Champ Lexical De La Fete

Dans cette nouvelle, publiée en 1880, on assiste à la chute de Mathilde, une femme victime du matérialisme. Tout d’abord, elle est totalement insatisfaite de ce qu’elle possède, elle pense constamment à la richesse. Un soir, son marie l’invite à une fête chez des riches. Elle fera tout pour bien paraître et se sentir à l’aise devant tous ces gens riches. Pour se faire valoir, elle emprunte un magnifique collier de diamants à une amie riche, Mme Forestier. L’analyse montrera que le malheur succède au

tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux Dormir ces vaisseaux Dont l'humeur est vagabonde ; C'est pour assouvir Ton moindre désir Qu'ils viennent du bout du monde. - Les soleils couchants Revêtent les champs, Les canaux, la ville entière, D'hyacinthe et d'or ; Le monde s'endort Dans une chaude lumière. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. 2 - Commentaire Introduction : Le recueil des Fleurs du mal n’est pas

[pic] Séance 1 : Les différents types de portraits. Objectifs ⇨ Savoir organiser un portrait ⇨ Repérer les champs lexicaux. ⇨ Connaître les outils de la description. I. Trois monstres, trois portraits. A. Le portrait fixe : portrait de Frankenstein. 1. Analyse du texte. Le professeur Frankenstein passionné par ses études scientifiques réussit après des jours et des nuits de travail à trouver le secret de la génération de la vie. Désireux de créer des être bons et heureux qu’il

mariage, donc il ne croit pas à la religion → prédateur des fêtes DJ est la figure même du libertin du 17eme siècle b)Gout pour les plaisirs: Dom Juan est un prédateur des fêtes DJ aime la débauche pèlerin → péjoratif: va de fête en fête Transgresse les lois ( ex: institution du mariage ) c)La grande élégance de DJ Noble: grand seigneur élégant et cultivé → Coté sympathique de Dom Juan è Dom Juan -> héros peu sympa -> séducteur / débauché / impie (= se moque de

L’attention du narrateur n’et pas seulement attiré par la messe et le prêtre. Il décrit les fleurs comme une vraie personne. Metaphore filée de la robe de mariée, de la jeune fille. Il évoque. Il évoque aussi la fête : « feston » « réjouissance populaire », « solennité mystique » -> parce que reste une fête religieuse. Il utilise des mots utilisés pour décrire les ornements d’une femme. Il put imaginer des regards coquets mais il n’ose la regarder. Il décrit les aubépines comme une femme, les corolles sont

(Tirsis, Aminte ), des amoureux transis - Deux autres quatrains réunis en une seule phrase. La fête galante semble devenir évanescente. Les personnages disparaissent, leurs habits s'effacent à leur tour pour laisser place au son de la mandoline, puis au bruit du vent... Verlaine a retenu ici le mètre impair de sept syllabes. Toutes les rimes sont féminines. I - Une évocation onirique a- Une fête galante: Des personnages de comédie ou de pastorale: On pense à Molière avec Clitandre (l'Amour

Fiche de français: La nouvelle Héloïse de Rousseau Description élogieuse d'une communauté en fête. A. Des circonstances particulières On est dans une lettre qui s'adresse directement à milord Edouard pendant une scène de vendange à Clarens → indications spatiaux temporelles vague dans l'idée de généraliser (toutes les journées sont identiques) – Il ne donne pas d'indication sur le lieu parce qu'il est déjà connu. -présent d'énonciation → vrai moment ou il ecrit, valeur d'habitude, de répétition

> Présentés comme des hommes ! > Personnification Le loup, l'HORRIBLE LOUP qui fait peur aux enfants, Le loup maigre et cruel qui guette, Assassin précis, l'innocent Et l'emporte poissé de sang, Rentre au foyer le soir où les siens lui font fête Et s'écrie : " Vilains garnements, J'espère qu'aujourd'hui vous avez été sages ? Quand les petits loups sont méchants Jésus pleure dans les nuages. Votre maman n'a pas à se plaindre de vous ? " " Non, non, s'écrient les petits loups, Dis-lui

III de Candide, le personnage éponyme est confronté pour la première fois aux horreurs d’un champ de bataille et aux souffrances des civils. L’intérêt du texte réside dans le décalage entre ce qui est vu par Candide, jeune homme naïf et optimiste, et la réalité de la guerre. Nous montrerons donc comment Voltaire parvient à dénoncer efficacement la guerre et ses méfaits en opposant la réalité atroce du champ de bataille et le regard décalé de Candide. Dans une première partie, nous étudierons

au long de l’histoire. L’auteur réduit la réalité aux apparences extérieurs et c’est ce qu’on peut remarquer dans les descriptions faites sur le marquis déguisé en paysan « Ces anciennes vestes bretonnes étaient à deux fins, servaient aux jours de fête comme aux jours de travail (…) Il portait ce chapeau ras baissé à la paysanne, sans ganse ni cocarde. » Et de ce qui est de la description de la physionomie de marquis, l’auteur reste impartial, ce qui fait que le narrateur ignore les sentiments et