Ce 7 Février 2003 Gisti

de ses engagements internationaux à l'égard d'un autre Etat ou d'un sujet international en invoquant les obstacles de son droit interne. Principe confirmé jptiellement dans « l'affaire du traitement des nationaux à Danzig », arrêt de la CPJI du 4 février 1932: il s'agissait d'invoquer la Constitution de l'Etat pour se délier de ses engagements internationaux. La Cour a appliqué la solution précitée. Récemment, le principe a été réitéré en 1988 dans l'avis consultatif de la CIJ du 26 avril où il s'agissait

solutions ont été infléchi sur le fondement de cette convention, et notamment le principe d’égalité des époux. Le régime des traités : L’interprétation des traités : il risque de ne pas y avoir d’harmonie. Le CE a opéré un revirement dans l’arrêt GISTI du 29 juin 1990. Le Ce s’arroge le pouvoir d’interpréter les traités. Concernant les juridictions de l’ordre judiciaire : le cheminement a été le même que celui du CE. Les chambres civiles disaient qu’elles ne pouvaient pas interpréter les traités

En l’espèce, elle était dispersé sur deux ordres juridiques : l’Etat français et allemand. Donc a priori 2 lois susceptibles de s’appliquer. Mais la France et l’Allemagne étaient signataires d’une convention internationale, la convention de Genève du 7 juin 1930 relative à la lettre de change. Cette convention avait unifié le droit des Etats signataire en matière de lettre de change. Donc formellement le droit français et allemand était identique. La réponse à la question posée était la même. La réponse