Champ Lexical De La Fete

à l’idée de lumière. Le champ lexical de la lumière est important et est mis en relief par les trois métaphores : « haillons d’argent » ; « mousse de rayons » ; « où la lumière pleut » mais aussi par la versification avec les 2 rejets l.3 et l.4 et avec les 2 premières clausules qui sont des métaphores concernant la lumière et son aspect « liquide ». Trois personnifications (« chante », « follement », « fière ») décrivent la nature environnante comme une nature en fête ; la rivière notamment semble

morale, les interrogations de l’auteur au deux derniers vers. - les procédés d’écriture : Malherbes esquisse une glorification de la femme à travers un blason, un symbole, Caliste. Il idéalise la femme grâce à des champs lexicaux et des figures de style. D’abord, nous observons un champs lexical de la beauté ; « beau... belle » (v.1) ; « grâce » (v.12). Il est associé à celui de l’admiration : « tant de trésors » (v.3) ; « miracle visible » (v.11) ; « éblouit les regards » (v.9). Ensuite, deux hyperboles

apparente et une dénonciation de l’horreur 1ere partie : fantastique surréaliste 1. l'aspect esthétique L’auteur présente la guerre comme une composition en deux plans : 1 er : Défilé de deux armées , une armée alignée dans un champs de bataille ordonnée On remarque une énumération quatre adjectifs élogieux intensifiés par « si »: beau », « lest », « brillant », « ordonné ». Il y a une vision lumineuse. C'est un véritable spectacle, à rapprocher d'un tableau. 2 ème : aspect

injonctif ▪ Ponctuation forte : colère et indignation ▪ Anaphores « craignez » « craignez » ▪ Champ lexical de l’exation ▪ Versification ; La Fontaine joue ave les sonorités ; fait ressortir les termes de la dénonciation, de l’ « injustice » et du « supplice » c. Un discours pathétique. ▪ Evocation d’un passé heureux ▪ Champ lexical de la souffrance ▪ La p.d.d fait référence aux Dieux qui symbolisent la justice ; il se met sous leur protection

l'abbaye de Thélème et l'Eldorado ont tenté de faire exister un monde idéal et d'en préciser le fonctionnement. Dans l'extrait qui est donné ici, Saint-Preux raconte à son ami milord Édouard le déroulement des vendanges. La joie de vivre, le sens de la fête, les réjouissances sont mis en relief dans un récit de tonalité élogieuse qui suit très précisément la chronologie de la journée. Mais l'épistolier ne se contente pas de raconter ; il accompagne sa narration de remarques portant sur les comportements

poème pour Léopoldine à l’occasion de son mariage avec Charles Vacquerie. Il se réjouit pour sa fille de son bonheur mais ressent une profonde douleur à la laisser partir. On observe un champ lexical de la joie : « heureuse » (vers 1), « bonheur » (vers 3), « sourire » (vers 8). En opposition, on a un champ lexical de la souffrance : « adieu » (vers 2), « regret » (vers7), « larme » (vers 8). Une énumération est présente au vers 6 : « Fille, épouse, ange, enfant », elle parle de Léopoldine. Une métaphore

image positif de l’escale portugaise. En effet, elle est perçue comme un lieu paradisiaque par la beauté de la nature. « l.9 Le feuillage strident a débordé le vert », «l.11 Les roses prisonnières. », « l.19. L’ombre des orangers ». Il joue avec champs lexical de la lumière « l3&7. […]au soleil […]» « l10.Sous la crue de lumière » « l19-20. L’ombre des orangers qui stimule un cadran Où le doux midi grogne ». Cela donne une image chaleureuse entre la clarté, la chaleur, le calme et une mesure de temps

par le champ lexical de la beauté : Comme c’est beau (v.1), plus beau (v.2), c’est aussi beau (v.5), ce serait plus beau (v.6), beauté (v.7). -Henri Barbusse manifeste sa surprise en employant le mot « attiré » mais aussi « ébloui ». Un aspect festif se lit dans les trois textes : * Chez Apollinaire : « festin de Balthasar » * Chez Barbusse : « danse aux yeux » * Chez André Masson : « comme une fête donnée à un gisant ». La guerre s’apparente dans les trois textes à une fête. Pour

comme autant de figures maternelles que le poète invoque. Transition : Après s'être longuement attardé sur le spectacle d'une nature en fête, Rimbaud décrit le dormeur du val, un jeune soldat allongé au sol, plongé dans un étrange sommeil. II. Un sommeil ambigu A. Un sommeil profond Soldat décrit seulement de l’extérieur grande importance à sa position Champ lexical du sommeil déjà par le titre Jeune homme comparé à un enfant qui serait allongé « dans un lit vert » où mère Nature le « berce » La « bouche

recréer l’effet d’une noyade ou d’une asphyxie dû au Spleen. Il utilise les termes « sourdes plaintes » et « fleuve invisible » pour faire ressentir au lecteur l’eau pénétrant dans nos poumons. - La toute puissance du Mal On relève le champ lexical du mal, « Satan », « démon », « diable », le mal est donc très présent. Baudelaire développe ici une esthétique satanique. La majuscule à l'épithète de «Satan Trismégiste » montre la toute puissance du diable. Il est décrit comme un chimiste qui