Champ Lexical De La Mer

et poétique On remarque le champ lexical des cheveux : « cheveux » , « chevelure » , « tresses », celui des différents sens : l’odorat : « parfum » , « parfumée » , « odeur du tabac » , « opium », « odeurs combinées du goudron, du musc et de l’huile de coco » , l’ouïe : « entends », « musique », « chants mélancoliques », le toucher : « caresses », « roulis », « ardent », « duvetés », le goût : « je m’enivre », « mordre », « mordille » et aussi le champ lexical du voyage et de l’exotisme : «

lui, durant les années vingt, un romancier de l'aventure que confirme Moravagine en 1926, avant qu'il ne devienne dans les années trente, grand reporter. Abattu par le début de la guerre, il s'installe à Aix-en-Provence puis à Villefranche-sur-mer et ne reprend l'écriture qu'en 1943 en rédigeant des récits autobiographiques avec L'Homme foudroyé (1945), La Main coupée, Bourlinguer. De retour à Paris en 1950, il participe à des programmes artistiques et des entretiens radiophoniques réputés avant

de destinataire ; dans La Chevelure, la femme n'est présente que par ce seul « attribut de séduction ». L’apostrophe au début du poème montre une divination de la chevelure : « ô toison ! ô boucles ! ô parfum ! ». Elle est sans arrêt métaphorisée (« mer d’ébène »v. 14 ; « ce noir océan »v.22) par la pilosité des animaux (« toison ; crinière ; moutonnant ; encolure »). Un hémisphère dans une chevelure change quelque peu de récepteur, la première personne et la deuxième personne montrent la présence

est un hôpital », le terme hôpital est une métaphore de la vie. (Il compare la vie à un hôpital.) Les termes « hôpital » (v.1), « malade » (v.1), « souffrir » (v.2), « mort » (v.), « âme » (v.7), « néant » (v.), « Enfer » (v.) correspondent au champ lexical de la mort. Tout cela nous montre qu’il veut fuir la réalité car elle évoque en lui un malaise, une insatisfaction. Ce poème est aussi un dialogue fictif entre son âme et lui-même. En effet, il lui parle comme si elle était vivante. Il la personnifie

I. L'ELOGE DU VOYAGE1) Champ lexical du voyage.    Les verbes "partir" et "quitter" sont répétés à plusieurs reprises dans le poème, ce qui renforce le désir d'évasion de l'auteur. Le nom "monde" ouvre l'espace du voyage, le lieu est encore vague, la destination inconnue. Au vers 24, la gradation croissante "marche part va-t-en" est de plus en plus violente. Ce champ lexical est très riche en verbes, surtout à l'impératif, ce qui donne une tonalité injonctive à ce poème. Le poète s'adresse à son

pensées. Dans le poème, l’expression des sentiments de l’auteur tient aussi une part importante. Pour cela, il utilise différent champ lexicaux dont celui de la nature ou plus généralement celui de la vie avec des termes tels que « feuilles – mousse – rosée » vers 6 ; « roseaux » vers 7 ; « ciel – mer » vers 8 ; « paille » vers 12 et « sang » vers 15. Ce champ lexical nous permet de mettre en avant la forte présence du registre lyrique dans cette œuvre. La faible présence de ponctuation et de rimes

se fait à travers le regard de Fréderic. On a donc une focalisation zéro, puisque le narrateur glisse des remarques. I. Une description subjective qui transfigure la scène1. Une situation banaleLa banalité réside sur le paysage décrit. On a champ lexical de la banalité « même », « vide », « ennui ». On a aussi la description des voyageurs qui montre également la banalité. Or, dans une scène ennuyeuse, le regard de Fréderic se fixe sur une seule personne. L'activité de broderie est tout à fait commune

subjective, puis la manière dont elle est décrite la naissance de la passion. Enfin, nous étudierons deux points opposés. I. Une description subjective qui embellie la scène 1.Une situation banale La banalité réside sur le paysage décrit. On a champ lexical de la banalité «même», «vide», «ennui». On a aussi la description des voyageurs qui montre également la banalité. Or, dans une scène ennuyeuse, le regard de Frédéric se fixe sur une seule personne. L'activité de broderie est tout à fait commune

« songe » peut faire penser à un rêve qui n’est pas encore devenu réalité, le poète le décrit seulement à sa bien-aimée. Mais dans cette strophe, le poète parle plus de la femme que du paysage. Pour montrer l’omniprésence de la femme, il utilise le champ lexical de la séduction (« charmes » ou « aimer »). Puis la 2ème strophe montre au lecteur l’endroit où il veut s’évader ; en effet il décrit la chambre « meubles luisant, polis par les ans » (vers 15), « les riches plafonds » (vers21), « miroirs profonds »

instinct la guide à travers cette immensité » (v.14)Le poète nous indique qu’il utilise son instinct pour le guider. 7. a)Espaces :Air (« vole », v. 3) Mer (v. 6)7. b)Symbolique :Air = 1er symbole : envol du poète vers le bonheur, la libertéAir = 2e symbole : instabilité (balancée par les vents)Mer = 1er symbole : repli (« couve au ras des flots ») Mer = 2e symbole : abandon au plaisir (doucement porté par l’eau)8. b)Figure d’opposition :Oxymore8. a)Figure de style (v. 7) :« essor mélancolique » 8.