Césarée

CONSTANTIN au christianisme, on entre dans la période des E chrétiens. Les chrétiens étaient persécutés car ils refusaient de se soumettre a l’Empereur et de se vouer a l’armée. Cette conversion va renforcer l’autorité des E notamment en 336, Eusèbe de Césarée va élaborer l’idée de monarchie de droit divin. Donc le pouvoir monarchique provient désormais de dieux. Cela suppose des obligations, en 380 la religion chrétienne est imposé a tout l’empire, tous les citoyens. Edit de THESSALONIQUE, l’empire ne

Prendre ses distances à l’encontre du pouvoir impérial et l’empereur est envisagé comme un simple auxiliaire auquel ont peut éventuellement avoir recours. * Soit on s’en remet en permanence à l’Empereur, tendance est défendue par Eusèbe de Césarée. L’intervention de l‘autorité impériale dans les affaires de l’Eglise doit se faire de façon péremptoire car il est le représentant de Dieu sur Terre. Cette vision de l’empereur est appelée de Césaropapisme. En Occident, l’Eglise conserve une relative

le fils et successeur de Juba II. Révolte d'Aedemon. Intervention romaine 40 – 42 : Conquête de la Maurétanie par les armées romaines. Elle sera divisée en deux provinces : à l’ouest, la Tingitane, avec pour capitale Tingis (Tanger); à l’est, la Césarée (sur territoire de l’Algérie actuelle). Les Berbères du Rif et de l’Atlas conservent leur indépendance. Maurétanie Tingitane «Maroc Romain» (42 ; 661) 1 Gouverneur de Maurétanie Ting Juba Ier (–46 ; – 46) 42 : Division de la Maurétanie par Claudius

L'expansion chrétienne et le prosélytisme juif. -- Les rivalités et les haines ; les persécutions ; l'affaire de Polycarpe. -- Les polémiques. -- La Bible, les Septante, la version d'Aquila et ses Hexaples. -- Origène et le rabbin Simlaï. -- Abbahu de Césarée et le médecin Jacob le Minéen. -- Le "Contre Celse" et les railleries juives. -- L'antijudaïsme théologique. -Tertullien et le De adversus Judaeos. -- Cyprien et les trois livres contre les Juifs. -- Minucius Felix, Commodien et Lactance. -- Constantin

jaloux les uns des autres. En peu de temps ces nouveaux États divisés et subdivisés passèrent en beaucoup de mains différentes. Il s'éleva, comme en France, de petits seigneurs, des comtes de Joppé, des marquis de Galilée, de Sidon, d'Acre, de Césarée. Soliman, qui avait perdu Antioche et Nicée, tenait toujours la campagne, habitée d'ailleurs par des colons musulmans; et sous Soliman, et après lui, on vit dans l'Asie un mélange de chrétiens, de Turcs, d'Arabes, se faisant tous la guerre ; un

jaloux les uns des autres. En peu de temps ces nouveaux États divisés et subdivisés passèrent en beaucoup de mains différentes. Il s'éleva, comme en France, de petits seigneurs, des comtes de Joppé, des marquis de Galilée, de Sidon, d'Acre, de Césarée. Soliman, qui avait perdu Antioche et Nicée, tenait toujours la campagne, habitée d'ailleurs par des colons musulmans; et sous Soliman, et après lui, on vit dans l'Asie un mélange de chrétiens, de Turcs, d'Arabes, se faisant tous la guerre ; un

furent jaloux les uns des autres. En peu de temps ces nouveaux États divisés et subdivisés passèrent en beaucoup de mains différentes. Il s'éleva, comme en France, de petits seigneurs, des comtes de Joppé, des marquis de Galilée, de Sidon, d'Acre, de Césarée. Soliman, qui avait perdu Antioche et Nicée, tenait toujours la campagne, habitée d'ailleurs par des colons musulmans; et sous Soliman, et après lui, on vit dans l'Asie un mélange de chrétiens, de Turcs, d'Arabes, se faisant tous la guerre ; un château

premier pillage, l’Empire romain se réduit à l’Orient et le pouvoir impérial se renforce et prend la forme d’une monarchie de droit divin. Constantin est devenu chrétien et cette théorie du droit divin justifie le principe monarchique. Eusèbe de Césarée, évêque, lance la théorie que c’est en Dieu que se situe l’origine du pouvoir monarchique. En contre partie, l’Empereur doit agir pour le bien. SECTION 2 : L’APPLICATION A L’EMPIRE : GOUVERNEMENT ET ADMINISTRATION EN OCCIDENT §1 : Le schéma

l'autre occidentale où au contraire l'autorité temporelle est subordonnée au pouvoir religieux. Cette double tradition est bien illustrée par Saint Ambroise et Eusèbe. 2 - LES PREMIERS AUTEURS CHRETIENS Eusèbe, évêque de Césarée en Palestine. (265-340) Il est l'auteur d'une importante _"Histoire Ecclésiastique"_ sur les 3 premiers siècles du christianisme. Saint Ambroise, gouverneur de la province de Milan - lieu de résidence habituel de l'empereur d'Occident

reconnaissaient. Quelque tolérant que l'on puisse être, on ne peut s'empêcher de sentir quelque indignation contre ces déclamateurs qui accusent Dioclétien d'avoir persécuté les chrétiens depuis qu'il fut sur le trône; rapportons-nous-en à Eusèbe de Césarée: son témoignage ne peut être récusé; le favori, le panégyriste de Constantin, l'ennemi violent des empereurs précédents, doit en être cru quand il les justifie. Voici ses paroles: "Les empereurs donnèrent longtemps aux chrétiens de grandes marques