Cérès

mythologie gréco-romaine. Son nom signifie « l’invisible », parce que son royaume est situé dans les profondeurs du sous-sol. Hadès est fils de Cronos (Uranus) et Rhéa (Cybèle), comme Zeus (Jupiter), Poséidon (Neptune), Héra (Junon), Déméter (Cérès) et Hestia (Vesta). Pour comprendre comment Hadès devint roi des Enfers, il faut évoquer les conflits qui opposèrent les premières générations divines. Ouranos (le Ciel, Uranus pour les Romains) et Gaia (la Terre, Tellus pour les Romains) donnent

direct : « Cérès, commença-t-il, faisait voyage un jour ». Le lecteur est donc subitement placé en position d’auditeur. Les réactions de l’assemblée ne sont plus dépeintes, comme si le lecteur, ayant rejoint l’auditoire, ne pouvait plus l’observer du haut de la tribune. L’identification change de côté. Tout comme le public, le lecteur est soumis à l’art du conte de l’Orateur, et lorsque celui-ci suspend son histoire, il ne peut que souscrire à la demande de l’assemblée : « Et Cérès, que fit-elle

ressources pour l’hiver. La fourmi, qui elle a fait ses réserves, fait preuve d’égoïsme car elle refuse d’aider son amie. Dans Le pouvoir des fables, La Fontaine centre plus son récit sur l’Humain. Il met en scène des personnages liés à l’Antiquité : « Cérès », « Athènes ». Il y a la présence d’humains : « peuple », « orateur », « combats d’enfants », « l’assemblée » et la présence d’animaux avec l’anguille et l’hirondelle. La Fontaine, en faisant référence à une époque antique, utilise des alexandrins

L’enlèvement de Proserpine et le deuil de Cérès. * Vénus, pour garder de l’autorité sur le monde qui s’en remet aux déesses qui prônent la chasteté, demande à Cupidon, son fils, de tirer une flèche sur Pluton, dieu des enfers. * Dans une prairie, la nymphe Proserpine cueille des fleurs. * Pluton l’enlève et l’emmène aux Enfers. * Recherche de Cérès, qui, de colère, transforme un enfant insolent en petit lézard. * Retour de Cérès en Sicile, elle détruit les instruments pour

de l’orateur. Cette fois, grâce à la ponctuation (les guillemets), le discours de l’orateur est rapporté de manière directe. Quittant la rhétorique, l’orateur opte pour une fiction mettant en scène des personnages mythologiques en ce qui concerne « Cérès » (déesse latine des moissons) et des personnages animaliers : « Hirondelle » et « une Anguille ». Le choix des personnages (nombre réduit et facilement identifiable) et la simplicité de la fiction (vocabulaire accessible et phrases courtes) s’opposent

amuser des nobles (les nobles romain louaient parfois des gladiateurs pour qu’ils combattent devant eux, le noble romain ressentait presque du plaisir en voyant le sang du perdant). Un jour j’appris que j’allais participer aux jeux de Cérès à Rome (les jeux de Cérès se déroulait de 12 au 19 avril, pendant cette période, combat de gladiateurs, course de chars et autres jeux de cirque étaient au programmes pendant ces jeux les romains s’habillaient en blanc) j’allais combattre devant César. La veille

ce qui est des sacrifices agraires publics, on sait surtout beaucoup de choses sur les arvales Les Arvales étaient des prêtres dans l'ancienne Rome, qui assistaient ou qui servaient aux sacrifices des ambarvales, que l'on offrait tous les ans à Cérès & à Bacchus pour la prospérité des fruits de la terre, c'est-à-dire du blé & de la vigne. Arvalis dérive du substantif arva, « terre labourée » et Varron (Ling. Lat., 15) définit les Fratres Arvales comme qui sacra publica faciunt propterea ut fruges

danger et il s'agit d'en convaincre le peuple. C'est donc la question de l'efficacité de la parole et du propos qui se trouve ainsi soulevée. - Un certains nombre d'éléments ancrent ce récit dans ce contexte antique : république au V 4/ mention de Cérès au v 16/ les Grecs v 26 plus allusion à Philippe de Macédoine, ennemi d'Athènes au v 27. B - une situation de parole : Dans cette anecdote ainsi rapportée il s'agit pour un « orateur », désigné ensuite par le terme péjoratif de « harangueur » de

eux aussi étés conçus par Le Nôtre: - le grand canal -Le bassin d’Apollon -le bassin de Flore -le bassin du miroir -le bassin de Saturne -le bassin de Latone inspiré par une métamorphose d’Ovide dont nous avons parlé en classe -le bassin de Cérès -le bassin de Neptune -le bassin du Dragon -le bassin des Nymphes et bien d’autres III) Les bosquets Les jardins du Roi-Soleil étaient et sont toujours pleins de bosquets comme: -La Salle des Marronniers contenait une allée centrale bordée d’orangers

des disputes d’enfants qu’à ses paroles, réalise qu’en fait ceux-ci ont besoin d’être divertis pour vous prêter attention : « Que fit le harangueur? Il prit un autre tour » (v.15). Il fait ainsi passer son message par le biais de la fable et dit : «Cérès, commença-t-il, faisait voyage un jour / Avec l’anguille et l’hirondelle / Un fleuve les arrête ; et l’anguille en nageant / Comme l’hirondelle en volant / Le traversa bientôt » (v.16-20).  Le vers saccadé et brisé est intéressant, il sert à illustrer