Champ Lexical De La Fete

importants. Dans l’extrait proposé, l’auteur place son lecteur au cœur d’une manifestation du culte civique le 20 novembre 1793. Il est donc contemporain à cet événement et peut même y avoir participer. Le second texte, Rapport à la Convention sur la fête de l’Être Suprême du 7 juin 1794 a été écrit par Jacques Louis David, bien plus connu que le bourgeois de Paris. Brillant élève de l’Académie royale puis de l’Académie de France à Rome, ce dernier s’impose dans les années 1780 comme le meilleur peintre

texte on a le sentiment que l’auteur prend la défense de la jeunesse et attaque sans relâche cette autre génération. Pour l’auteur, il y a une énorme perte d’une génération à une autre. Il évoque également la chance des jeunes de pouvoir sortir d’une fête à l’aube en compagnie de partenaires qu’ils ont choisi contrairement aux autres qui subissent la monotonie du quotidien. L’auteur peut sous-entendre ici la monotonie de la vie d’adulte et de couple

nous y retrouvons le paradoxe , la double caractéristique de cette forme de texte . En effet, comme attendu , ce texte constitue un dénouement car il montre la résolution de l'action, la fin de l'épidémie de la peste. On repérera donc le champ lexical de la fête ( « réjouissances », « fusées » , « cris » , « gerbes multicolores » qui suggèrent un feu d'artifice) et le bonheur des Oranais est défini par les termes «allégresse» et «joie». L'amplification de ce sentiment suit la progression de ce feu

texte deux énoncés qui le montrent. (0,5 x 2) 1 pt 4)      À l’ occasion du retour du mari, la mère devient très active. Nommez quatre actions ou activités qu'elle fait. (0,25 x 4) 1 pt 5)      Relevez dans le texte quatre termes appartenant au champ lexical de la « nourriture ». (0,25 x 4) 1 pt 6)      En vous référant au texte, dites à qui ou à quoi renvoient les pronoms soulignés : -« Il les posa à même le sol » ; -« Je le trouvais changé ». (0,5 x 2) 1 pt 7)      « Elle rit comme une petite

Nous remarquons que le champ lexical de la mort est très développer: «la mort» (l.1788); «un meurtrier» (l.1798); «tuer» (l.1804); «mourra» (1806); «me demandât grâce» (l.1818); «ce cadavre» (l.1828); «une fosse» (l1830); «enterrée» (l.1829); «une petite croix» (l.1832); «son corps» (l. 1836); «une messe pour son âme» (l.1837); «j’avais tué» (l.1835). Certaines phrases sont d'ailleurs répétées: «Tu veux me tuer» (l.1793 et 1802). L’auteur déploie également le champ lexical des sentiments, vocabulaire

d’éléments symboliques. L’allégorie prend habituellement la forme d’une narration ou d’une description dans laquelle chaque élément de l’abstraction est représenté métaphoriquement. (Source BDL) Exemple : « Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ Elle allait à grands pas, moissonnant et fauchant Noir squelette, laissant passer le crépuscule. » (Victor Hugo) 3 B) Les procédés sonores L’allitération : L’allitération est l’emploi répété d’une

alternées (ABAB). 2. Analyser le CONTENU du poème * Donnez le titre et l’auteur du poème * Expliquez, avec vos mot, le lien entre le titre et les idées du poème * Donnez le (les) thème(s) principal(aux) du poème et le (les) champ(s) lexical(aux) qui y est (sont) associé(s) (ou qui symbolise ce thème) * Relevez tous les procédés stylistiques (comparaison, métaphore, inversion…) du poème et expliquez-les. Voici quelques figures de style très courantes et à savoir reconnaître :

informent qu’il ne peut rien voir. De plus le narrateur ressent « [une] solitude d’acier ». Le mot qualificatif « acier » nous informe que c’est une solitude qui va durer. De plus, à chaque fois qu’il s’adresse à ses tourments, on peut observer un champ lexical d’invincibilité : « Vous possédez l’éternelle dureté des rocs / Et les adorables épées du silence ont en vain défié vos feux noirs. » (v. 6-8) Les mots « éternelle », « dureté » et « en vain » souligne l’impuissance du personnage face à ses tourments

vision précise, celle du narrateur •Le poète regarde la nature et parle des nuages annonciateurs d'orages au vers 1&2. •Opposition entre l'orage et l'aube. •Hugo présente la succession du temps grâce à des considérations d'ordre météorologique. •Champ lexical de la méteo ( soleil, orage clarté, temps etc..) 2)Une,image diversifiée et plus large •Enumeration d'éléments constitutifs de la nature : mers, monts, fleuves, forêts •Personnification de la nature : front, face, ridés •Elements naturels sont

évoque aussi l’immobilité de la mort et appartient au même champ lexical que « tombés » et « flétries ». Tout rappelle au poète son amour perdu : les pétales des cerisiers évoquent pour lui ses ongles et ses paupières (images surréalistes audacieuses). La troisième strophe, dont les verbes sont à l’imparfait descriptif évoque des personnages et des animaux : des tziganes, un ours, un singe, un chien, un âne. Ils n’apparaissent pas dans la fête d’un cirque, mais défilent prosaïquement. L’absence d’adjectif