêtre de la cour de cassation. Sous empire, le système mis en place par ces lois est préservé et on fait évoluer ce système, ces évolutions vont toucher le personnel de la justice. Les magistrats sous l’empire ne sont plus élus mais nommés