Champ Lexical De La Fete

également lorsque la marquise plaint et soutient le peuple, s'intégrant parmi les habitants que l'on discerne par l'utilisation du pronom personnel "notre" utilisé plusieurs fois. Elle marque son engouement à travers l'analogie de l'enclume et le champ lexical du bruit. Elle use de sonorités en -r et évoque des grelots, démontrant sa haine contre celui-ci à travers ces harmonies imitatives. C-) Un comportement contradictoire. En une seule scène, la marquise adopte divers comportements. Au début

élégiaque : le poème se lit comme une déploration de la mort de la fille de Hugo, et comme une plainte visant à afficher toute la douleur d’un père endeuillé. - Champ lexical de la joie et de la vie (« enfants » v. 3, « fleurs » v. 4, « printemps » v. 5, « fête » v. 5, « roses » v. 10) forme une antithèse avec le champ lexical de la tristesse et de la mort (« douleurs » v. 1, « tristesse » v. 8, « ombre » v. 11, « mort » v. 12). Ce contraste met en scène le déchirement intérieur du poète

véhicule, à son tour, une ou des représentations du « jeune ». Représentations qui renverraient, selon Pierre Moscovici, à « un corpus de thèmes, de principes, ayant une unité et s'appliquant à des zones, d'existence et d'activité [qui] déterminent le champ des communications possibles, des valeurs ou des idées présentes dans les visions partagées par les groupes, et règlent, par la suite, les conduites désirables ou admises ».3 Nous aborderons, dans un premier temps, notre démarche scientifique, composée

Rhénane : pistes de lecture et de révision. Thématiques nombreuses et entrecroisées : les femmes (fées, filles), le vin et l’ivresse, le reflet ou le miroir, les légendes (chanson, récit), la nuit. Les sentiments évoqués. Une atmosphère de fête triste ? Paysage et état d’âme : une sorte d’interaction ? Voir principalement le dernier vers. Un discours d’ivrogne ? d’un amoureux qui veut noyer son chagrin ? - Mai : pistes de lecture et de révision. Thématiques : la nature, le Rhin

|Interprétation | |ou procédés d’écriture | | | |Champs lexicaux |     « verdure » (v.1), « rivière » (v.1), « herbes des |États opposés | |Nature |haillons » (v.2), « soleil » (v.3), « montagne fière »

« cent écus ». I) Portrait des deux protagonistes a) Le savetier Il a un métier qui rapporte peu et qui nécessite beaucoup de travail. Il « chante du matin au soir », c’est-à-dire qu’il travaille toute la journée. Il se plaint des jours de fête trop nombreux (vers 27) car il est obligé de fermer sa boutique. Aux vers 30 et 34, il est fait mention de sa naïveté (verbe croire), de sa franchise (18 à 20). Il est un peu malin, ne souhaite pas dire combien il gagne → prudence, méfiance. C’est

le trône est jeté par la fenêtre ainsi que le dernier paragraphe : « le peuple […] brisa, lacéra les glaces et les rideaux ». Chez Zola, la « colère » des plus en plus « haute », le désir de « vengeance » et de « liberté » sont exprimés avec le champ lexical de l’eau destructrice : « les flots vivants », « cette tempête humaine ». Une force joyeuse : Cette force sombre et menaçante, capable pour Zola de secouer « jusqu’aux pierres du chemin » est plus joyeuse sous la plume de Victor

événements historiques qui s’esquissent sous ses yeux. II. Une révolution tournée en dérision A. Un réalisme déceptif - description antithétique d’un événement révolutionnaire. - L9 —> champ lexical de la fête « joie » « enthousiasme » « guirlandes » « soie »… ambiance carnavalesque - Paradoxe : On imagine que l’on fête la victoire alors que cette insurrection vient de commencer et que l’auteur fait référence à la fusillade des Capucines qui tua plus de 40 hommes. + ancre le texte dans le réalisme -

romantique d’ordre évènementiel : un soldat qui dort au milieu d’une nature exubérante. Le poète commence par nous introduire dans l’atmosphère mirifique d’un paysage brillant, plein de beauté et de richesses, en nous faisant assister à une véritable fête de la nature: „C’est un trou de verdure où chante une rivière / Accrochant follement aux herbes des haillons / D’argent, où le soleil de la montagne fière / Luit: c’est un petit val qui mousse de rayons”. À l’aide des métaphores, le poète décrit un

feuilles d’automne Hugo approche de la trentaine, son père, sa mère et son premier fils sont décédés. Il traverse une grave crise conjugale et son frère, Eugène, est devenu fou. I- Le temps cyclique La plupart des verbes appartiennent au champ lexical du mouvement « s’enfuit » « passeront » « s’est couché » « viendra ». Le verbe « passeront » est mis en valeur par sa répétition à la césure. L’insistance sur les moments de la journée : « aube » « nuits » « jours » On remarque une opposition