Chambre Criminelle 27 Mars 2008

réservé à l'enfant, même décédé au moment de la déclaration, mais dont il est démontré qu'il a vécu. Dans le cas contraire, seul un acte d'enfant sans vie pourra être établi, et encore à condition que la gestation ait duré au moins 180 jours. La Chambre criminelle de la Cour de cassation (arrêt du 30 juin 1999) a cassé un arrêt condamnant pour homicide involontaire le gynécologue qui, à la suite d'une erreur, avait provoqué l'avortement d'une patiente enceinte de quelques semaines car les atteintes à

d'affectio societatis résultant d'un défaut de souscription au capital social et de vocation des associés aux bénéfices et aux pertes), dès lors qu'aucune action en nullité de cette société, constituée sous forme de SARL, n'a été engagée (Cass. crim. 9 mars 2005 n° 04-82.838 (n° 1576 F-D) : RJDA 7/05 n° 825, 1e espèce). 5 Les sociétés de droit étranger, c'est-à-dire les sociétés ayant leur siège hors du territoire français, ne sont pas visées par les articles L 241-3 et L 242-6 du Code de commerce

3207 du code de la santé publique : si la personne formait un risque pour la santé et la sécurité des personnes, des mesures pourrons être prendre qui pourrons aller jusqu'à l’hospitalisation d’office. On passe le relai aux autorités sanitaires. - En 2008 on a modifié le code de procédure pénal pour permettre aux juridictions dans l’instruction de jugement constaterais un trouble mental abolissant le discernement de prononcer une « déclaration d’irresponsabilité pénale pour cause de trouble mental »

n'auront leur effet qu'autant que l'enfant sera serait né viable. » Au-delà de ces textes , la jurisprudence joue un rôle très important . En effet, la Cour de cassation a rendu plusieurs arrêt de principe élargissant ce concept. Le 8 mars 1939, par les chambres réunies, la Cour de cassation a rendu un arrêt. Dans cet arrêt, la cour de cassation a jugé sans prendre appui sur un texte spécial que l'enfant qui était simplement conçu au moment où son père avait eu un accident du travail ayant entraîné

UNIVERSITE DE PARIS-VAL DE MARNE FACULTE DE DROIT HISTOIRE DU DROIT Ière année de licence Fiche II/1 A distribuer à partir du 28 janvier 2008 LA LOI : LE PRINCIPE DE LA NON-RETROACTIVITE DE LA LOI Partie du cours à réviser : Ière p., liv. II, ch. 1. BIBLIOGRAPHIE BIBLIOGRAPHIE - Ch. Aubry et C. Rau, Cours de droit civil d’après la méthode de Zachariae par Bartin, tome 1, Paris, 1936. - J. Bart, Histoire du droit privé de la

ne pas porter secours à une personne en danger est une infraction pénale : délit de non assistance à personne en danger) d’un individu (être humain qui commet des crimes et que l’on appelle le délinquant. Il y a une science qui étudie ce phénomène criminel : la criminologie) qui cause un trouble à l’ordre social (une infraction est un acte qui perturbe l’ordre social, qui trouble l’ordre public. Un crime est intolérable parce que ça porte atteinte aux valeurs, aux normes de conduite adoptées par la

procédure pénale correspond aux règles de formes, les règles relatives à la recherche et au jugement des auteurs d’infractions. Ces règles figurent dans le code de procédure pénale qui date du 23 décembre 1958. Il a succédé au code d’instruction criminelle qui datait de Napoléon de 1808. Les rapports entre les deux sont très étroits. Le droit pénal est un droit contentieux, il faut une intervention judiciaire pour mettre en œuvre le droit pénal. Le juge est libre de poursuivre l’infraction ou

répression des infractions sexuelles ; de la loi n° 2005-1549 du 12 décembre 2005 relative au traitement de la récidive ; de la loi n° 2007-297 du 5 mars 2007 relative à la prévention de la délinquance ; de la loi n° 2007-1198 du 10 août 2007 renforçant la lutte contre la récidive des majeurs et des mineurs ; de la loi n° 2008-174 du 25 février 2008 relative à la rétention de sûreté et à la déclaration d’irresponsabilité pénale pour cause de trouble mental. L’injonction de soins est un dispositif

mesures d'instructions procèdent « d'un motif légitime et [soit nécessaire] à la protection des droits de la partie qui les a sollicitées » (Soc. 23 mai 2007, société Datacep c/ M. X, n° 05-17818). Cette jurisprudence a été confirmée (Soc., 10 juin 2008, Mme X c/ société Mediasystem, n° 06-19229). 2. Les conventions de l’OIT ! Document n° 2 : Soc. 29/3/2006, société Euromédia Télévision c/ M. X, n°: 04-46499 Quel est le problème juridique ? Il y en a deux. n°1 : La convention internationale

droit et la Mort INDEX INTRODUCTION …………………………………………………………..p. 1 I - Les lois en vigueur aux soins des patients en fin de vie A) - La loi du 4 mars 2002 ………………………….…………..….p. 3 B) - La loi LEONETTI du 22 avril 2004 …………….…………..…p. 4 C) - Le code de la santé publique reprend les termes de ces lois ………………………………………………................p. 4 II - Cadre législatif de l’aide à la fin de