Champ Lexical De La Memoire

VOLTAIRE, Dictionnaire philosophique, article « guerre » (1764) Un généalogiste prouve à un prince qu'il descend en droite ligne d'un comte dont les parents avaient fait un pacte de famille, il y a trois ou quatre cents ans avec une maison dont la mémoire même ne subsiste plus. Cette maison avait des prétentions éloignées sur une province dont le dernier possesseur est mort d'apoplexie : le prince et son conseil concluent sans difficulté que cette province lui appartient de droit divin. Cette province

langue,  « Miss Arabelle et Romulus, et gagné deux mille Louis à sauter un faussé, en Angleterre ». Le miroir brisé, fin de la description, Emma ne perçoit pas le danger mais nous le percevons. Flaubert, insiste sur le décalage social à travers le champ lexical de la paysannerie et de la campagne,  « ferme », « marre bourbeuse » … La présence dans l’ombre, d’un autre monde avec les paysans aux « carreaux ». Le miroir brisé symbolise un univers illusoire, un univers d’apparat et de décor, le mélange entre

Strophes pour ce souvenir, Louis Aragon • Louis Aragon, auteur du XXème siècle, est un poète engagé. Il écrit « Strophes pour se souvenir », poème extrait du Roman Inachevé, en 1955, en mémoire du groupe Manouchian, résistants étrangers fusillés par la Gestapo en 1944. L'annonce de leur condamnation avait été faite par le biais d'une affiche reproduisant leurs photographies, et qui est restée sous le nom de l'Affiche rouge. Le poète tente de raviver le souvenir des résistants. •

le pardon, la honte et le devoir de mémoire. Le personnage de Michael représente la génération suivante qui doit faire face aux conséquences des actions de la génération précédente, et il est confronté à la question de savoir comment faire face à la culpabilité collective de l'Allemagne envers les crimes commis pendant la guerre.L'analyse de l'oeuvre révèle une structure narrative complexe, qui alterne entre le passé et le présent, ainsi que des thèmes de mémoire, de justice et de responsabilité. Le

hyperbolique distance impressionnante avec des chiffres vertigineux « Lieues » - « lieu » Antanaclase (répétition d’un mot en utilisant 2 sens différent) accentue l’effet de distance « Gares » - « voies » - « s’envolaient » - « albatros » - « voyage »Champ lexical du voyage V 4 : « ville des mille et trois clochers et des sept gares »Périphrase qui qualifie Moscou + la rend immense avec répétition des chiffresV 7 : « le temple d’Éphèse ou comme la Place Rouge de Moscou »Balancement entre passé et modernité

liras ce poème, »). Il lui exprime ses sentiments et ce qu’il voudrait lui dire. Il y a un champs lexical de la vue : image, regard, éclaire, splendeur, yeux, lumière, blanche, éclatante, illuminent,… Son poème est fortement basé sur la beauté et le physique de cette femme. On peut aussi différencier les différentes strophes grace à leur différent type de vocabulaire : Strophe : 1, mémoire (mémoire, pense, ignore) 2, vision- vue (regard, hypnotise) 3, ouïe

Université du Maine Université de Montréal Dérivation sémantique et morphologique de termes, analyse en corpus spécialisé et modélisation au moyen des fonctions lexicales Mémoire de maîtrise d’Anne -Laure JOUSSE sous la co-directon de Myriam BOUVERET et de Marie-Claude L’HOMME Année 2001-2002 2 TABLE DES MATIÈRES Avant-propos.....................................................................................................7 Table des figures...........................

composé Le roman « Magnus », paru en 2005, a été écrit par Sylvie Germain, auteur et philosophe contemporaine. Il a également reçu le prix Goncourt des lycéens la même année. Le texte nous raconte l’histoire de Franz-Georg, un enfant qui perd la mémoire à l’âge de cinq ans. Il doit dès lors tout réapprendre. Né de parents allemands juste avant la deuxième guerre mondiale il va partir à la recherche de son passé, dénouer la vérité du mensonge pour essayer de retrouver sa véritable identité. Il ne

famine et la lutte pour la nourriture (v.8) et la mort (v.9). Il y a le champ lexical de la souffrance. 3) La déshumanisation : Pour les femmes, l’auteur insiste sur la perte des repères humains avec : - la déshumanisation (v.11)  les noms disparaissent et deviennent des matricules et perte des cheveux (c’est un zeugma = figure de style qui associe un COD abstrait et concret avec le même verbe) - perte de mémoire (v.12) - perte de la capacité de penser (v.13) - adjectif « froid » qui vient

œuvres et leurs utilités. Premièrement, nous pouvons constater que dans chacun des quatre textes, la guerre, principal sujet, est d’une extrême violence et paraît difficile. Cela est prouvé de pars un champ lexical de la douleur présent dans les quatre textes. On remarque plusieurs champs lexicaux dans le premier texte, celui de la violence : « sang », « courroux », « coups »... et celui de la guerre : « combat », « conflit »... De plus le superlatif du vers trois « le plus fort.. » donne une idée