Champ Lexical De La Fete

autre métaphore : « mousse de rayons » : la lumière est si compacte, qu’elle semble liquide ; troisième métaphore, exploitant pour la troisième fois l’association entre la lumière et un élément liquide : « où la lumière pleut ». L’importance de ce champ lexical de la lumière est nettement marquée par le triple travail métaphorique, et par la mise en relief systématique par la versification (mise en rejet de « d’argent » et « luit » (v.3 et 4) ; localisation à la rime et en fin de quatrains pour « mousse

Clair de lune Verlaine Lecture analytique Plan : I) Le clair de lune, reflet de l’âme assimilée à un paysage vivant 1) Une forme parnassienne 2) Un hymne à la fête 3) Le paysage et l’âme II) Un paysage symboliste inspiré de Watteau 1) Un paysage inspiré de Watteau 2) Un paysage décoré par le goût symboliste III) Tristesse et mélancolie romantique 1) Thèmes romantiques 2) Tristesse et mélancolie Paul Verlaine, poète du XIXème siècle, bien loin de se réduire à un seul courant

d'entre eux, et en lui dédiant le poème suivant, « A Jeanne », écrit pour lui rendre hommage et publié le 16 Août 1870. Ce poème est de genre romantique. On y retrouve l'attachement de Victor Hugo à sa fille lorsqu'il la met en scène avec le champ lexical de l'amour « désir, douceur, vertus » et celui de la beauté « purs, beaux lieux... » . Le poème évoque, Jeanne comme faisant partie intégrante de la nature. Elle est comparée à des beautés de la nature, telle que « L'aurore ». Elle est idéalisée

deux personnages. Il ne s’agit pas seulement de montrer les ressemblances physiques mais aussi les similitudes morales. Au début du récit les deux personnages sont heureux, il y a une « fête » où chacun se « réjouit » tandis qu’à la fin ils sont tristes. On retrouve leur fragilité mais cette fois morale, les deux pleurent devant ce qu’ils considèrent à tort comme une agression. Au-delà des points communs, ce poème met en valeur les

peu accentue sur le fait qu’ils se sont connues trop tard et pas assez, qu’ils auraient pu vivre beaucoup plus de moment ensemble. « Et à notre première rencontre, qui fut par hasard en une grande fête et réunion de ville » (l.13) les lieux de rencontres « une grande fête » et «  réunion de ville » nous donne la sensation que ces lieux sont immenses, mais que le destin les a rapprochés malgré tous. Le ciel les a réunis «  quelques ordonnances du ciel » (l.12) Un vocabulaire évaluatif

mais cruel spectacle. Voltaire habilement crée le sentiment de parade, en utilisant les expression élogieux, comme « beau », « leste », « brillant » et « bien ordonné ». L’effet est renfoncé par l’adverbe « si » qui souligne le grandiose de cette fête militaire. Cependant, ce n’est pas seulement  l’aspect esthétique, il y a l’accompagnement sonore : « les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambour » tous ensemble, ils créent l’harmonie bouleversée par « les canons ». Dans ce spectacle

peuple. Ensuite, la citadelle se présente sous un visage exceptionnel comme l’atteste le champ lexical de l’extraordinaire : «  quelque chose d’impossible », «  la rare pierre d’angle » etc. Ce champ lexical montre que la citadelle convoitée par Christophe est unique et fabuleuse. Par ailleurs, la citadelle apparaît comme l’expression de la puissance du peuple haïtien. Cela se perçoit à travers le champ lexical de la puissance : «  le fondement ferme », «  forteresse », «  crache la mitraille », etc

A la suite des vers l’auteur s’adresse toujours à la petite fille. Dans sa poésie il décrit la jeune fille indirectement. Et en même temps il cherche à faire croire que la petite ne va pas toujours rester comme telle. D’une part il utilise un champ lexical de beauté d’une fille. « Teint de rose » (v-14), « mignons » (v-16), « pied léger », « beaux » (v-26) répété au vers 27. D’autre part des métaphores a la suite du ver 13 « si tu crois ah ah », « que ton teint de rose », « ta taille de guêpe »,

la morale ? Une fiction à vision narrative (Condition humaine / Des hommes faibles mais en même temps remarquables / L'homme face au mal) I) « Une ville joyeuse, libéré » Présence d'un champ lexical de la « joie »: « réjouissance » (l.6) C'est la fin de la Peste, la libération de la maladie. Une fête très vite nuancée sur le jugement de Rieux « l'oubli ». Une joie qui se fonde sur la ville « la ville les salua », « les hommes qui étaient toujours les mêmes » (l. 6-7): tout les hommes ! Un

aura encore beaucoup d’autres journées. B) Vitesse à laquelle le temps passe 1) Le mouvement du temps. « s’est couché » (v.1), « viendra » (v.2), « passeront » (v.5), « roule » (v.7), avec ces différents verbes il y a la présence du champ lexical du mouvement qui renforce l’impression de vitesse du temps qui passe. 2) Les jours passeront... « ils passeront en foule » (v.5), on a là une métaphore avec le mot « foule » qui rappelle que les jours seront nombreux et mouvementés étant donné