Champ Lexical De La Mer

fiction (romans, contes, nouvelles) et d’essais. Problématique : en quoi la description de la ville permet de décrire le personnage ? I)                   LA DESCRIPTION DE LA « VIEILLE VILLE »   1)      Une ville dégradée et déserte -     Champ lexicaux du vide (« personne »), de la mort (« haleine de mort », « froid de mort », « tombeau ») et de la clôture (« fermées », « les volets sont tirés »). -      L’accumulation des termes « des soupiraux, des caves, des fenêtres noires » sans conjonction

Jeanne allait vite, sans souffler, sans savoir, sans réfléchir à rien. Et soudain elle se trouva au bord de la falaise. Elle s'arrêta net, par instinct, et s'accroupit, vidée de toute pensée et de toute volonté. Dans le trou sombre devant elle la mer invisible et muette exhalait l'odeur salée de ses varechs à marée basse. Elle demeura là longtemps, inerte d'esprit comme de corps ; puis, tout à coup, elle se mit à trembler, mais à trembler follement comme une voile qu'agite le vent. Ses bras

groupe nominal annonce un moment avec rien mais avec la nature ce qui devenait rare avec la guerre. L’emploie de “aucun bruit en sortait” (l.6), “la mer se taisait” (l.7) accentue ce moment de solitude. Comme le souligne les expressions “la matinée se fut fixé” (l.13) et “un instant incalculable” (l.14) le

gradation va venir se répéter tout au long du poème comme un refrain. Jacques Prévert utilise le champ lexical du crime. Dans la neuvième strophe il utilise une comparaison. L’enfant est comparé à une bête traquée. Il utilise un vocabulaire familier. La bête est en fait un animal. Dans la dixième strophe il utilise l’énumération « les gendarmes, les touristes, les rentiers… », ainsi que le champs lexical du métier. Les deux premiers vers de la douzième strophe sont une répétition de la sixième

réticence à partir, on le ressent avec la 1er phrase du texte, « Daniel songeait », et le champ lexical de la réflexion (l.14 songeait, l.15 réfléchi, l.25 septique…), il a une chose qui a changé envers Jacques et lui, on le voit avec les 2 verbes « isolé et troublé » p.92 l.2 et 4. La peur On découvre quelques malaises au fait de partir, surtout de la part de Daniel, on le voit avec les champs lexicaux, du danger « bec, rame, cyclope, brise lame, étincelles » et de la douleur « heurter, fendu

extrait du roman naturaliste Pierre et Jean de Maupassant, roman publié en 1888. Maître Lecanu a annoncé aux Roland l'héritage laissé à Jean par Léon Maréchal. Les deux frères sont partis chacun de leur côté. Dans cet extrait, Pierre réfléchit, face à la mer, à ce qui vient de se passer. Il assiste à un beau spectacle nocturne dans le port du Havre. Lecture ANNONCE DES AXES I- Un texte à dominante descriptive II- La portée symbolique de la description : le paysage intérieur de Pierre I- UN TEXTE

l’homme.Amant courtois : courageux, fidèle, valeurs aristocratique. Poème : Le sourcil- Anaphore « Sourcil »- Rimes suivies- La femme est décrite comme ayant ‘ deux visages’, un plutôt doux et l’autre en colère - Chant lexical du ciel ligne 17 à 22 - Lignes 11 à 16, ParadisSéance 6 :Histoire littéraire La RenaissanceSupports :Vidéo mooc ‘Une brève histoire de l’art’Prise de note  : → OriginesÇa vient d’Italie au XIV

instinct pour le guider comme la mouette se fit à son instinct pour ne pas se perdre. Comment by Hélène Bughin: Fie7. a)Espaces :Air (« vole », v. 3) Mer (v. 6)7. b)Symbolique :Air = 1er symbole : envol du poète vers le bonheur, la libertéAir = 2e symbole : instabilité (balancée par les vents)Mer = 1er symbole : repli (« couve au ras des flots ») Mer = 2e symbole : abandon au plaisir (doucement porté par l’eau)8. b)Figure d’oppositionOxymore8. a)Figure de style (v. 7) :« essor mélancolique » 8. c)Sens

sont introduit par des verbes conjugué à l’imparfait :  « Il pleuvait » (v. 2 et 7), « s’abritait » (v. 17) et au passé composée : « je t’ai croisée » (v. 8), « il a crié » (v. 18), « tu as couru » (v. 20) . Il utilise plusieurs champs lexicaux : De la mémoire :«  Rappelle-toi  » (v. 1, 6, 11, etc.), «  N’oublie pas  » (v. 16 et 30), «  avant  » (v. 47).Du bonheur : «  souriante  » (v. 3)

m’ont pas toujours vu. Feuilles du jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d’une couvée d’aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l’innocence