Césarée

Castel-Pelegrino : « Contraste de cette ruine du monde germanique, normand et roux, avec ce ciel de soleil et cette mer ». Dîner « par terre sur le tapis » et logement à Tantoura, « dans une salle […] ouverte à tous les vents ». Départ avant le jour pour Césarée. Continuation vers le sud, nuit blanche à cause des puces sous un sycomore : « Notre lanterne suspendue dans les branches éclaire le feuillage, nos bagages rassemblés en cercle, et la croupe de nos chevaux rangés autour de nous ». Arrivée à Jaffa

d’antiquité, de sainteté et d’othodoxie : Ignace ( évêque d’Antioche ) et Irénée ( évêque de Lyon ), au IIème siècle ; puis, à l’âge d’or des IVème et Vème siècles, les cinq grands Pères grecs : Athanase ( évêque d’Alexandrie ), Basile ( évêque de Césarée ), Grégoire ( évêque de Nyssé et frère de Basile ), Grégoire de Naziance ( évêque de Constantinople et ami de Basile ) et Jean Chrysostome ; et les quatre grands Pères latins : Ambroise ( évêque de Milan ), Jérome ( auteur de la Vulgate ), Augustin

canard, macreuse. 2. IX, 38 (dans le désert) ; XXXII, 33. 3. Nat, anim., XIV, 17. 4. P. 67, n. 1. — Un crocodile, rapporté d’un cours d’eau qui sortait d’une montagne de la Maurétanie, près de l’Océan, fut consacré par Juba II dans le temple d’Iris, à Césarée ; on l’y voyait encore au temps de Pline (V, 51). Strabon (XVII, 3, 4) indique aussi que les fleuves de la Maurusie (Maroc) nourrissent dit-on, des crocodiles. 5. Le crocodile a peut-être vécu sur le littoral à l’époque de l’industrie néolithique :

129-136. Saint-Puy ; Sempesserre. 1913. L. COUTURE, Une étymologie historique : Ténarrèse = Iter Caesaris. Rev. d'Aquitaine II (1858), 395-399. 1914. A. CURIE-SEIMBRES, Recherches sur une voie antique (...) connue sous les noms de voie de César, Césarée, Ténarèse. Rev. d'Aquitaine X (1865-1866), 545-554, 601-609. Et Bull. de la Soc. Ramond 3e s. XIII (1878), 57-73. 1915. F. DE DAINVILLE, La carte de Guyenne par Belleyme. Bordeaux, 1957, 51-53 : Noms de lieux. 1916. J.-B. DARANATZ, A propos d'une