Champ Lexical De La Fete

particulier. 1- La cruauté Utilisation du champ lexical de la cuisine * « à petit feu » * « saisir » * « secret infaillible » * « mitre » * « poulet » * « lard » * « après le dîner » C’est totalement décalé de parler de cuisine alors que Voltaire parle de la mort. On est donc dans l’humour cynique, ainsi que dans l’ironie burlesque (à cause du grand décalage entre mort et cuisine ainsi que du champ lexical de la fête, que j’évoque plus tard.) En effet, Voltaire

de Du Roy C'est le lexique et plus exactement les champs lexicaux qui nous renseignent : " Je suis content, ça fait plaisir, l'amour inné du pays " et la manifestation du plaisir par le verbe " riait ". L'abondance également du champ lexical de la mémoire : " Il les connaissait toutes, tous les souvenirs retrouvés, toutes les choses d'autrefois revues " montre que le narrateur lui accorde une importance particulière. Le champ lexical de l'odorat est aussi présent : " Les odeurs du sol, le

offert” (l.4) montre que la nature lui fait un cadeau pour une célébration heureuse. Le fait que “Du Forum” (l.5) soit cité, accentue le moment de fête puisque c’est une place publique ou sont souvent célébrées les fêtes. Enfin comme le souligne l’expression "se remettait doucement à battre" (l.16) nous avons

Sganarelle est un perso qui parle beaucoup (de longues tirades). Il décrit son maître avec un vocabulaire courant, voir familier : « Si tu connaissais le pèlerin » (dans le langage populaire, « pèlerin » signifie un homme peu recommandable qui va de fête en fête). Langage courant mais aussi imagé et drôle : « épouser toi, ton chien, ton chat ». Il recherche à imiter le langage de son maître dans la première tirade : « inter nos » (latin), mais n’arrive qu’a le parodier de façon ridicule. Cela montre qu’il

A faire : – lecture attentive du texte, relever les champs lexicaux (ensemble de mots qui renvoient à une même idée) – allier fond et forme dans chaque partie – traiter, analyser tout le texte (pas seulement une partie) et rien que le texte (de manière à éviter le hors-sujet) – aller du plus évident au moins évident – trouver un plan équilibré (même nombre de sous-parties dans chaque partie) – accorder un soin particulier à l’introduction et à la conclusion – construire un plan

souffle coupé » : champ lexical du silence, de la peur. « Une drôle de chatouille au creux des reins » : connotation érotique. LA VIEILLE : « Tais toi ! » : ordre, exclamative. Refus de poursuivre. JUPITER : « Rudement » : adverbe, évoque la brutalité. « Faire l'amour » : comparaison du plaisir physique à la violence. LA VIEILLE : « Ah ! Seigneur... » : de nouveau, évoque la religion. La vieille invoque une entité divine qui se trouve juste devant elle. « Une horrible fête » : antithèse

être cher *l’effet d’un sourire (un remède naturel) *l’affectueuse sacrifiée (la maman) ANALYSE SYNTAXIQUE STRUCTURE DES PHRASES A qui s’adresse la poétesse ? C’est demain jour de fête Ton absence accentue notre flamme (Poème hommage 12) Tu remplissais nos cœurs de tendresse(P13) Tu es ravissante et douce colombe de toutes mes nuits, Tu es l’extraordinaire

s’identifier au personnage : n’importe qui peut se mettre à sa place *le cadre spatio-temporel : . le lieu : Bicêtre = prison parisienne qui a réellement existé, « cachot » « grilles hideuses » « condamné »  « captif » « cellule », « prison » = champ lexical de la prison, de l’enfermement . les notations temporelles : le texte est intemporel, contemporain de l’écriture. On a peu de repères temporels : le condamné a perdu la notion du temps : opposition entre un avant et un après « autrefois » / «

Bien qu’alcoolique avant son incarnation, il sort complètement changé mais ne tardera pas à retomber dans l’alcoolisme. Il meurt en 1896 dans une échéance et une misère totale. Quelques oeuvres : « Parallèlement» ; «Romance sans paroles» Champ lexicaux : La nature : «branches» v2 «des pins et des arbousiers» v8 «chênes noirs» v18 «le rossignol» v20 L’amour : Musicalité : « pénétrons bien notre amour» v3 «en sourdine»

lecture, nous remarquons qu’il y a beaucoup de description de couleurs et de matières : Hugo crée un environnement : « paillètes d’azur », « grands yeux noirs », « tuniques de soie », « manteau de satin », « épaule nue », une atmosphère irréelle : « la fête enchantée ». Le début est joyeux. Dans la première strophe, il y a une allitération en « i », au vers 12, nous avons des verbes de mouvements : « volait, et revenait », au vers 20, la ponctuation exclamative qui renforce la métaphore qui décrit sa