Cétone

74%), terpinène-4-ol (4.70%), bornéol (3.36%) Sesquiterpènes : béta-caryophyllène (1.60%), (E)-béta-farnésène (1.34%), germacrène-D (0.70%), gamma-cadinène (0.24%) Esters terpéniques : acétate de linalyle (27.28%), acétate de lavandulyle (2.38%) Cétone : camphre (7.85%) Oxyde terpénique : 1,8-cinéole (4.84%) Densité : 0.893 à 0.898

[Tapez le texte] [Tapez le texte] [Tapez le texte]SERET Louise 6H Analyse stylistique : Eroica (Pierre DUCROZET) Dans cette fiction biographique, l’auteur nous emmène dans le monde de Jean-Michel Basquiat à travers son écriture. Rien n’est au hasard et tout a un sens. L’auteur, pourtant si différent du héro, dénonce le combat que vivait ce dernier par la justesse des mots.La narrationPour commencer, on retrouve un narrateur hétérodiégétique. Il n’appartient

liposoluble _ Des groupements CHO, OH et O-CH3 qui, grâce à leur oxygène, peuvent effectuer des liaisons hydrogènes avec l’eau, et donc permettent à cette molécule de posséder une certaine hydrosolubilité _ PM : 152 Daltons - les cétones caractérisés par leur groupement C=O Par exemple : la civétone à l'odeur de musc Cette molécule présente elle aussi des caractéristiques qui font d’elle un bon stimulus olfactif : _ Un cycle carboné, hydrophobe et donc liposoluble

température 17°C < T°C < 23°C * Pour T = 20°C L’huile Jadida : n20d = 1.475 + 0 = 1.475 Détermination de l’absorption spécifique en rayonnement ultra violet Acide gras → hydroperoxydes (Absorbance (A) à λ = 232 nm) → Aldéhydes + cétones (A à λ = 270 nm). Si on a initialement une huile d’absorbance forte > à 0.8 donc il peut être soit une huile vierge (oxydée) ou une huile raffinée. Pour faire la différence, on fait l’acidité. λ= 232 nm → A = 1.565 λ = 270 nm → A = 0.813

de nombreux domaines très différents l’un de l’autre. Propriétés : Généralement excellente inertie chimique, notamment avec les acides (oléum, eau régale, acide nitrique fumant), les bases (soude ou potasse concentrées), les alcools, les cétones et les hydrocarbures. Il résiste à l'acide fluoroantimonique, l'acide le plus fort connu actuellement, qui dissout le verre. Le comportement mécanique est de type élastomère et identique entre -80 et 250 °C. Résistance aux ultra-violets : excellente

de surdosage. Pour certains médecins phytothérapeutes, les autres principes vont atténuer les effets secondaires en entrant en interaction. Un exemple : la distillation de la lavande permet de dénombrer plus de 200 molécules différentes, dont des cétones et coumarines, dont la toxicité est moindre que s'ils étaient utilisés seuls [3]. La composition d'une plante peut varier d'un spécimen à l'autre, dépendant du terrain, des conditions de croissance, humidité, température, ensoleillement, qui vont

est impossible avec l’eau. Il existe principalement neuf familles de solvants organiques: Les hydrocarbures aromatiques Les solvants pétroliers Les alcools Les esters Les cétones Les éthers Les éthers de glycol Les hydrocarbures halogénés Les solvants particuliers L’ÉTHER DE GLYCOL Dans le cas de la peinture, le risque principal semble provenir de l’éther de

– C – (CH) n – COOH H H CH3 – (CH2) n – CH2 – CH = CH – C – (CH2) n – COOH H Les conséquences de l’OL Création de nouvelles AG plus court : Plus volatile, plus de chance de dégradation organoleptique. Aldéhyde/Cétone : Molécule aromatique. Modification des propriétés organoleptiques On peut observer ces modifications dans des produits ayant une concentration moins de 1% de lipideLes seuils de perception de ses molécules sont très bas.Donc même avec

aminés : Les réactions d’alkylation : (R–X) R’–X +  + X- + H+ Les réactions d’acylation : (R–CO–X) +  + X- + H+ Les réactions avec les aldéhydes ou les cétones aromatiques : LES BASES DE SCHIFF : aldimine cétimine Les enzymes qui font des bases de Schiff utilise le phosphate de pyridoxal comme coenzyme. Ce dernier se lie de façon covalente à l’enzyme par l’intermédiaire

tétross C4, pentoses C5, hexoses C6, heptoses C7 Les oses portent de nombreux groupements alcools ce sont des polyalcools. (pls OH) On distingue deux sortes d’oses: -quand ils portent un groupe aldéhyde => Aldoses -quand ils portent un groupe cétone => Cétoses Lorsque le sucre porte le dernier groupement OH (représentation de Ficher) à droite de la chaine carbonée alors on dit que c’est un isomère de type D alors que quand celui porte ce groupement Oh du coté gauche on dit que c’est un isomère