Champ Lexical De La Mer

2. Problématique La Fontaine utilise un style et un champ lexical qui représente la légèreté et la petitesse de la mouche et la lourdeur du coche et sa difficulté pour monter. À travers de l’attitude de la mouche en ascendant on peut en déduire que c’est une fable qui met en discussion le mérite, c’est-à-dire le prix des actions et ses conséquences. Axe | Outil d’analyse | Relevé | Interprétation | 1 | Champ lexical qui évoque la difficulté. | « Dans un chemin montant, sablonneux

relate un moment d'apaisement, après la mort de l'enfant, un moment ou la peste semble presque oubliée : au nom de l'amitié, Tarrou propose à Rieux de prendre un bain de mer. En quoi ce passage se distingue-t-il du reste du récit ? Afin de répondre à cette question, nous verrons dans un premier temps l’évocation singulière de la mer dans cet extrait. Puis nous développerons une idée de suspension dans le récit. Et enfin nous verrons que ce cadre permet à nos deux personnages de sceller une amitié

évident, est la grande présence du champ lexical qui marque le portrait insolite du personnage : « proéminent », « bizarrerie ». Ce personnage est si étrange qu’à certains moments, il ne sait lui-même pas comment le décrire : « je ne sais quoi », « quelque chose » ces expressions très indéterminés souligne l’inusité de celui-ci.De plus, on relève un deuxième champ lexical assez présent, celui du diable : « diabolique », « yeux verts de mer ».Ces deux champs lexicaux relèvent bien du fantastique.Par

Les etincelles = le savoir, l’origine (=Dieu) ; Le feu = la creation (=monstre) C’est comme une mere qui éduque son enfant, lui passe son savoir et la mission de continuer la tradition. Un monstre primordial (originel) - originalité : serpent de mer = hybdride -> combinaison de trois especes (classe des reptiles + animaux aquatiques + hommes (+ rappele le dragon « de ses naseaux sort une fumée »)  - incarnation du diable : c’est le grand amiral de l’enfer (les traditions rabbiniques appellent Léviathan

un nombre égaux de vers et de répliques (24 vers chacun et qui est également égaux dans chaque réplique (2 vers) et 12 répliques chacun).    De plus on peut remarqué le thème de la campagne très présent dans leur chant. En effet on retrouve le champ lexical à travers leur discussion qui représente bien la nature, et notament la campagne.   Enfin on peut également observer la présence de la technique du chant amébée qui est bien caractéristique de la présence du chant des bergers. Certes, on remarque

deux textes. COMMENTAIRE Proposition de problématique et de plan : Problématique : en quoi la description de la ville permet de décrire le personnage ? I) LA DESCRIPTION DE LA « VIEILLE VILLE » 1) Une ville dégradée et déserte - Champ lexicaux du vide (« personne »), de la mort (« haleine de mort », « froid de mort », « tombeau ») et de la clôture (« fermées », « les volets sont tirés »). - L’accumulation des termes « des soupirails, des caves, des fenêtres noires » sans conjonction

cruelle et sans pitié qui manierait un fouet, « les lanières du vent ». De plus l’immensité de ce paysage hostile est due aux termes « plaine rase », « dix kilomètres de pavé », « champs de betteraves », « immense horizon », le champ lexical de la mer, ainsi que la comparaison de « l’horizon plat » avec la  «  mer » qui enclenche la métaphore qui va se continuer, avec le « vent glacé » qui est assimilé aux embruns. Le début de la description est à la fois distant et réaliste, elle est faite

dans un village de pêcheurs, où des filets bruns séchaient au vent, le long de la falaise et des cabanes. C'est là qu'ils s'arrêtaient pour vivre : ils habiteraient une maison basse à toit plat, ombragée d'un palmier, au fond d'un golfe, au bord de la mer. Ils se promèneraient en gondole, ils se balanceraient en hamac ; et leur existence serait facile et large comme leurs vêtements de soie, toute chaude et étoilée comme les nuits douces qu'ils contempleraient. Gustave Flaubert, Madame Bovary (1857) 1

femme mystérieuse, Dont la beauté trouble mes sens, Se tient debout, silencieuse, Au bord des flots retentissants. Ses yeux, où le ciel se reflète, Mêlent à leur azur amer, Qu'étoile une humide paillette, Les teintes glauques de la mer. Dans les langueurs de leurs prunelles, Une grâce triste sourit; Les pleurs mouillent les étincelles Et la lumière s'attendrit; Et leurs cils comme des mouettes Qui rasent le flot aplani, Palpitent, ailes inquiètes, Sur leur azur

A12SMB12SFB12SFOù tout n’est qu’or, acier, lumière et diamants, Resplendit à jamais, comme un astre inutile, La froide majesté de la femme stérile.Identification et classification des champs lexicaux : Nom du champ lexicalEléments du champ lexicalAdjectifsLongs, froide, antique.AdverbesPlus, Ne.NomsSerpentes, sable, humaine, mer, ange.VerbesMarche, mélange. Analyse poétique Après la lecture du poème, « XXVII - Avec ses vetements ondoyants et nacres », extrait du recueil Les Fleurs du Mal écrit par Charles