Champ Lexical De La Memoire

pas l’identité entre l’auteur, narrateur et personnage. Elle emploie un énoncé ancré ou coupé de la situation d’énonciation, présente de nombreux verbes pronominaux associé à une alternance de temps verbaux et aux champs lexicaux du souvenir, des sensations et des sentiments. Les mémoires sont des récits autobiographiques écrits par ceux qui ont été témoins privilégiés ou acteurs de l’Histoire. Contrairement à l’auteur d’une autobiographie qui est lui-même son propre sujet, le mémorialiste n’évoque

façon suspecte les paroles de Phèdre et lui donne un aspect ambigu. (Idée 3) Enfin, l'ambiguïté de la situation est confortée par l'attitude de Phèdre. (Citation/Justification par la forme) L'auteur traduit cela en utilisant le vocabulaire du champ lexical de la tristesse, de la souffrance: « douleurs, larmes, alarmes, mort, ennemis, crains » ce qui donne une tonalité maussade au texte et fait ressentir au lecteur un sentiment de peine. De plus, les synecdoques employées telle que : «Je crains d'avoir

opposées : Eros ( le désir) et Thanatos (la mort). On retrouve aussi cette fusion dans l’expression « vous mangera de baisers » (v-46) dans laquelle transparait l’ironie du poète. B va jusqu’à identifier la femme avec la charogne, à travers un champ lexical de l’identification : « serez semblable » (v-37), « telle vous serez » (v-41).Au lieu d’idéaliser la femme comme le veut la tradition poétique, B met en évidence la réalité funeste qui attend la beauté de la femme « Quand vous irez, sous l’herbe

hommes. II/ Un dénouement qui n'en est pas un: la clairvoyance de Rieux. I/ Un dénouement qui semble heureux: l'insouciance des hommes. Les hommes fêtent la fin de la maladie: -champ lexical de la lumière: « places illuminées » L 13, « étoiles » L 3, « scintillait » L 2. =symbole de l'espoir -champ lexical du bruit: « grondements », « longue et sourdes exclamations », « cris qui redoublaient de force et de durée » L 25, « cris d'allégresse » L 46 = bruit de la foule et de la ville soulagée

ressent se confirment dans les deux questions : « c’est la nôtre, n’est-ce pas ? » v15 « La mienne […] tout bas ? »v16à18 qui ne trouvent pas de réponse. Le mystère tient aussi à l’éloignement dans le temps ( « Ariettes oubliées » ( effacées de la mémoire. (Sensations fuyantes – Difficultés à évoquer les sensations Réalité fuyante qui ne se laisse pas enfermer dans des contours précis. b) l’atmosphère indéfinissable est aussi causé par le caractère impersonnel du texte. On ne sait pas qui parle à

un garçon de six ans, dresser un piège pour attraper un moineau mais le moineau ne vient jamais. Il désire tant ce petit moineau ! Il ne le mangera pas, il ne le martyrisera pas. Il veut en faire son compagnon (…). J’avais peut-être six ans. Ma mémoire était une cire fraîche et le moindre événement s’y gravait en images ineffaçables. Il me reste cet album pour égayer ma solitude, pour me prouver à moi-même que je ne suis pas encore mort. Chapitre 1 -situation de communication -Emetteur

Rodrigue est tourmenté par la recherche d’une solution à son problème. En effet, le héros est déchiré entre deux valeurs qui, pour lui, sont aussi importante l’une que l’autre c’est-à-dire l’honneur de famille et l’amour de sa bien-aimée. Le champ lexical de chacune ces valeurs peuvent être retrouvées dans le texte. L’honneur est représenté par les mots « père », « honneur » et « gloire » alors que l’amour est désigné par « feu », « Chimène », « flamme », « maitresse » et « amour ». On démontre

de libération. Il souhaite que l’humanité retrouve ‘’La douceur de la paix‘’, que les hommes vivent fraternellement et sans haine, après les années tragiques de la guerre. Introduction : Les ‘’Strophes pour se souvenir‘’ , écrites en 1955 à la mémoire des membres du groupe Manouchian, résistants étrangers fusillés par les Allemands, le 21 février 1944, lors de l’inauguration de la rue du ‘’Groupe Manouchian‘’à Paris. En effet, à travers ce poème, inspiré de la ‘’Dernière lettre‘’ écrite par Manouchian

dans lequel l'astrophysicien Hubert Reeves s'interroge sur le sens de l'histoire de l'Univers dont l'homme paraît l'élément le plus évolué. J'adore les émissions télévisées sur la vie des animaux. Le manège des vivants me fascine. Me reviennent en mémoire les images d'un combat. Deux phoques mâles se battent pour une femelle. Les coups sont durs mais la voix « off » est rassurante. « Ici, on ne tue pas. Dès que le sang coule, la lutte cesse. Le gagnant ne harcèle pas le perdant qui abdique. » « Ainsi

chiasme marque bien la correspondance de qui en apparence se distingue. - la deuxième strophe reprend d’ailleurs le thème de la danse et de la fleur mais gagné par la mélancolie : la fleur « s’évapore », la balancement devient « frémissement », le champ lexical de la tristesse : afflige, triste… ». C’est la mort du jour et l’arrivée de la nuit. - La mélancolie, la tristesse devient brusquement l’angoisse: « Néant vaste et noir »= métaphore de la nuit... Alors le ciel lui-même reflète l’angoisse : une