Champ Lexical De La Fete

de la même manière, en nous dévoilant que ce « Temps » est à caractère utopique grâce à « Quand nous chanterons le temps des cerises, [le] gai rossignol et merle moqueur seront tous en fête » (v.1 à 3) pour la chanson de Clément, et avec « une belle histoire où l’on dit : demain… Ah ! jaillisse enfin le matin de fête » (v.12 et 13) pour le poème de Cassou. Ces quelques vers nous montrent bien que les deux auteurs font référence à un lieu ou un moment utopique, où le monde serait quasi-parfait, très

nuit d’octobre ( 1837) : toute douleur est féconde * Il a perdu beaucoup de choses mais en sort grandi, mais blessé. Mieux vaut connait que de ne pas avoir connu. * Douleur bénéfique et nécessaire. Analyse du poème : Vocabulaire : champs lexicaux qui ressortent => Sentiments ( force, gaité, fierté, dégouté, pleuré ) Beaucoup d’adjectifs qualificatifs. Anaphore de j’ai perdu ( =répétition en début de vers) . Hyperboles et métaphores : Perdu ma force et ma vie =déchéance. Enumération

révèle t-il la vision de l’homme que propose Rabelais ? I. Les excès de l’univers rabelaisien 1. La fête : un épisode merveilleux plein de débordements - Un moment de fête : carnaval : « le troisième de février » l.3 et « mardi gras » l. 7 Univers joyeux où le temps est passé à se divertir - le champ lexical de la joie et de la fête : « «grand plaisir », « rigoler », « dansèrent », « joyeux», « se divertir », « pêle-mêle » : idée de mélange ou de confusion

plus d’importance que le rôle qu’elle joue. Elle attire le regard du spectateur comme si elle était seule sur scène par la brièveté du constat « Nana était nue », la phrase est isolée. Le point de vue adopté est celui du public comme le montre le champ lexical de la vue « apercevait », « devinait », « voyait ». Les spectateurs tendent leur visage pour voir Nana qui n’est déjà plus dans le texte. Il se passe la même chose dans le roman que dans le texte, le lecteur et le spectateur ne voient plus Nana

que les elements de la nature ne sont pas touchés pas le temps paradoxe :l’aube et ses clartes de vapeur obstruées Le temps : LE théme/champs lexical principal du poème est le temps qui est d’ailleurs présent dans le titre.Il est dans ce poème désigné soir pour le climat ou pour le temps qui passe,la durée.CE poème montre la fuite du temps,dont le champs lexical est présent dans le texte : »soleil,soir,orage,aube,nuits,jours,temps,toujours,sans cesse,chaque jours,bientôt »Ce pooème pourrait ainsi

• champs lexical de la mort: répétition ''solitaire et glacé'' v1 et v5 qui caractérisent le le parc. • 3 adjs dans le même vers 1 et 5 > caractérisent lieu lugubre. -couple représenté • deux métaphores: ''Deux formes'' v2 '' Deux spectres''v4, même construction grammaticale. >accentue la mort évoqué par le champs lexical. B – Les personnages

Du Roy C'est le lexique et plus exactement les champs lexicaux qui nous renseignent : " Je suis content, ça fait plaisir, l'amour inné du pays " et la manifestation du plaisir par le verbe " riait ". L'abondance également du champ lexical de la mémoire : " Il les connaissait toutes, tous les souvenirs retrouvés, toutes les choses d'autrefois revues " montre que le narrateur lui accorde une importance particulière. Le champ lexical de l'odorat est aussi présent : " Les odeurs du sol, le

jeux érotiques du narrateur. Ø      Indices spatio-temporels : ce soir / l’alcôve obscure Ø      Champ lexical de l’amour, au sens de l’union charnelle : évocation de l’amour (ô mon amour ! ; ma tête amoureuse d’ivresse), du plaisir (extase ! ; langoureuse ; se pâment) ; de l’étreinte des corps (que le roulis caresse ; infinis bercements du loisir embaumé, ô féconde paresse !) Ø      Champ lexical omniprésent de la chevelure : boucles, tresses, cheveux, duvetés, mèches. Ø      Evocation des jeux

de Du Roy     C'est le lexique et plus exactement les champs lexicaux qui nous renseignent : " Je suis content, ça fait plaisir, l'amour inné du pays " et la manifestation du plaisir par le verbe " riait ". L'abondance également du champ lexical de la mémoire : " Il les connaissait toutes, tous les souvenirs retrouvés, toutes les choses d'autrefois revues " montre que le narrateur lui accorde une importance particulière.    Le champ lexical de l'odorat est aussi présent : " Les odeurs du sol, le

(Racine) 6) L’avarice perd tout en voulant tout gagner. (La Fontaine) 7) Un silence assourdissant envahissait l’espace. 8) Avec tes mauvaises notes, tu peux être fier de toi! 9) Il a versé un torrent de larmes. 10) Le feu a brulé des arbustes, des champs, puis la colline entière. 11) La claire obscurité de la nuit me trouble. 12) Les haricots étaient froids et la viande n’était pas cuite : un vrai festin! 13) La cigale alla rendre visite à la fourmi sa voisine. 14) Des vagues blondes s’écoulaient