Catharsis Spéctateur Dom Juan

décide d'assister a cette soirée. Donc on peut se demander A quoi tiennent l’intérêt et le plaisir que peut éprouve un spectateur au théâtre. Dans un premier temps, nous étudierons l'intérêt que peut avoir le spectateur à aller au théâtre, puis dans un second temps le plaisir que peut éprouver un spectateur au théâtre. Pour commencer, l'intérêt que peut éprouver le spectateur en allant au théâtre est de se divertir. Le théâtre peut l’emmener dans un endroit où il oublier tout ses problèmes, se

choses justes aussi, et bien dites" écrit le critique Michel Cournot à propos d'une récente mise en scène de Dom juan. Dès lors on peut chercher à découvrir ce que le public vient chercher au théâtre. Après avoir montré que le théâtre était un divertissement, nous verrons que c'est aussi un moyen de réflexion. I. Divertissement D'après Victor Hugo, se distinguent trois types de spectateurs assistant à une pièce de théâtre : « la foule demande des sensations, la femme, des émotions, le penseur, des

des traits. Ils miment un personnage et font semblant de faire quelque chose ce qui implique également l’invraisemblance. Ainsi, on est souvent face à des personnages stéréotypés, bien connu de la Comedia Del’Arte, avec par exemple Sganarelle dans Dom Juan ou le Médecin malgré lui de Molière. Le théâtre est donc un artifice où l’on suit des règles. C’est un monde irréel où tout se passe dans un monde de conventions. Pourtant, sous cet univers d’apparence artificielle se cache des vérités

rassembler ces questions en une seule : A quoi sert la mort au théâtre et comment peut-elle s’avérer nuisible à la pièce ou au contraire intéressante ? Dans un premier temps nous étudierons donc ce que peut apporter la représentation de la mort au spectateur, puis dans un second temps nous nous attacherons à développer pourquoi il n’est, cependant, pas toujours bon de l’exploiter. Il conviendra tout d’abord d’étudier l’intérêt que peut permettre une représentation de la mort sur scène. Premièrement

Scène d'exposition de Dom Juan, Molière Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière (1622-1673), XVIIe s, classicisme. Fils et petit-fils de tapissiers du Roi, il fait ses humanités chez les jésuites et étudie le droit à Orléans, avant de s'orienter, malgré la volonté de son père, vers le théâtre auquel il avait été initié par son grand-père. En 1643, avec sa maîtresse Madeleine Béjart, il crée l’Illustre-Théâtre et, l'année suivante, prend le pseudonyme de Molière. Mais la nouvelle compagnie est un

• Mais l'ambition du théâtre ne s'arrête pas au plaisir. Déjà Aristote voyait dans la tragédie un spectacle qui, « par l'entremise de la pitié et de la crainte, accomplit la purgation des émotions ». C'est la catharsis, terme médical d'origine grecque. S'identifiant aux héros, le spectateur éprouve en même temps qu'il les rejette des passions génératrices de souffrances. Cette purgation des émotions se produit aussi dans la comédie grâce à la puissance libératrice du rire. Avec les comédies antiques

théâtre[modifier] Sarah Bernhardt dans le rôle de Doña Maria dans Ruy Blas (1897).Au théâtre, il y a un intermédiaire entre le texte écrit par l’auteur et le spectateur : le comédien dit et joue le texte, il l’interprète au sens fort, guidé souvent par un metteur en scène, c’est-à-dire qu’il permet et oriente la compréhension du spectateur. Le théâtre relève de la convention, de l'« illusion comique », puisque les comédiens jouent la vie en incarnant des personnages de papier que fait parler l’auteur

L'art du théatre exige de plus la présence de la bienséance afin de ne pas heurté le public. Par conséquent , tout ce qui va contre la morale est banni ( les scènes de violence , la mort etc) . Nous pouvons prendre dans ce cas la mort du héro dans Dom Juan de Molière. La vraissemblance , elle aussi est importante au sein du théatre car elle désigne une histoire vraissemblable soit , une histoire qui parrait etre croyable sans pour autant avoir lieu dans la réalité. Cela n'est pas à confondre avec le

différents égards dans l'œuvre de Molière une place exceptionnelle. On a souvent répété à raison que la hauteur universelle de sa visée, la peinture d'un vice éternel, l'hypocrisie, mettait cette pièce à l'abri du vieillissement; il n'est pas de spectateur qui ne soit sensible aux questions fondamentales que tout homme se pose sur l'être et le paraître, Mais Le Tartuffe est en outre une œuvre engagée, qui s'enracine profondément dans l'histoire religieuse et politique de son temps, en même temps qu’une

et parfois même pour apprendre. Lire ou voir des pièces est un divertissement. La vie, pourtant, est faîte d’émotions et de sentiments. Pour apprécier cet art, il parait évident que le lecteur ou spectateur s’est déjà reconnu, ou a pu envisager ces situations. C’est d’ailleurs le phénomène de catharsis, nous venons pour ressentir et évacuer des émotions. Aussi, on peut donc se demander si le théâtre est le reflet de la réalité, de la vie comme du monde autour de nous, ou si, justement, notre plaisir