Cause Illicite Contrat

Docteur en droit. ` « Tout fait quelconque de l’homme qui cause a autrui un dommage oblige ´` ´ celui par la faute duquel il est arrive a le reparer » 1. Tel est le principe fondamental ´ ´ ` du droit français de la responsabilite civile dont la Chambre pleniere de la Cour ´ de cassation semble bien avoir fait une application pour le moins revolutionnaire. ˆ ` Affirmant dans un arret du 6 octobre 2006 2 que « le tiers a un contrat peut ´ ´ invoquer, sur le fondement de la responsabilite delictuelle

présentent dans certains contrat d’une société d’accès à internet, ici demanderesse. Une association de fournisseur d’accès intervient au profit de la société demanderesse. L’association défenderesse assigne en justice la société afin de voir supprimées certaines clauses dites abusives. La Cour d’appel a entendue les demandes formulées par l’association d’où s’en suit un pourvoi en Cassation formé par la société. L’association affirme que plusieurs clauses des contrats proposés par la partie demanderesse

parties. D’où on parle d’un consentement mutuel. Tout consentement est le fruit d’une offre et son acceptation. Tout contrat résultant de la volonté de deux parties, nécessite un consentement de celle-ci afin d’être conclu et pour que son contenu soit déterminer. Les consentements des deux parties peuvent être exprimés en même temps ou bien en deux temps. Généralement le contrat n’est soumis à aucune règle de forme. Il est possible que le consentement soit verbal aussi bien qu’écrit, donner par

engager la responsabilité contractuelle d’une personne, on ne peut pas engager sa responsabilité délictuelle (d’après l’arrêt de la cour de cassation ass. Plén du 6 octobre 2006) car la responsabilité contractuelle suppose l’existence un contrat. Et dans un contrat on peut prévoir des clauses limitatives de responsabilités, c’est pour respecter les prévisions des parties. En l’espèce, on envisage la responsabilité délictuelle, c'est-à-dire celle que la personne engage en causant un dommage à une autre

• C’est un droit fondé sur un contrat (le contrat de travail individuel) et sur des actes contractuels collectifs (conventions collectives ou accords collectifs). INTRODUCTION 1 L’évolution historique du droit du travail Le droit du travail est défini comme l'ensemble des règles de droit applicables au travail subordonnée. C'est un droit qui est par principe un droit impératif d'ordre public. C'est un droit qui est fondé sur un contrat, le contrat de travail. – avant la révolution

 Par rapport aux contrats, la naissance des obligations extra-contractuelles ne résulte pas d'une volonté individuelle. S'il l'on est lié d'une obligation d'un quasi-contrat, ce n'est pas parce qu'on l'a souhaité. C'est la loi qui va imposer les obligations à certaines situations. D'un coté, la responsabilité civile extra-contractuelle va avoir pour objet de réparer un dommage qui a été injustement causé à autrui, d'un autre coté les quasi-contrats ont l'objet de restituer un avantage que l'on a

Droit des obligations et des contrats Théorie Générale des Obligations Quelques notions   Au Maroc c’est le D.O.C. (Dahir des Obligations et contrats)   En France c’est le Droit civil contraire au Droit religieux   Le D.O.C. est inspiré du Droit Civil français (3 tomes), mais il n’a puisé que (ou plutôt a fait plagiat) du code des contrats et contrats nommés.   Le D.O.C. remonte à 1913 durant le protectorat Une obligation est un lien juridique ou moral entre 2 personnes

Droit du contrat de travail Principe de base : s’il y a un problème, on applique la règle la plus favorable au salarié Chapitre 1 : Le contrat de travail Contrat de travail : - accord passé entre un employeur et un salarié ; une tâche contre une rémunération - contrat entre un salarié placé sous la subordination juridique d’un employeur qui s’engage à effectuer une tâche de travail en contrepartie d’une rémunération A- Conditions de fond du contrat de travail  Conditions de base

société Alain Manoukian est de bénéficier des gains que l’exploitation du fonds permet de tirer. Or, les consorts Stuck mettent brutalement fin aux pourparlers.   La Cour d’appel retient la responsabilité délictuelle (au stade des pourparlers, aucun contrat n’étant conclu, seule la responsabilité délictuelle peut être engagée) pour faute des consorts x mais estime que la société Alain Manoukian ne peut invoquer à titre de préjudice réparable la perte de chance d’obtenir les gains que la société espérait

La rupture du contrat de travail : le droit commun du Licenciement pour motif personnel. Le CDI peut être rompu soit d’un commun accord, soit rupture à l’initiative du salarié c'est-à-dire une demission qui doit être « claire et non équivoque », soit à l’initiative de l’employeur c'est-à-dire un licenciement. Il peut exister des licenciements pour motifs personnels et des licenciements pour motifs économiques. Les règles du licenciement pour motifs personnels sont les règles de droit commun