Champ Lexical De La Memoire

l'avoir vu autrefois ; avoir mémoire de ….. se rappeler ; garder en mémoire ; évoquer ; se remémorer ; commémorer ; revenir à la mémoire, à l'esprit ; revoir ; avoir souvenance ; avoir une réminiscence de (Souvenir vague, imprécis, où domine la tonalité affective ) ; Éprouver, garder du ressentiment d'une injure. Le souvenir : réminiscence, souvenance, commémoration, rappel… Les antonymes : oublier, se désintéresser, perdre la mémoire, avoir un trou de mémoire, … Les emplois : Je

crois devoir à la mémoire de monsieur de Clèves serait faible, s'il n'était soutenu par l'intérêt de mon repos"; " s'il n'était soutenu par l'intérêt de mon repos", "et les raisons de mon repos ont besoin d'être soutenues de celles de mon devoir". et B) Monsieur de Nemours= Passion, essaye de la persuader de l' aimer, champs-lexical, phrases exclamatives + interrogatives. Champs- lexical des sentiments = " vos sentiments", " bonheur", "aime", "passion". Champs- lexical de la persuasion=

une impression d’enfermement dans lequel se trouve Rodrigue. Dans ce texte on peut aussi relever le champ lexical de l’honneur : « noble » vers 22, « gloire » vers 23, « indigne » vers 24 et honneur répété trois fois vers 12, 44 et 49 montres bien que l’honneur de son père et le sien compte beaucoup. Cependant l’amour de Rodrigue pour Chimène est très fort. On le voit grâce au champ lexical de l’amour extrêmement développé : « amour » vers 12, « aimable » vers 22, « amoureuse » vers 26 et « bonheur »

l’honneur : « J’attire en me vengeant sa haine et sa colère/J’attire ses mépris en ne me vengeant pas » -Cette thématique est récurrente chez Corneille : dans Polyeucte par exemple, Pauline reste la plus fidèle des épouses, même si elle chérit la mémoire de Sévère qu’elle croit mort. Elle a épousé Polyeucte par soumission à la volonté du père, et lorsque Sévère réapparaît, malgré son amour toujours vivant, sa raison l’emporte sur ses sentiments. 2. Une esthétique du balancement. Elle mime la notion

grace a la signification du titre qui signifie en hébreux « écoute » et est le premier mot d’une prière juive importante : « écoute, Israël (shemà, Israël), le Seigneur notre dieu est le seigneur Un » ., mais surtout comme Moïse, dans un devoir de mémoire : ne pas oublier cette époque. il la place dans une perspective pédagogique : faire apprendre aux génération futures ce que furent ces horreurs afin de ne pas les oublier et de ne pas les renouveler. Ainsi, ce poème se présente comme une préface

passé est éternellement présent pour elle. Dans cet extrait, Andromaque, dépeint ses souvenirs de la guerre de Troie comme une toile vivante avec émotion. Tout d’abord, on remarque la notion de famille qui apparait grâce au champ lexical familial : « son père » (l.4), « frères » (l.10), « époux » (l.17) nous montrant qu’Andromaque est touchée par ces évènements et recherche du réconfort. Ainsi, elle témoigne de la précision de ses souvenirs. On note aussi la présence de nombreux

vision romantique en dénonçant la puissance du temps corrupteur. En effet, dans l’extrait des Méditations poétiques, le temps ne s’arrête jamais, ni pour les moments de bonheur ni pour ceux de malheur. L’homme n’a aucune emprise sur le temps. Le champ lexical du temps qui passe le démontre: «coulez» (vers 26), «Le temps m’échappe et fuit» (v. 30) et «S’envolent» (v.39). Tous ces verbes expliquent le fait que personne ne puisse arrêter le temps. De la même façon, la métaphore «le temps n’a point de

complicité. Le miroir dans lequel se coiffe Elsa deviendra la mémoire du poète. Il reflète alors en même temps le présent et le passé. II. Dans ce poème, deux thématiques sont rendues, on observe tout d'abord le champ lexical de la femme "Elsa", "elle", "ses cheveux d'or" ; c'est le point central du poème. Puis, on observe le champ lexical de la souffrance et de la guerre "Monde maudit", "mourir", "incendie", "tragédie". Ces deux champs lexicaux antithétique montre l'opposition entre le geste harmonieux

épique et engagé. Hugo publie Les Contemplations en 1856. Composé de 158 poèmes divisés en six livres, Les Contemplations est un recueil du souvenir, de l’amour, mais également de la mort et du deuil. Hugo lui même décrit son œuvre comme étant « les mémoires d’une âme ». Le poème Mors est extrait du livre IV de Les Contemplations, Pauca Meae. C’est le livre de la mort et du deuil dans lequel le poète tente d’établir une connexion avec sa fille décédée. Dans Mors, Hugo donne une représentation de la

nous rendre compte de la souffrance qu'elle endure. Le narrateur utilise le champ lexical de l'alcool, insistant sur la dépendance de Germinie Lacerteux : « bu, verre, vin blanc, eau de vie, etc » On comprend au fil du texte que le personnage boit également afin de trouver le sommeil, un sommeil « sans mémoire et sans rêve […], de plomb ». On voit que le sommeil de Germinie se doit d'être assommant grâce au champ lexical du vide, du néant : « noir, de plomb, assommoir, foudroyait, écrasant, de néant