Catalogue raisonné

l’idée que le sentiment d’un éternel recommencement, bien que légitime, relève de l’illusion (I). La légitimité du sentiment et l’existence de l’illusion s’expliquent avant tout par l’opposition, inhérente à la condition d’être humain, entre passion et raison (II) L’ILLUSION D’UN ETERNEL RECOMMENCEMENT L’Histoire évolue très lentement, et il est de ce fait compréhensible que se développe un sentiment de répétition de situations, d’évènements, de problèmes. Les enjeux du socialisme municipal en

ERASME : Essai sur le libre arbitre (1524) Intro: Voir le paratexte. La polémique religieuse : Erasme, Luther, une désillusion de l’humanisme ? I) Une Situation polémique : I°)Thèse Erasme = Pour le libre arbitre  L’ho est libre dc réfutat° de la thèse de Luther car ≠  Polémique entre Luther et Erasme  Désaccord sur une institut° morale, religieuse  Erasme s’engage ac modalisateurs de certitudes, voc appréciatif.  Luther condamne et appel au jugement : voc dépréciatif, tournures

Dieu - Dieu est-il mort ? V. Foi et raison - Est-il raisonnable d'être croyant ? - La raison entre-t-elle nécessairement en conflit avec la croyance religieuse ? - La raison est-elle nécessairement en conflit avec la religion ? - La raison exclut-elle la foi ? - Est-il déraisonnable de croire en Dieu ? - Peut-on expliquer la croyance religieuse sans la détruire ? - Peut-on combattre une croyance par le raisonnement ? - L'usage de la raison suppose-t-il le rejet de toute croyance

Sujet : la raison peut-elle accepter le hasard ? Définir les termes du sujet Les deux termes dont il faut se donner ici une définition préalable sont ceux de hasard et de raison. Pour celui de hasard, on s´en forgera aisément une définition provisoire en pensant par exemple aux jeux de hasard : un événement surgit dont rien ne permet d´imaginer qu´il pût être nécessaire à partir de ce qui le précédait. C´est cette rupture dans l´enchaînement des causes et des effets, cette brèche dans la nécessité

Bernardi (note 50). Il faudrait être aveugle pour passer à côté de ce privilège extraordinaire et se dégrader, comme le voudraient certains matérialistes, au rang des bêtes : l’homme est «le roi de la terre ». Ce n’est pas seulement la liberté, mais la raison et la contemplation qui élèvent l’homme au-dessus des autres animaux. Il développe des connaissances, la maîtrise des techniques, a la capacité de juger de l'ordre du beau et du bien, la faculté de se représenter cet ordre et de s’y soumettre librement

humain. 2 Chapitre 1 : Qui est l’être humain? 3 Conception rationaliste 3 Conception naturaliste 3 Chapitre 2 : La liberté. 4 Vue rationaliste. 4 Vue naturaliste. 5 Chapitre 3 : Pourquoi la différence des opinions? 6 Chapitre 4 : Qui a raison? 7 Pour conclure… 8 Les sources consultées : 8 Les conceptions de l’être humain. Une conception de l’être humain, c’est une théorie qui explique la nature de l’être humain, ses origines et son sens dans l’univers. Cette théorie est

Txt Dawkins, corrigé. Introduction La raison humaine peut-elle tout connaître ? La science est souvent présentée aujourd’hui comme la discipline présentant les garanties de fiabilité les plus grandes dans la recherche de la vérité. Mais la science n’a-t-elle pas des limites ? Les questions métaphysiques et existentielles, portant sur un éventuel « au-delà » de la nature visible permettant de donner sens à l'univers et à la vie humaine, ne demeurent-elles pas l’apanage de la religion? Dans

sont des scientifiques, des hommes de loi, des économistes… Exemples de philosophes des Lumières :  Les philosophes des Lumières ont un projet commun, ils veulent dissiper l’ignorance et la peur grâce aux connaissances et à la raison. Pour eux, la raison est une capacité de l’esprit à examiner tous les sujets et à discerner le vrai. De plus les philosophes veulent le bonheur des autres. D’après Dumarsais : le philosophe « c’est un honnête homme qui veut plaire et se rendre utile ».

La raison a-t-elle toujours raison ? Formulation d’un problème : Peut-on, grâce à la raison, atteindre une connaissance absolue universelle, ou bien au contraire, atteint-elle nécessairement des limites ? Y a-t-il alors des objets qui lui échappent et, si c’est le cas, comment peut-elle le savoir ? Plan de l’étude —> Sur quoi peut bien reposer le fait que la raison appelle, ou exige, cette universalité (« toujours ») comme son attribut le plus essentiel ? —>N’y a-t-il pas des écarts, ou

expérience, les réflexions suivantes peuvent nous suffire ». Cette phrase qui ouvre le texte est aussi celle qui en donne le fil conducteur. Hume au début de cette section de « L’enquête » fait la différence entre deux types de recherches ou d’objets de la raison humaine : les relations d’idées et les faits. Aux relations d’idées correspondent les affirmations « qui sont intuitivement ou démonstrativement certaines » et elles renvoient aux sciences de la géométrie , de l’algèbre et de l’arithmétique. Ce qui